Dans la leucémie lymphoïde chronique en rechute, le taux de réponse atteint près de 80%[1], avec une quasi-disparition des cellules leucémiques dans un tiers des cas[2]. Il peut être utilisé en combinaison avec le rituximab[3] ou avec l'ibrutinib[4] dans les formes réfractaires.
Dans la leucémie myéloïde aiguë (LAM) chez des personnes âgées, cette leucémie a un très mauvais pronostic, même quand on met en œuvre des médicaments inhibiteurs de la méthyltransférase de l'ADN (décitabine, azacitidine). Dans une étude qui a enrôlé 431 malades de plus de 75 ans, le groupe qui a reçu une association azacitidine/vénétoclax a vu apparaître des rémissions complètes deux fois plus souvent dans le groupe traité par l'association que dans le groupe traité par l'azacitidine seule[7].
↑Shunan Wang, Xingtong Wang, Mingsuo Liu et Ou Bai, « Blastic plasmacytoid dendritic cell neoplasm: update on therapy especially novel agents », Annals of Hematology, vol. 97, no 4, , p. 563–572 (ISSN0939-5555, DOI10.1007/s00277-018-3259-z).
↑Azacitidine and Venetoclax in Previously Untreated Acute Myeloid Leukemia C.D. DiNardo and OthersN Engl J Med 2020;383:617-629 DOI: 10.1056/NEJMoa2012971
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