Vrély

Vrély
Vrély
Église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Dominique Pronnier
2023-2026
Code postal 80170
Code commune 80814
Démographie
Gentilé Vrélysiens
Population
municipale
450 hab. (2021 en évolution de +3,21 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 56″ nord, 2° 41′ 38″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 97 m
Superficie 5,66 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Rosières-en-Santerre
(banlieue)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vrély
Géolocalisation sur la carte : France
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Vrély
Géolocalisation sur la carte : Somme
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Vrély
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Vrély

Vrély est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Vrély est un village rural du Santerre situé à 13 km à vol d'oiseau au nord-ouest de Roye, 19 km au nord-est de Montdidier, 30 km au sud-est d'Amiens, 22 km au sud d'Albert et 43 km à l'ouest de Saint-Quentin.

Il est desservi par la route départementale 329, l'axe Rosières-Bouchoir.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Beaufort-en-Santerre, Caix, Méharicourt, Rosières-en-Santerre et Warvillers.

Rose des vents Caix Rosières-en-Santerre Rose des vents
N Méharicourt
O    Vrély    E
S
Beaufort-en-Santerre Warvillers

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Caix[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Vrély[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[1].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-EN-SANTERRE (80) - alt : 95m, lat : 49°45'54"N, lon : 2°41'53"E
Records établis sur la période du 01-09-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,7 3,1 4,4 8 10,6 12,3 12,3 9,8 7,5 4,1 2 6,4
Température moyenne (°C) 3,8 4,6 7,2 9,8 13,3 16,2 18,3 18,4 15,1 11,5 7,1 4,4 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,5 11,2 15,2 18,5 21,8 24,3 24,4 20,5 15,6 10,1 6,7 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,5
07.01.09
−11,6
12.02.12
−12,5
13.03.13
−4,8
08.04.03
−2,3
05.05.1996
2,2
05.06.12
2,8
03.07.11
3,7
02.08.15
−0,9
25.09.03
−6,1
24.10.03
−9,2
24.11.1998
−14,4
18.12.10
−17,5
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18
24.02.21
24,4
31.03.21
27,2
15.04.07
30,2
27.05.05
35,3
18.06.22
41,6
25.07.19
39,1
12.08.03
34,2
09.09.23
28,1
01.10.11
19,9
06.11.18
16,2
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 45,6 43 44,1 39,4 61,3 55,3 63,8 62,4 45,1 58,1 52,4 65,3 635,8
Source : « Fiche 80682001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Vrély est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rosières-en-Santerre[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[9],[I 1]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,7 %), zones urbanisées (7,3 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 215, alors qu'il était de 216 en 2013 et de 207 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 84 % étaient des résidences principales, 5,3 % des résidences secondaires et 10,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,5 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vrély en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,3 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,1 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Vrély en 2018.
Typologie Vrély[I 2] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 84 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,3 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 10,6 8,4 8,2

Dès 986, Verliacus est produit. Suivront Verleium et Verli en 1165. Puis Verly et Vreli en 1223 précèdent la forme actuelle de Vrely en 1407.

Vrely pourrait signifier Lieu de guerre[13].

Un ancien cimetière gallo-romain a été découvert au lieu-dit le Garganteau. Des cercueils et des squelettes ont été mis au jour lors de différentes fouilles[13].

Le village a possédé une abbaye de bénédictins[13].

Le château fort local était relié à celui de Beaufort par des souterrains qui existent encore en 1899[13].

Révolution française et Empire

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Des troubles sont signalés à cause des Cosaques en 1814 et 1815[13].

Époque contemporaine

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Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le village est éprouvé lors du passage des troupes prussiennes en 1870-1871. Cinq jeunes de la commune trouvent la mort au cours des hostilités[13].

Première Guerre mondiale

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La commune se trouve dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale[14],[15],[16]. Des soldats canadiens sont inhumés au cimetière communal[17].

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[18] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [19].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[20]

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Rosières-en-Santerre[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Moreuil.

