Villeromain | |||||
Carte postale du village vers 1910. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Loir-et-Cher | ||||
Arrondissement | Vendôme | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Territoires Vendômois | ||||
Maire Mandat |
François Cochet 2020-2026 |
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Code postal | 41100 | ||||
Code commune | 41290 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villeromanois, Villeromanoises[1] | ||||
Population municipale |
228 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 43′ 47″ nord, 1° 08′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 114 m Max. 133 m |
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Superficie | 13,08 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Vendôme (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montoire-sur-le-Loir | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Villeromain est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.
Localisée au nord-ouest du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Beauce », une vaste étendue de cultures céréalières, oléagineuses (colza) et protéagineuses (pois, féverolle, lupin), avec également de la betterave sucrière, et de la pomme de terre. Elle est drainée par la Rère, les Lacs Plats, le Rouaire, les Forges, les Gaz, le Saint Joseph et par divers petits cours d'eau.
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Un espace naturel d'intérêt est présent sur la commune : un site natura 2000. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 39 en 1988, à 15 en 2000, puis à 13 en 2010.
Avec 240 habitants en 2017, la commune fait partie des 57 communes les plus faiblement peuplées de Loir-et-Cher.
La commune de Villeromain se trouve au nord-ouest du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Beauce[2],[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 20,7 km de Blois[4], préfecture du département, à 9,2 km de Vendôme[5], sous-préfecture, et à 21,3 km de Montoire-sur-le-Loir, chef-lieu du canton de Montoire-sur-le-Loir dont dépend la commune depuis 2015[6]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vendôme[7].
Les communes les plus proches sont[8] : Périgny (1,2 km), Villemardy (3,4 km), Crucheray (4,3 km), Selommes (4,6 km), Tourailles (5 km), Sainte-Anne (5,3 km), Coulommiers-la-Tour (6 km), Pray (6,3 km) et Villetrun (6,5 km).
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[9]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[10]. La commune fait partie de l'unité de paysage de « la Beauce »[11].
La fertile Beauce, qui couvre pas moins de six cent mille hectares, est un vaste plateau, essentiellement consacré aux grandes cultures (céréales, colza, betterave sucrière). En Loir-et-Cher, la Beauce s'avance jusqu'à Blois, bordée au nord par le Loir et au sud par la Loire, couvrant un septième du département. Ses paysages épurés et ouverts sur le ciel contrastent avec les vertes collines Percheronnes au nord et surtout avec les grandes forêts Solognotes au sud[12].
L'altitude du territoire communal varie de 114 mètres à 133 mètres[13],[14].
La commune est drainée par des petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8,59 km de longueur totale[15].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[17].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 649 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blois », sur la commune de Villefrancœur à 7 km à vol d'oiseau[18], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,4 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[22]. Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000[23] : la « Petite Beauce », d'une superficie de 52 565 ha[24].
Au , Villeromain est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25]. Elle est située hors unité urbaine[7]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vendôme, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[7]. Cette aire, qui regroupe 57 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (97,5 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (93,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %), forêts (4,3 %), zones urbanisées (2,5 %)[15].
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT des Territoires du Grand Vendômois, approuvé en 2006 et dont la révision a été prescrite en 2017, pour tenir compte de l'élargissement de périmètre[28],[29].
En matière de planification, la commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[30]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de , un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté d'agglomération Territoires Vendômois a été prescrit le [31].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villeromain en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) par rapport au département (18 %) et à la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (93,3 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.
Villeromain[32] | Loir-et-Cher[33] | France entière[34] | |
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Résidences principales (en %) | 91,7 | 74,5 | 82,3 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,8 | 18 | 9,6 |
Logements vacants (en %) | 6,4 | 7,5 | 8,1 |
Le territoire communal de Villeromain est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible)[35],[36].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[35]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[37]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[38].
Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[39], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Villeromain devient formellement « commune de Villeromain »[39],[40].
En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Selommes et au district de Vendôme[40]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[41],[42]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[41]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[43]. Villeromain est alors rattachée au canton de Selommes et à l'arrondissement de Vendôme par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[44],[40],[45]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.
La commune de Villeromain est membre de la communauté d'agglomération Territoires Vendômois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [46].
Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Vendôme, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[7], en tant que circonscriptions administratives[7]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Montoire-sur-le-Loir depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[47] et à la troisième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[48].
Le conseil municipal de Villeromain, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[49] avec listes ouvertes et panachage[50]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 11. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[51].
L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[54].
Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[55]. En 2019, la commune est membre du syndicat intercommunal d'adduction d'eau potable de Selommes qui assure le service en le délégant à une entreprise privée, Suez dont le contrat arrive à échéance le [56].
En 2019, la commune de Villeromain ne dispose pas d'assainissement collectif[57].
L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[58]. La communauté d'agglomération Territoires Vendômois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[59].
La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Selommes qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[60].
En matière de justice, Villeromain relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[61], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[62].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[64].
En 2021, la commune comptait 228 habitants[Note 4], en évolution de −6,94 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 122 hommes pour 116 femmes, soit un taux de 51,26 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,55 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Villeromain selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[69] :
total | % com (% dep[70]) | 0 salarié | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | 20 à 49 salariés | 50 salariés ou plus | |
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Ensemble | 31 | 100,0 (100) | 19 | 12 | 0 | 0 | 0 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 12 | 38,7 (11,8) | 8 | 4 | 0 | 0 | 0 |
Industrie | 1 | 3,2 (6,5) | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Construction | 5 | 16,1 (10,3) | 2 | 3 | 0 | 0 | 0 |
Commerce, transports, services divers | 10 | 32,3 (57,9) | 7 | 3 | 0 | 0 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 5 | 16,1 (17,5) | 3 | 2 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 3 | 9,7 (13,5) | 1 | 2 | 0 | 0 | 0 |
Champ : ensemble des activités. |
Le secteur agricole est important puisqu'il représente 38,7 % du nombre d'entreprises de la commune (12 sur 31), contre 11,8 % au niveau départemental. Sur les 31 entreprises implantées à Villeromain en 2016, 19 ne font appel à aucun salarié et 12 comptent 1 à 9 salariés.
Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[71]
En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[72]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[73]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 19 en 1988 à 15 en 2000 puis à 13 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 60 ha en 1988 à 105 ha en 2010[72]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villeromain, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension économique[72] | |||
Nombre d'exploitations (u) | 19 | 15 | 13 |
Travail (UTA) | 31 | 22 | 17 |
Surface agricole utilisée (ha) | 1 145 | 1 338 | 1 367 |
Cultures[74] | |||
Terres labourables (ha) | 1 130 | 1 329 | 1 360 |
Céréales (ha) | 864 | 904 | 872 |
dont blé tendre (ha) | 522 | 669 | 359 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 66 | s | 90 |
Tournesol (ha) | 140 | s | s |
Colza et navette (ha) | 116 | 244 | 230 |
Élevage[72] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 5]) | 1095 | 1258 | 1258 |
.
Le territoire de la commune est intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : le vin Val-de-loire[75], les volailles de l’Orléanais[76] et les volailles du Maine[77],[78].
Église Saint-Étienne.
Les armoiries de Villeromain se blasonnent ainsi : |