Bargemon

Bargemon
Bargemon
Église Saint-Étienne.
Blason de Bargemon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Dracénie Provence Verdon agglomération (ex Communauté d'agglomération dracénoise)
Maire
Mandat
Nadine Decarlis
2020-2026
Code postal 83830
Code commune 83011
Démographie
Gentilé Bargemonais, Bargemonaises
Population
municipale
1 401 hab. (2021 en évolution de −1,96 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 12″ nord, 6° 33′ 01″ est
Altitude Min. 319 m
Max. 1 089 m
Superficie 35,14 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Callas
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Flayosc
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Bargemon
Liens
Site web https://mairie-bargemon.fr/

Bargemon est une commune française située dans le département du Var en région française Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

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Bargemon est située, au pied du Plateau de Canjuers au nord de la ville de Draguignan, distante de 17 km[1].

Voies de communications et transports

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Voies routières

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La commune de Bargemon est accessible par la route départementale 25, entre les villages de Callas et Le Muy, au sud, et Bargème, au nord, ainsi que par la route départementale 19 depuis Montferrat.

La sortie de l'A8 la plus proche est la no 36, qui dessert la ville du Muy.

Transports en commun

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Les transports urbains sont gérés par la communauté d'agglomération dracénoise (TED Bus).

Les collectivités territoriales ont mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![2].

Les lignes interurbaines :

Lignes SNCF

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La gare TGV la plus proche est celle des Arcs - Draguignan.

Transports aériens

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Pour un accès par voie aérienne, Bargemon est à mi-chemin entre l'aéroport de Nice-Côte d'Azur et celui de Toulon-Hyères.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Bargemon
Comps-sur-Artuby
Montferrat Bargemon Seillans
Callas Claviers

Intercommunalité

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Bargemon fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-Communauté d'Agglomération Dracénoise)[3] de 110 019 habitants en 2019[4], créée le 31 octobre 2000. Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2019 sont (par ordre alphabétique) :

Géologie et relief

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Le point culminant de la commune est le Pierrion, à 1 087 m[5], au nord du village.

La route départementale 25, qui traverse la commune, passe par le col du Bel Homme[6].

Le 23 août 1992, un effondrement de terrain de 80 m de diamètre et 15 m de profondeur environ, s'est produit sur la commune au lieu-dit "Peyrui"[7],[8].

Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

  • Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer.
  • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel.
  • Zone Ib : Risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du Nord du département.

La commune de Bargemon est en zone sismique de très faible risque « Ia »[9].

Le 7 avril 2014, un séisme est ressenti.

Hydrographie et eaux souterraines

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Plusieurs cours d'eau traversent la commune[10] :

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 044 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 3,3 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Seillans », sur la commune de Seillans à 7 km à vol d'oiseau[18], est de 14,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 914,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −8,6 °C, atteinte le [Note 1],[19],[20].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[21]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Au , Bargemon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Callas[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), zones urbanisées (3,7 %), cultures permanentes (3,5 %), prairies (2,2 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Bargemon s'écrit Barjamon en provençal de norme classique et Barjamoun dans la norme mistralienne.[réf. nécessaire] Le nom de la commune s'écrivait au XIXe siècle Bargemont[29].

Charles le Gros, en 885, restitua la terre de Bargemon, près Fréjus, à l'abbaye Saint-Martin d'Autun[30].

Jusqu’en 1075, les églises rurales Sainte-Marie de Favars et du Monastier (Sanctae Mariae in valle Vergemonis) appartenaient à l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, date à laquelle elle les cède avec les revenus afférents à l’abbaye Saint-Victor de Marseille[31].

Guillaume de Puget, viguier d'Avignon (1347-48), vice-sénéchal de Provence (1353), chevalier, fut coseigneur de Puget-Théniers[32], seigneur de Figanières, de Bargemon, Flayosc, etc. Il fut conseiller et chambellan[33] de la reine Jeanne qu'il suivit de Provence à Naples[34]. Il eut au moins deux fils, Guillaume et Honorat, coseigneurs de Figanières[35]. Manuel de Puget (?-av.1384), viguier-capitaine de Nice (1374) puis viguier d'Arles (1374-1384), fut chevalier, coseigneur de Puget-Théniers et Figanières, seigneur de Bargemon ; il fut conseiller de la reine en 1350. Il fut assassiné avant le alors qu'il était viguier d'Arles, par Bertrand Sanneri d'Arles[36].

