Selon que la réaction sur l'électrode est une réduction ou une oxydation, l'électrode de travail est appelée cathodique ou anodique.
Les électrodes de travail courantes peuvent être constituées de matériaux allant de métaux inertes tels que l’or, l’argent ou le platine, à du carbone inerte tel que le carbone vitreux, le diamant dopé au bore[4] ou le carbone pyrolytique, en passant par électrodes à film et à goutte de mercure. Des électrodes modifiées chimiquement sont utilisées pour l'analyse d'échantillons organiques et inorganiques.
↑Peter Kissinger et William R. Heineman, Laboratory Techniques in Electroanalytical Chemistry, Second Edition, Revised and Expanded, CRC, , 1008 p. (ISBN978-0-8247-9445-3, lire en ligne)
↑Allen J. Bard et Larry R. Faulkner, Electrochemical Methods : Fundamentals and Applications, Wiley, , 864 p. (ISBN978-0-471-04372-0)
↑Irkham, Watanabe, Fiorani et Valenti, « Co-reactant-on-Demand ECL: Electrogenerated Chemiluminescence by the in Situ Production of S2O82− at Boron-Doped Diamond Electrodes », Faraday Discuss, vol. 138, no 48, , p. 15636–15641 (PMID27934028, DOI10.1021/jacs.6b09020)