Après des études secondaires et un baccalauréat en philosophie, il devient un temps journaliste pour Radio France, puis exerce divers métiers : vendeur de machines agricoles, représentant en peinture, éditeur d'art, pisciculteur en Camargue. Il revient finalement au journalisme et travaille successivement pour plusieurs publications, notamment Jours de France, Valeurs actuelles et au Figaro Magazine[2].
Sous le pseudonyme de Bernard-Paul Lallier, il publie Le Saut de l'ange (1968), un roman policier qui remporte la même année le prix du Quai des Orfèvres et est adapté sous le titre éponyme au cinéma par Yves Boisset en 1971. Le roman connaît une suite, L'Ange du paradis, paru en 1969. En 1977, Deschodt reprend le même pseudonyme pour écrire le thrillerTerreur à Nantes.
Directeur de la revue Réaction[3], il signe en 1999 la pétition « Les Européens veulent la paix » pour s'opposer à la guerre en Serbie[4], initiée par le collectif Non à la guerre[5].
↑Jean-Yves Camus et René Monzat, Les Droites nationales et radicales en France : répertoire critique, Lyon, Presses universitaires de Lyon, , 526 p. (ISBN2-7297-0416-7), p. 318.