Le château (ou plutôt la maison seigneuriale, grande bâtisse) appartenant aux De Ricavi tout d'abord (leur nom est inscrit dès le XIe siècle au cartulaire de Saint-Victor) puis par un mariage entre la famille de Villeneuve et la famille de Ricavi en 1351 la famille de Villeneuve récupéra le château, passe ensuite à la famille de Charrin, jusqu’en 1977.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

En 2021, la commune comptait 1 401 habitants[Note 4], en évolution de −1,96 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6751 9261 8511 8721 8911 9441 9031 9161 813
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6841 6341 7221 6471 6481 6811 6511 5981 641
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6561 6341 5331 0711 1441 012878853952
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6688298121 1101 0691 2171 4471 5121 374
2021 - - - - - - - -
1 401--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[41] :

  • Écoles maternelle et primaire,
  • Collèges à Figanières, Draguignan, Fayence…
  • Lycées à Draguignan.

Politique et administration

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Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 mai 1953 Camille Aubin PCF Conseiller général
mai 1953 mars 1989 André Delpui SFIO puis PS Conseiller général
mars 1989 mars 2014 Pierre Blanc PT  
mars 2014 2020 Yves Bacquet DVG Retraité
26 juin 2020[44] En cours Nadine Decarlis   Artisan

Budget et fiscalité 2020

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En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[45] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 189 000 , soit 857  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 091 000 , soit 786  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 369 000 , soit 266  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 1 192 000 , soit 860  par habitant ;
  • endettement : 851 000 , soit 613  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 9,92 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,97 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 59,40 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 710 [46].

Agriculture

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La coopérative oléicole du Riou regroupe les producteurs de la commune[47].

Commerce et artisanat

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Bargemon compte de nombreux commerces[47], tant sur le plan alimentaire (boulangerie, boucherie, supérette...), que dans le secteur des services (banque, notaire, coiffeur, institut de beauté...). Des artisans liés au BTP ainsi qu'un garagiste sont présents à Bargemon. Des artisans d'art sont également installés sur la commune (artiste peintre, potier, galeriste).

Autrefois, Bargemon comptait des ateliers de cordonnerie très réputés.

La commune bénéficie de sa proximité avec les gorges du Verdon et le lac de Sainte-Croix. L'hébergement proposé se fait essentiellement par le biais de chambres d'hôtes et d'appartements meublés[48].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Lieux religieux

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Le village de Bargemon est le lieu d'une apparition de la Sainte Vierge[49] à Élizabeth, épouse de Jean Caille, depuis longtemps malade (fièvre, nerfs, épilepsie) et qui fut complètement guérie. C'était le 17 mars 1635. Une petite communauté religieuse, le couvent des Petites Sœurs du Bon Pasteur, y a été fondée par l'Institut du Bon-Pasteur, le , sur la commune de Bargemon, avec l'approbation de l'évêque du diocèse de Fréjus-Toulon, Mgr Rey.

  • Église paroissiale Saint-Étienne[50]. La cloche qu'il abrite actuellement date de 1937[51].
  • Ancienne chapelle Saint-Étienne : il s'agit de la chapelle de la confrérie des pénitents noirs, jusqu'en 1912. Elle abrite depuis 1994 le musée Camos[52], nom du célèbre peintre provençal Honoré Camos.
  • Chapelle de Montaigu[53] : chapelle de la confrérie des pénitents blancs, depuis sa construction en 1609, elle portait le nom de chapelle de l'Annonciade, jusqu'en 1635. Elle prit, alors, le nom de Notre-Dame-de-Montaigu, en hommage à la statuette « miraculeuse » de la Vierge, ramenée de Montaigu, en Belgique.
  • Église Notre-Dame de Favas.

Lieux civils

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  • Les remparts, du XIe siècle.
  • La porte de l'ancienne prison datant de 1582.
  • La porte du château[54].
  • La porte de la tour de l'horloge et sa cloche[55].
  • La porte du clos.
  • La fontaine Philippe Chauvier[56].
  • La fontaine de la place de la Mairie[57],[58].
  • La fontaine de la poissonnerie[59].
  • La fontaine de Couchoire[60].
  • Le lavoir Couchoire[61].
  • Le monument aux morts. Conflits commémorés : guerre de 1914-1918[62],[63],[64],[65].
  • Le château du Reclos.
  • Le moulin à huile[66].

