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Mon yoga, ma détox, mes emmerdes (Québec) |
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Genre | Série humoristique |
Création | Brigid Delaney et Benjamin Law |
Acteurs principaux | Celeste Barber |
Pays d'origine | Australie |
Chaîne d'origine | Netflix |
Nb. de saisons | 1 |
Nb. d'épisodes | 8 |
Format |
Couleur Format HDTV 1080i Son 5.1 |
Durée | 26 à 35 minutes |
Diff. originale | |
Site web | https://www.netflix.com/title/81406669 |
Wellmania, ou Mon yoga, ma détox, mes emmerdes au Québec, est une série télévisée australienne en huit épisodes d'environ 31 minutes créée par Brigid Delaney[1] et Benjamin Law, et mise en ligne le sur Netflix.
Liv travaille comme critique gastronomique à New York. Juste avant de partir en Australie pour le mariage de sa meilleure amie Amy, elle arrive à se faire proposer un rôle de juge culinaire pour une émission télévisée. Elle croit ne rester que quelques jours dans son Australie natale, chez sa mère Lorraine, mais elle perd sa carte verte. Au consulat américain, son visa lui est refusé en raison de son état de santé. Pour revenir et saisir son nouvel emploi, Liv va devoir améliorer son état de santé le plus rapidement possible.
Le , la série est annulée[3].
Le personnage principal est joué par Celeste Barber, « actrice connue pour ses vidéos décalées et satiriques sur Instagram[4] », « en parodiant, ourlée de ses bourrelets de quadra multipare, les poses lascives de mannequins à la plastique parfaite[5] ».
La série compte aussi parmi ses interprètes JJ Fong (vue dans Creamerie), Genevieve Mooy (vue dans The Dish), ou encore Alexander Hodge (vu dans Insecure, Resort to Love)[6].
La série est principalement tournée à Sydney (entre autres à Bronte Beach), mais aussi à New York et à Boston[7].
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« À la fois intelligente et sans prise de tête, cette série Netflix a très vite su trouver son public », pour Vogue France, qui ajoute : « Wellmania démystifie ainsi l'idée d’être bien en permanence et met en avant le véritable chemin vers la paix intérieure que l'on a tendance à oublier[4] ».
Pour Le Point, « La série, par sa cocasserie drolatique, signature de Barber, pose la question de ce que signifie « être bien », et fustige de facto les solutions rapides qui vendent le rêve d'un changement radical et immédiat[9] ».