Il expose au Salon de l’Académie entre 1836 et 1850, remporte une médaille de troisième classe en 1839 et de deuxième classe en 1847. Il devient professeur de sculpture à l’École des beaux-arts de Paris.
Perséphone, 1840, statue en bronze, fondue par les établissements Graux-Marly à Paris[4]. Installée initialement à Chicago, elle a été achetée par JL Holcomb en 1850.
Le Génie de la Force, 1857, la Force est représentée sous les traits d’un enfant, Paris, palais du Louvre, aile Daru[7],[8].
Libéral Bruand, 1856, statue en pierre, Paris, palais du Louvre, façade de l’aile en retour Mollien[9].
Christ en gloire entouré d'anges, haut-relief en pierre, Paris, basilique Sainte-Clotilde, grand fronton central du porche. Toussaint est aussi l’auteur d’un Christ en croix au niveau d’un portail.
Un esclave indien portant une torche et Une esclave indienne portant une torche, paire de statuettes en plâtre, Salon de 1847. Édité en bronze par Ferdinand Barbedienne et les fondeurs Graux-Marly[10].
Restitution en 1851 d'après les originaux de Germain Pilon des statuettes de La Loi et de La Justice cantonnant le cadran de la salle des pas-perdus du palais de justice de Paris[14].
↑Maison fondée en 1860 et très active jusqu'à la fin du XIXe siècle, s'installa d'abord boulevard du Temple, puis au 8, rue du Parc-Royal. En 1880 les fils du fondateur lui succédèrent et produisirent des bronzes d'ameublement, des pendules et des candélabres ornés dans le style de Clodion, le style russe, byzantin ou perse et recouverts d'émail. Ils produisirent également des reproductions de sculptures de l'antiquité et de la Renaissance ainsi que des modèles par Barye, Carpeaux, Frémiet, Carrier-Belleuse et d'autres artistes contemporains (cf. aracade.net).