La commune possède quatre musées, ce qui est considérable compte tenu de sa taille[67] :

  • Le musée Honoré-Camos : lieu qui retrace l'histoire du village et qui a vocation d'être également une galerie d'Art
  • Le musée des machines à écrire
  • Le musée des fossiles et des minéraux
  • Un musée unique au monde : ouvert en 2017, le musée du garde champêtre, où des milliers d'objets liés à ce métier sont exposés : des plus anciens aux plus modernes.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Bargemon Blason
De gueules au bélier arrêté d'argent, la tête du bélier surmontée d'une couronne d'or, surmonté de trois étoiles du même rangées en chef[69].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Bargemon
Alias du blason de Bargemon
De pourpre au bélier d'argent surmonté de trois étoiles d'or rangées en chef.
(selon la Banque du blason, et Louis De Bresc)

Des professionnels de santé sont installés à Bargemon[70] :

  • 1 kinésithérapeute
  • 1 pharmacie
  • 1 cabinet d'infirmier

Par contre, aucun hôpital n'est présent sur la commune. L'hôpital le plus proche est le Centre hospitalier de la Dracénie et se trouve à Draguignan, à 17 km[71],[72]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[73] : pôles médico-technique ; santé mentale ; cancérologie ; gériatrie ; femme-mère-enfant ; médecine-urgences ; interventionnel.

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Callas comprend deux villes-centres (Bargemon et Callas) et une commune de banlieue.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Itinéraires
  2. Réseau régional de transports en commun
  3. Bargemon en Dracénie
  4. Les Comptes des Groupements à Fiscalité Propre (GFP) : CA Dracénoise – Var
  5. Le département du Var : Physionomie générale
  6. Cols cyclisme : Col du Bel Homme
  7. Effondrement de Bargemon, Rapport du BRGM
  8. II - Des phénomènes épisodiques dans l'Est et le Centre Var : c. Le Trou de Bargemon
  9. sismicité du Var sur le site de la préfecture
  10. L'eau dans la commune
  11. Fiche du riou de Claviers sur le site du SANDRE
  12. Fiche du Beaudron sur le site du SANDRE
  13. Fiche du Vallon de Duech sur le site du SANDRE
  14. Fiche du Vallon de Carlière
  15. Diche du Vallon de lHubac sur le site du SANDRE
  16. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  18. « Orthodromie entre Bargemon et Seillans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Seillans », sur la commune de Seillans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Station Météo-France « Seillans », sur la commune de Seillans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  21. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  22. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. « Unité urbaine 2020 de Callas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. Insee, « Métadonnées de la commune de Bargemon ».
  26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. Dictionnaire topographique et historique de la Provence ancienne, E. Garcin, 1835
  30. Jacques-Gabriel Bulliot, Histoire de l'Abbaye Saint-Martin d'Autun, Autun, 1849, 2 vol, chap IX, p. 144.
  31. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du (Xe au XIIIe siècle », inGuy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 214
  32. J.-P. Boyer, aux origines, p.217
  33. Cortez, les grands officiers, p.119
  34. Léonard, Histoire, t.II, p.177
  35. AD du 13, série 309E6f105v
  36. Musée Arbaud, MQ563, p.270
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. [1]
  42. Sanctuaire Notre-Dame de Bargemon
  43. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.393-394 [2]
  44. Élections municipales 2020
  45. Les comptes de la commune
  46. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  47. a et b Commerçants et artisans de Bargemon
  48. Hébergement touristique à Bargemeon
  49. « Récit de l’apparition de la Sainte Vierge à Bargemon en 1635 par le Père Raphaël », sur notredamedebargemon.com.
  50. Notice no PA00081535, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  51. « Eglise de Favas (ruines de l'ancienne) », notice no PA00081535, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. le Musée galerie communautaire Honoré Camos
  53. Un peu d’histoire de Bargemon
  54. « Propriété comtale, la seigneurie de Favas », notice no IA83001145, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. Notice no PM83000079, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la tour de l’horloge
  56. Fontaine de la place Philippe Chauvier
  57. « Fontaine du 18s décorant la place », notice no PA00081536, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. Fontaine de la place de la Mairie
  59. Fontaine de la Poissonnerie
  60. Fontaine de Couchoire
  61. Lavoir de Couchoire
  62. Var /Bargemon. ― Le monument aux morts de la guerre de 1914-1918, rue Jean-Jaurès, en totalité, y compris le square qui l'accueille (cad. OE 122) : inscription par arrêté du 22 février 2010
  63. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918) », notice no PA83000022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. Notice no PA83000022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  65. Monument aux morts de la guerre de 1914-1918
  66. « Moulin à huile, puis coopérative agricole (coopérative oléicole) dite Coopérative oléicole de l'Est Varois », notice no IA83001303, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  67. Histoire & patrimoine
  68. Camos, peintre provençal, honoré à Draguignan
  69. Moyen Verdon 2 : Communauté d'agglomération Dracénoise nord, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  70. Professionnels et étéblissements de santé
  71. Centre hospitalier de la Dracénie
  72. Professionnels et établissements de santé
  73. « Département de l’Information Médicale »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ch-dracenie.fr (consulté le ).

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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