Louis-Émile Vanderburch

Louis-Émile Vanderburch (Parigi, 30 settembre 1794 – Rueil, 30 marzo 1862) è stato un drammaturgo, librettista e saggista francese.

Biografia

Louis-Émile Vanderburch è il nipote del pittore Dominique Joseph Vanderburch (1722-1785).

Dopo aver cominciato la sua attività come professore di Storia,Vanderburch dal 1816 decise di dedicarsi alla letteratura, in particolare al teatro. Scrisse un centinaio di pièces, moltissime in collaborazione con i principali drammaturghi del suo tempo: parecchie sue opere conobbero un notevole successo.

Opere

Teatro

1816: Un Brelan de gascons, ou C'est un des trois, commedia in un atto e in versi;
1825: Le Marchand de parapluies, ou La Noce à la guinguette, commedia sbarazzina in 1 atto, con Marc-Antoine Madeleine Désaugiers e W. Lafontaine
1826: Le Baron allemand, ou le Blocus de la salle à manger, commedia-vaudeville in un atto, con Gabriel de Lurieu e Armand d'Artois;
1826: La Salle de police, tableau militare in 1 atto e in vaudevilles, con Pierre Carmouche
1827: Le Barbier de Paris, dramma in 3 atti, dal romanzo di Paul de Kock
1828: Henri IV in famille, tableau aneddotico in 1 atto e in prosa, con Ferdinand de Villeneuve e Auguste Pittaud de Forges;
1829: La Grisette mariée, commedia-vaudeville in due atti, con Charles-François-Jean-Baptiste Moreau de Commagny e Armand d'Artois;
1829: La jeunesse de Marie Stuart, dramma in 2 parti, con de Villeneuve;
1829: La Maison du faubourg, commedia-vaudeville in 2 atti, con de Villeneuve;
1829: La Maison du faubourg, commedia-vaudeville in 2 atti, con Antoine Simonnin e de Villeneuve;
1829: Mathieu Laensberg, commedia-vaudeville in 2 atti, con Auguste Anicet-Bourgeois e de Villeneuve;
1829: La Paysanne de Livonie, commedia storica in 2 atti, con Xavier B. Saintine e de Villeneuve;
1831: Louis XV chez madame Dubarry, commedia-vaudeville in 1 atto, con Bourgeois;
1833: Camarade de lit, commedia in 2 atti con Ferdinand Langlé
1835: Allez vous coucher!, folie-vaudeville in 1 atto, con de Lurieu
1835: Jacques II, dramma storico in 4 atti e in prosa;^[1]
1835: Les Deux créoles, commedia-vaudeville in 2 atti, con Jean-François Bayard;
1836: Le Gamin de Paris, commedia-vaudeville in 2 atti, con Bayard;
1837: Le Marchand de chansons, vaudeville in 1 atto, con Simonnin;
1837: Les Hommes de quinze ans, commedia-vaudeville in 2 atti, Simonnin;
1838: Clermont, ou Une femme d'artiste, commedia-vaudeville in 2 atti, con Scribe;
1838: Deux vieux garçons, vaudeville in 1 atto, con Julien de Mallian;
1839: Les Camarades du ministre, commedia in un atto e in versi;
1839: Les premières armes de Figaro, pièce in 3 atti, con Victorien Sardou;
1840: Charlot, commedia in 3 atti, con Lockroy e Anicet-Bourgeois;
1841: Les Bombé, folie-vaudeville in un atto, con Bayard;
1843 Le mariage du gamin de Paris. commedia-vaudeville in un atto, con Laurencin;
1846: Une nuit au Louvre, dramma in 3 atti e in prosa;
1855: Le Sergent Frédéric, commedia-vaudeville in 5 atti, con Dumanoir;
1857: Amour et pruneaux, commedia-vaudeville in 1 atto, con Varin;

Libretti

1838: La Suisse à Trianon, commedia in 1 atto con Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges e Adolphe de Leuven, musica di Albert Grisar;
1847: Le Braconnier, opéra-comique in un atto, con Adolphe de Leuven, musica di Gustave Héquet;
1854: Le Sanglier des Ardennes, ou le Spectre du château, melodramma in 5 atti à grand spectacle, musica di Léon Fossey;
1863: Peau d'âne, grande féérie in 4 atti e 20 quadri, con Laurencin e Louis François Clairville, musica di Léon Fossey;

Altri scritti

L'Épingle noire, 1816
Le roi Margot, Bruxelles, Meline, 1836
Souvenirs de France, d'Écosse et d'Angleterre pendant les règnes de François I, Henri II, François II, Marie Stuart et Elisabeth, 1832.
Le Gamin de Paris à Alger, 1841-1843.
Histoire militaire des Français. À l'usage des écoles régimentaires et des écoles communales, 1851.

Note

^ « Je n'ai pas voulu dîner avant de vous écrire, parce que je n'aurais pas pu manger et puis je pense que si vous voulez voir Jacques II, vous viendrez me prendre de bonne heure et qu'il faut que je sois prête. Alors je vous baise les mains, les pieds, quoi encore? Tout votre joli petit corps». Lettera di Juliette Drouet a Victor Hugo, 13 juillet 1835.

Bibliografia

Émile Chevalet, Les 365. Annuaire de la littérature et des auteurs contemporains, 1858^[1].
Charles Vander-Burch Fils, Biographie d'un homme de lettres, Imprimerie veuve Théolier Ainé et Cie, In-8°, 19 pages, Saint-Étienne, 1863 su Gallica

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Collegamenti esterni

(EN) Opere di Louis-Émile Vanderburch / Louis-Émile Vanderburch (altra versione), su Open Library, Internet Archive.
(EN) Louis-Émile Vanderburch, su IMDb, IMDb.com.

Controllo di autorità	VIAF (EN) 61678480 · ISNI (EN) 0000 0001 1027 9680 · SBN NAPV000308 · BAV 495/117521 · CERL cnp01356760 · LCCN (EN) n82051113 · GND (DE) 121453359 · BNE (ES) XX1510474 (data) · BNF (FR) cb129509982 (data) · J9U (EN, HE) 987007276626405171

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^ «Voilà M. Émile Vanderburch qui a obtenu dans le vaudeville des succès étourdissants [...]: on se souvient de la vogue du Gamin de Paris, de Clermont ou la Femme artiste. Est-ce ambition? Est-ce absence d'idées à vaudevilles? M. Vanderburch a, un beau jour, renoncé au théâtre et s'est mis à fabriquer des romans de mœurs et puis il vous a taillé à grands coups de ciseaux, une histoire de France.» p. 122.

[1] « Je n'ai pas voulu dîner avant de vous écrire, parce que je n'aurais pas pu manger et puis je pense que si vous voulez voir Jacques II, vous viendrez me prendre de bonne heure et qu'il faut que je sois prête. Alors je vous baise les mains, les pieds, quoi encore? Tout votre joli petit corps». Lettera di Juliette Drouet a Victor Hugo, 13 juillet 1835.

[2] «Voilà M. Émile Vanderburch qui a obtenu dans le vaudeville des succès étourdissants [...]: on se souvient de la vogue du Gamin de Paris, de Clermont ou la Femme artiste. Est-ce ambition? Est-ce absence d'idées à vaudevilles? M. Vanderburch a, un beau jour, renoncé au théâtre et s'est mis à fabriquer des romans de mœurs et puis il vous a taillé à grands coups de ciseaux, une histoire de France.» p. 122.

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