De 1912 à 1939, il est l'organiste de la Société J.-S. Bach. Il est aussi "soliste des Concerts Colonne, Lamoureux. Pasdeloup… claveciniste de la Société des Musiciens de la Vieille France"[2] (présidée par le ténor Yves Tinayre, grand défenseur de la musique ancienne). Il a été également inspecteur de l'enseignement musical dans les conservatoires de province. Il a composé des pièces pour orgue, de la musique de chambre et quelques œuvres orchestrales. Il a également édité des œuvres de Nicolas Bernier, Marc-Antoine Charpentier et Michel-Richard de Lalande. Il est aussi l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'orgue.
Patrick Cabanel, « Alexandre Cellier », dans Patrick Cabanel et André Encrevé (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, t. 1 : A-C, Paris, Les Éditions de Paris Max Chaleil, (ISBN978-2846211901), p. 618
Marc Honegger, Dictionnaire de la musique, Les hommes et leurs œuvres, vol. 1, Paris, Bordas, , p. 222-223
↑Son acte de naissance (no 72) dans le registre des naissances de Molières-sur-Cèze pour l'année 1883. La date et le lieu du décès sont indiqués en mention marginale.
↑La Tribune du Libournais : Organe des groupements de gauche, 02 février 1929