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Zeina el Tibi, née le 15 août 1954, est une essayiste et journaliste franco-libanaise.
Zeina el Tibi appartient à l’une des plus anciennes[réf. nécessaire] familles de la presse libanaise. Son grand-père Chaker Tibi avait fondé à Beyrouth, après la Première Guerre mondiale, le journal Ikha (la Fraternité). Son oncle Afif et son père Wafic Tibi ont créé, après la Seconde Guerre mondiale, le quotidien nationaliste arabe Al Yom. Afif Tibi a été le président du Syndicat de la presse libanaise et Wafic Tibi a présidé l'Ordre des journalistes. La famille Tibi est propriétaire du quotidien al Yom et du magazine Al Ayam.
Elle est originaire de Barneville-Carteret, dans le département français de la Manche[1].
Zeina el Tibi est chef du bureau du magazine Al Ayam à Paris et elle donne régulièrement des analyses à plusieurs média (France 24, TV5 Monde, Medi1, RFI Doualiya). Présidente déléguée de l’Observatoire d’études géopolitiques[2] à Paris et codirectrice de la collection Études géopolitiques aux éditions Karthala [3], elle est également l’auteur de plusieurs essais.
Docteur en droit public (histoire des idées politiques), Zeina el Tibi est chercheur et essayiste, spécialiste des questions relatives au dialogue des civilisations et des sociétés méditerranéennes. Membre d’Euro-Med Women Network du Centre Nord-Sud du Conseil de l’Europe et, enseignante au sein du master international d’études islamiques de l’université ouverte de Catalogne à Barcelone, codirectrice et chef du bureau de Paris du magazine libanais Al Ayam, elle préside l’Association des femmes arabes de la presse et de la communication à Paris[4].
Elle se prononce résolument contre le fanatisme religieux[5].