Villiers-sur-Morin

Villiers-sur-Morin
Villiers-sur-Morin
La mairie.
Blason de Villiers-sur-Morin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité CA Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Caroline Auliac
2023-2026
Code postal 77580
Code commune 77521
Démographie
Gentilé Villermorinois
Population
municipale
2 048 hab. (2021 en évolution de +6,39 % par rapport à 2015)
Densité 326 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 40″ nord, 2° 52′ 54″ est
Altitude Min. 44 m
Max. 134 m
Superficie 6,28 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Bailly-Romainvilliers
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Serris
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Villiers-sur-Morin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Villiers-sur-Morin
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Villiers-sur-Morin
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Villiers-sur-Morin
Liens
Site web https://www.villiers-sur-morin.fr/

Villiers-sur-Morin est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Localisation de la commune dans le département.

Villiers-sur-Morin est située dans la Brie, qui forme l'est du Bassin parisien. Elle est longée au nord par le Grand Morin et jouxte par le sud Crécy-la-Chapelle. Elle est proche de Marne-la-Vallée, et est à 11 km à vol d'oiseau au sud de Meaux, 15 km à l'ouest de Coulommiers, 39 km au nord-est de Melun et 39 km à l'est de Paris

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Paris, dans l'unité urbaine de Bailly-Romainvilliers, dans la zone d'emploi de Meaux et dans le bassin de vie de Crécy-la-Chapelle[I 1]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Crécy-la-Chapelle, Coutevroult, Voulangis, Villeneuve-le-Comte, et Couilly-Pont-aux-Dames.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 6,28 km2 ; son altitude varie de 44 à 134 mètres[1].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Villiers-sur-Morin.
Le grand Ru.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :

  • la rivière le Grand Morin, longue de 118,16 km[2], affluent en rive gauche de la Marne, ainsi que :
    • un bras de 0,14 km[3] ;
    • un bras de 0,22 km[4] ;
      • le Grand Ru, 3,11 km[5], qui conflue avec un bras du Grand Morin ;
    • un bras de 0,19 km[6] ;
    • le ru le Dainville, 1,40 km[7], et ;
    • le ru de Misère, 0,67 km[8],[Note 1]., affluents du Grand Morin ;
  • la Marsange, longue de 30,39 km[9], affluent de l'Yerres en rive droite.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,56 km[10].

Trois moulins à eau exploitaient la force motrice du Petit-Morin[11].

Gestion des cours d'eau

[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12]. La commune fait partie de deux SAGE : « Yerres » et « Petit et Grand Morin ».

Le SAGE « Yerres » a été approuvé le . Il correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[14].

Le SAGE « Petit et Grand Morin » a été approuvé le . Il comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[15]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[16].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mouroux à 12 km à vol d'oiseau[19], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Villiers-sur-Morin comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[23],[Carte 1], la « Forêt de Crécy » (6 897,74 ha), couvrant 17 communes du département[24].

Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte topographique de la commune

.

Au , Villiers-sur-Morin est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bailly-Romainvilliers[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant quatorze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[26],[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,6 %), terres arables (32,9 %), zones urbanisées (17,7 %), cultures permanentes (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %)[29].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[30],[31],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

Villiers-sur-Morin est un village de la Brie devenu un village de la banlieue parisienne.

Lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

La commune compte 68 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[32].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 939, alors qu'il était de 870 en 2016 et de 846 en 2011[I 3].

Parmi ces logements, 82,7 % étaient des résidences principales, 5,8 % des résidences secondaires et 11,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,3 % des appartements[I 4].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villiers-sur-Morin en 2021 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,8 %) supérieure à celle du département (3,1 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Villiers-sur-Morin en 2021.
Typologie Villiers-sur-Morin[I 4] Seine-et-Marne[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 82,7 90,2 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,8 3,1 9,7
Logements vacants (en %) 11,5 6,7 8,1

Planification de l'aménagement

[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Pays créçois, approuvé le [33].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[34]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Villiers-sur-Morin, aisément accessible par l'autoroute A4, est desservie par la route nationale 36, ainsi que, sur la rive coté Crécy-la-Chapelle du Grand-Morin, par l'ancienne route nationale 34 (actuelle RD 934).

La ligne d'Esbly à Crécy-la-Chapelle tangente le nord du territoire communal, et la station de chemin de fer la plus proche est la gare de Villiers - Montbarbin, située sur la commune de Crécy-la-Chapelle et en limite de Villiers. Cette halte SNCF à entrée libre est desservie par un tram-train circulant sur la ligne d'Esbly à Crécy-la-Chapelle. En gare d'Esbly, le tram-train assure la correspondance avec les trains du réseau Transilien Paris-Est (ligne P) de la ligne Paris à Meaux via Chelles.

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[35].

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villaris en 1082, de Villariis en 1228[36].

Villiers : À l’origine, ce nom désignait une partie de la villa (grand domaine agricole de l’époque gallo-romaine). Il s’agissait des dépendances qui comprenaient généralement les habitations des ouvriers et les bâtiments agricoles. Plus récemment, ce nom désigne un écart ou un village.

