Troisième évêque des listes épiscopales rouennaises, ses deux prédécesseurs ne sont connus que sous forme de légende[1]. Il est le premier évêque attesté historiquement par sa présence, avec Materne II[2], évêque de Cologne, au premier concile des Gaules à Arles en 314[1],[3]. Il succède à Mellon et s'installe à Rouen dès 314[4].
Les Acta archiepiscoporum Rotomagensium disent de lui que « ce bienheureux pontife était un esprit honnête, irréprochable dans ses manières, et attentif au salut des âmes dont il avait la charge »[2].
↑ a et bElisabeth Deniaux, Claude Lorren, Pierre Bauduin et Thomas Jarry, La Normandie avant les Normands : de la conquête romaine à l’arrivée des Vikings, Rennes, Éditions Ouest-France, coll. « Université », , 435 p. (ISBN2-7373-1117-9), p. 319
↑ a et bRichard Allen, « The Acta archiepiscoporum Rotomagensium: study and edition » dans Tabularia « Documents », n° 9, 2009, p. 1-66.
↑Jean Laspougeas, « Une histoire du diocèse de Rouen: Le diocèse de Rouen - Le Havre, sous la direction de Nadine-Josette Chaline », Annales de Normandie, vol. 27, no 3, , p. 340–343 (lire en ligne, consulté le )
↑François Neveux : Les Diocèses normands aux XIe et XIIe siècles; in Les évêques normands du XIe siècle, Caen 1995, p. 13.