Naissance | |
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Fratrie |
Arantxa Lete Bergaretxe (d) |
Conjoint |
Lourdes Iriondo Mujika (en) |
Membre de | |
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Genres artistiques | |
Distinction |
Prix Euskadi - Littérature en basque (d) () |
Discographie |
Discographie de Xabier Lete (d) |
Habanera (d), Izarren hautsa (d), Xalbadorren heriotzean, Ni naiz (d), Nafarroa arragoa (d) |
Xabier Lete Bergaretxe, né le à Oiartzun et mort le à Saint-Sébastien, est un poète, chanteur, musicien et académicien espagnol. Poète, passionné d'improvisation, il a marqué de son empreinte toute la culture basque.
Dès la fin des années 1960, la jeunesse se concentre sur les kantaldi, concerts d'un type nouveau où le thème des chansons parle de libération nationale, de progrès social, d'internationalisme et de gloire du combattant. À cette époque, la chanson est une forme d'appel à la jeunesse de Michel Labéguerie, Gu gira Euzkadiko gazteri berria (Nous sommes la nouvelle jeunesse d'Euzkadi). Il a été suivi par les autres auteurs-interprètes du Pays basque nord tels que : Manex Pagola, le duo de Peio Ospital et Pantxoa Carrere, Benat Sarasola, Eñaut Etxamendi et Eñaut Larralde, Maite Idirin. Le côté espagnol, malgré la censure, les interprètes tels que Mikel Laboa, Xabier Lete, Benito Lertxundi, Antton Valverde, les frères Artze, Lurdes Iriondo et d'autres contribuent au développement du courant musical folk au Pays basque[1],[2].
En 2009, il reçoit le prix Euskadi dans la catégorie « Littérature en langue basque » pour son livre de poèmes Egunsentiaren esku izoztuak.
Âgé de 66 ans, Xabier Lete succombe le soir du à une grave maladie.