Sur le Grand Morin, une rivière française qui coule dans les départements de la Marne et de Seine-et-Marne.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Meaux du département de Seine-et-Marne[I 2]

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Crécy-la-Chapelle[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Serris[I 2]

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Pays Créçois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et qui succédait au district rural de Crécy-la-Chapelle-Vallée du Grand Morin créé le , dont elle faisait déjà partie.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné le au sein de la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie, dont est désormais membre la commune[I 2]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[37]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1804   M. Marchand    
1807 1808 M. Delaporte    
1809 1811 M. Barrois    
1814 1830 M. Giverne    
1831   Charles Giverne   Cultivateur
1846   Jean Louis Isidore Vallet   Cultivateur
1865 1876 Pierre Antoine Berthier   Propriétaire
1876   Etienne Zéphirin Levesque   Vigneron
1878   Charles Étienne Bequet   Propriétaire
1881   Pierre Antoine Berthier   Propriétaire
1865   Emile Auguste Pottier   Propriétaire
1890   Ferdinand Laurent   Rentier
1919   Albert Cottin   Entrepreneur
1920   Eugène Juvigny   Maraîcher
1925 1953 Charles Demaux   Cultivateur
1953 1959 Émile Pottier    
1959 1986 Alain Renault    
juin 1986 2001[38] Jacques Corpechot DVD Chef d'entreprise
Président de la CC du Pays Créçois (1995 → 2008)
mars 2001 septembre 2018[39],[40] Daniel Chamaillard DVD[41] Artiste peintre
Démissionnaire
décembre 2018[42] mars 2023[43],[44] Agnès Audoux[45]   Commerçante
Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
mars 2023[46],[47],[48] En cours
(au 10 avril 2024)
Caroline Auliac   Cadre en expertise comptable et commissariat aux comptes

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement

[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [49],[50].

Assainissement des eaux usées

[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Villiers-sur-Morin est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour le transport. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [51],[52],[53].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[54]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[51],[55].

Eau potable

[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [51],[56],[57].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[59].

En 2021, la commune comptait 2 048 habitants[Note 7], en évolution de +6,39 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
824856849837842805782747783
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
746724737686622593579533524
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
555566543550535545526642621
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
6145978301 0541 3581 5271 6551 6771 849
2015 2020 2021 - - - - - -
1 9251 9282 048------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 689, représentant 1796 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 010 euros[61].

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 200, occupant 910 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,1 % contre un taux de chômage de 6,7 %. Les 22,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,4 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,7 % de retraités ou préretraités et 7,1 % pour les autres inactifs[62].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 142 dont 6 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 34 dans la construction, 37 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 8 dans l’information et communication, 3 dans les activités financières et d'assurance, 3 dans les activités immobilières, 32 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 8 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 11 étaient relatifs aux autres activités de services[63].

En 2019, 29 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 24 individuelles.

Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[64].

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Villiers-sur-Morin est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[65].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[66]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 3 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 44 ha en 1988 à 105 ha en 2010[65]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villiers-sur-Morin, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Villiers-sur-Morin entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[65],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 3 2 2
Travail (UTA) 5 4 3
Surface agricole utilisée (ha) 133 141 210
Cultures[67]
Terres labourables (ha) 116 s s
Céréales (ha) s s s
dont blé tendre (ha) s s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s s s
Élevage[65]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 39 12 25

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Villiers-sur-Morin abrite les différentes maisons de ses personnalités célèbres.

Elle abrite aussi l'hôtel-restaurant-café-concert d'Eugène Ancelin, chef de la fanfare de Villiers et musicien de bal. Cette auberge, dénommée la « Maison Ancelin », située à côté de l'église Saint-Rémi le long du ru, devint en 1890 le « Cercle artistique » fondé par Amédée Servin[68]. Elle s'appellera successivement la « maison Tuffin » en 1900, la « maison Borniche » en 1903, « la Clef des Champs », avant de devenir une maison d'habitation à la fin des années 1970 ainsi qu'un restaurant appelé « La Table du Curé ».

On peut également signaler :

  • Un chemin de petite randonnée traverse la commune.
  • Parc du château des Dames de Chelles, sans doute aménagé au XIXe siècle[69].
  • « Maison D », construjite en 1964 par Hervé Baley et Marie Michel en béton, parpaings enduits et toiture en cuivre vert[70].

