Naissance |
Wasigny (France) |
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Décès |
(à 83 ans) Gembloux (Belgique) |
Nationalité | Belge |
Institutions | Jardin Botanique de l'État, Société royale de botanique |
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Élie Marchal, né le à Wasigny (Ardennes françaises) et mort le à Gembloux, est un botaniste et mycologue belge, conservateur au Jardin botanique de l'État à Bruxelles.
De 1861 à 1871, il est professeur d'enseignement secondaire dans les communes de Virton, Ath, Visé et Maeseyck. Devenu passionné de botanique, puis de cryptogamie, il devient botaniste adjoint (aide-naturaliste) au Jardin botanique de l'État à Bruxelles à partir de 1872. Il a notamment en charge la (re)organisation des Écoles botaniques, de l’herbier des cryptogames, mais aussi de la comptabilité du jardin. Il finit conservateur de l'établissement.
Parallèlement, Marchal donne des cours de botanique à l'École d'Horticulture de Vilvorde (1872-1880) puis dans trois écoles différentes à Bruxelles (École normale des Institutrices de l'État, École normale des Instituteurs de la Ville de Bruxelles et École normale moyenne de l'État) où il participa à la réorganisation de l'enseignement de la botanique.
Marchal est notamment un spécialiste de la famille des Araliaceae.
Il prend sa retraite en 1899 à Gembloux et collabore alors avec son fils, le botaniste Émile Marchal (1871-1954), sur de nombreux travaux scientifiques.
Élie Marchal décrit ou co-décrit de nombreuses espèces[1].
Son nom est immortalisé dans le genre fongique Marchaliella (Georg Winter ex Elisa Bommer & Mariette Rousseau)[2] et Marchalia (Pier Andrea Saccardo)[3].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Marchal est l’abréviation botanique standard de Élie Marchal.
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