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[22].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[23],[24],[25]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[26], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [27].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[28].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
juin 1995 mai 2023[30] Jean-Marie Adde[31]   Mort en fonction.
juin 2023[32] En cours
(au 5 juillet 2023)
M. Dominique Pronnier    

Équipements et services publics

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Enseignement

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Le village n'a plus d'école.

Ses anciens locaux sont désormais une salle communale et associative[33].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 450 habitants[Note 4], en évolution de +3,21 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
759736856866905920914918903
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
821895853807795761707747701
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
641639581472516461495499448
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
457486423415406431457460452
2014 2019 2021 - - - - - -
440449450------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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L'association Détente, Fêtes et Loisirs organise chaque année un marché aux plantes et un concours d'épluchage de patates réservé aux hommes, dont la treizième édition a lieu en avril 2023[37]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours. Construite en 1842, rénovée en 1933, à la sortie du village, vers Caix[41].
  • Monument aux morts, représentant une infirmière soutenant un soldat blessé[42].

Personnalités liées à la commune

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  • Alfred Dizy, résistant, né à Vrely, fusillé par un peloton d'exécution allemand à la citadelle d'Amiens, le [43]. Une rue de la commune porte son nom.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second : Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).

Articles connexes

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Liens externes

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  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rosières-en-Santerre comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Vrély » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Vrély et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Rosières-en-Santerre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c d e et f Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Houbart, 1899, archives départementales de la Somme, Amiens.
  14. Section photographique de l'armée, « Photo : Vrély (près). Canon sous abri casematé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  15. Section photographique de l'armée, « Photo : Caix (près). Dans le ravin de Caix à Vrély ; pièce de 270 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Vrély. Canon de 155 en position de tir », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. « Cimetière communal de Vrély (Somme, France). (guerre) », sur memoireduquebec.com (consulté le ).
  18. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  19. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  20. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  23. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  24. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  25. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L'annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  26. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  27. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  28. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  29. « Les maires de Vrély », sur francegenweb.org (consulté le ).
  30. « Les obsèques du maire de Vrély, Jean-Marie Adde, seront célébrées samedi 6 mai : C'est toujours l'émotion qui domine, ce jeudi 4 mai 2023 dans le village de Vrély, trois jours après le décès du maire de la commune, Jean-Marie Adde. Ce dernier avait été réélu pour la cinquième fois maire en mai 2020 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Un cinquième mandat pour Jean-Marie Adde à Vrély », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Julien Benesteau-Tellier, « Un nouveau maire dans la continuité à Vrély : Lors du dernier conseil municipal, vendredi 30 juin, Dominique Pronnier, jusqu'alors maire par intérim, a été conforté dans sa fonction. L'édile s'inscrit dans la continuité prédécesseur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sans concurrence, Dominique Pronnier, qui assurait l'intérim, poursuit sa mission ».
  33. a et b « Une salle pour les associations : L'ancienne école sera transformée pour accueillir les administrés et associations voulant se réunir », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Un marché aux plantes qui aura la patate à Vrély : Le village de Vrély, près de Rosières-en-Santerre, va accueillir son treizième marché aux plantes dimanche 23 avril 2023. 30 exposants sont déjà inscrits, un concours est prévu. Une journée animée en perspective ! », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Vrely (Canton de Rosières), d'après nature, 7 mai 1875 », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  39. « Georges Durand, photographe à Amiens : l'église (ensemble nord-est), avant 1914 », notice no APMH00024883, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  40. « L'église de Vrély est enfin restaurée : Après plusieurs mois de travaux de rénovation de l'édifice, l'église de Vrély a dévoilé sa mue ce dimanche 24 juillet lors d'une ouverture au public. Coût des travaux : près de 78 000 € », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 245 (ASIN B000WR15W8).
  42. Martine Aubry, « Vrély (80170) », sur monumentsmorts.univ-lille.fr, Les monuments aux morts - France-Belgique-Autres pays, (consulté le ).
  43. Dany Ramette, « À Vrély, un hommage à Alfred Dizy, résistant et fusillé ce samedi 29 juillet : Il y a presque 80 ans, le 2 août 1943, onze résistants étaient fusillés à la citadelle d'Amiens par les occupants allemands, dont Alfred Dizy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).