Villiers-sur-Morin dans les arfts et la culture

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Villiers-sur-Morin Blason
D'azur au chevron renversé d'argent accompagné en chef d'une fleur de lys d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Villiers-sur-Morin », p. 382–384

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Nature en attente de mise à jour .
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Bailly-Romainvilliers comprend cinq villes-centres (Bailly-Romainvilliers, Crécy-la-Chapelle, Esbly, Magny-le-Hongre, Quincy-Voisins) et neuf communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Zones ZNIEFF de Villiers-sur-Morin » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  2. « Villiers-sur-Morin - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. « Commune de Villiers-sur-Morin », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
  2. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Villiers-sur-Morin ».
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Villiers-sur-Morin - Section LOG T1 » (consulté le ).
  4. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Villiers-sur-Morin - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la Seine-et-Marne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Grand Morin (F65-0400) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Grand Morin (F6585201) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Grand Morin (F6585101) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Grand Ru (F6584000) » (consulté le ).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Grand Morin (F6585301) » (consulté le ).
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru le Dainville (F6584500) » (consulté le ).
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Misère (F6584600) » (consulté le ).
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marsange (F4770600) » (consulté le ).
  10. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 14 décembre 2018
  11. « Villiers-sur-Morin », Les villes et villages de Brie, sur coulommierspaysdebrie-tourisme.fr (consulté le ).
  12. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  13. « SAGE Yerres - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  14. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
  15. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  16. site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
  17. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  19. « Orthodromie entre Villiers-sur-Morin et Mouroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  20. « Station Météo-France « Mouroux_sapc » (commune de Mouroux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Mouroux_sapc » (commune de Mouroux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  22. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Villiers-sur-Morin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF la « Forêt de Crécy » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. « Unité urbaine 2020 de Bailly-Romainvilliers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  30. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  31. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  32. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  33. « Le SCOT Pays créçois », sur crecylachapelle.eu (consulté le ).
  34. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Plan séisme consulté le 3 septembre 2018 ».
  36. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 371.
  37. « Villiers-sur-Morin », Seine-et-Marne, Société d’Histoire, d’Art, de Généalogie et d’Échange - SHAGE77 (consulté le ).
  38. Hervé Sénamaud, « L'ancien maire poursuit l'association en diffamation », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une citation directe émanant de Jacques Corpechot, le maire de Villiers-sur-Morin jusqu'en mars 2001 et actuel troisième adjoint de la commune. Egalement président de la communauté de communes du Pays créçois, il s'estime en effet gravement diffamé (...). ».
  39. « Monsieur Le Maire, Daniel Chamaillard a démissionné, vous pouvez consulter la lettre destinée à ses administrés »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Nouvelles, sur villiers-sur-morin.fr, (consulté le ).
  40. S.R., « Villiers-sur-Morin : de nouvelles élections municipales les 2 et 9 décembre : Le maire, Daniel Chamaillard, a donné sa démission de son mandat de maire en septembre ainsi que plusieurs conseillers municipaux », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. [1]
  42. Sébastien Roselé, « Villiers-sur-Morin : Agnès Audoux, 53 ans, est la nouvelle maire : Des élections avaient été organisées le 2 décembre à la suite de la démission du maire et de plusieurs conseillers municipaux », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La liste de la nouvelle première magistrate occupe quinze des dix-neuf sièges. Les quatre autres vont à l’opposition ».
  43. Vanessa Relouzat, « Villiers-sur-Morin : treize adjoints demandent la démission de la maire », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Vanessa Relouzat, « Villiers-sur-Morin : "Une irresponsabilité qui paralyse la commune" », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’édile explique : « Sous l’impulsion de Caroline Auliac (1ere adjointe, chargée des Finances, ndlr), 11 élus ont théâtralement présenté ensuite leurs démissions. En agissant ainsi, ils ont volontairement voulu paralyser le fonctionnement de la commune ».
  45. Ann Marie Kornek, « Municipales à Villiers-sur-Morin : Agnès Audoux réélue », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sa liste « Villiers c’est vous avec nous » a obtenu 54,41 % des scrutins, ce qui correspond à 345 votes. Bernard Renault, dont la liste avait fusionné avec celle d’Eric Violleau entre les deux tours, a quant à elle récolte 289 voix, soit 45, 58 % ».
  46. Vanessa Relouzat, « Election municipale à Villers-sur-Morin : l'ex adjointe Caroline Auliac est candidate », La Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. Fiona Faria, « Villiers-sur-Morin : Avec 76,36% des suffrages, Caroline Auliac est élue au premier tour », Crazy radio,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  49. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  50. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  51. a b et c « Commune de Villiers-sur-Morin - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  52. « CA Coulommiers Pays de Brie (CACPB) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  53. « CA Coulommiers Pays de Brie (CACPB) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  54. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  55. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  56. « SIAEP de Coutevroult - Villiers-sur-Morin - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  57. « SIAEP de Coutevroult - Villiers-sur-Morin - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  61. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consulté le 27 janvier 2021
  62. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consulté le 27 janvier 2021
  63. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consulté le 27 janvier 2021
  64. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consulté le 27 janvier 2021
  65. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Villiers-sur-Morin. », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  66. « L'agriculture en Seine-et-Marne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  67. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Villiers-sur-Morin. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  68. « La vallée des peintres », sur villiers-sur-morin.fr.
  69. « Jardin d'agrément dit parc du château des Dames de Chelles », notice no IA77000398, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. « Maison D. Villiers-sur-Morin », notice no IA77000936, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  71. Laura Bourven, « Villiers-sur-Morin. À travers la tombe d'Amédée Servin, la ville veut valoriser son patrimoine culturel », La Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  72. Jean-Michel Rochet, « Vercors avait choisi la Seine-et-Marne pour cadre du "Silence de la mer" », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ).