Des travaux récents ont montré que des extraits de V. baccifera avaient une activité antitumorale sur des cellules d'hépatome humain[3]. Une infusion de cette plante induisait une toxicité sur des cellules cancéreuses humaines et chez le rat. Les résultats ont montré que l'apoptose était liée à l'augmentation du taux intracellulaire des dérivés réactifs de l'oxygène. De même, un des constituants de V. baccifera, la sésamine[4], aurait un effet inhibiteur sur la synthèse du facteur α de nécrose tumorale[5].
↑(en) José Ignacio Ruiz-Sanz, M. Begoña Ruiz-Larrea et Jenifer Trepiana, « Unraveling the in vitro antitumor activity of Vismia baccifera against HepG2: role of hydrogen peroxide », Heliyon, vol. 4, no 6, , e00675 (ISSN2405-8440, PMID30003166, DOI10.1016/j.heliyon.2018.e00675, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Fabiola Salas, Janne Rojas, Antonio Morales, Maria E. Ramos-Nino et Nelida G. Colmenares, « In vitro Cytotoxic Activity of Sesamin Isolated from Vismia
baccifera var. dealbata Triana & Planch (Guttiferae)
Collected from Venezuela », Natural Product Communications, vol. 3, no 10, , p. 1705-1708 (lire en ligne)
↑(en) R. Armour Forse, W. William Zhong, Sambasiva R. Chavali et Tohru Utsunomiya, « Effects of sesamin-supplemented dietary fat emulsions on the ex vivo production of lipopolysaccharide-induced prostanoids and tumor necrosis factor α in rats », The American Journal of Clinical Nutrition, vol. 72, no 3, , p. 804–808 (ISSN0002-9165, DOI10.1093/ajcn/72.3.804, lire en ligne, consulté le )