Bassillon-Vauzé

Bassillon-Vauzé
Bassillon-Vauzé
L'église Saint-Barthélémy.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Dominique Duclerc
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64098
Démographie
Gentilé Bassillonnais
Population
municipale
66 hab. (2021 en évolution de −7,04 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 27″ nord, 0° 04′ 27″ ouest
Altitude Min. 190 m
Max. 303 m
Superficie 4,96 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bassillon-Vauzé
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Bassillon-Vauzé
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Bassillon-Vauzé

Bassillon-Vauzé est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Bassillon-Vauzé se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 38 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 35 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Corbère-Abères (2,1 km), Vidouze (2,6 km), Lembeye (2,9 km), Moncaup (3,4 km), Luc-Armau (4,0 km), Escurès (4,0 km), Samsons-Lion (4,4 km), Peyrelongue-Abos (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Bassillon-Vauzé fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Lembeye, Vidouze, Corbère-Abères, Luc-Armau et Moncaup.

Communes limitrophes de Bassillon-Vauzé[6]
Corbère-Abères Moncaup
Lembeye Bassillon-Vauzé Vidouze
(Hautes-Pyrénées)
Luc-Armau

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Bassillon-Vauzé.

La commune est drainée par le Larcis, le ruisseau du Boscq et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[8].

Le lac de Bassillon, à l'est de la commune, est la conséquence d'une retenue d'eau sur le Larcis[6].

Une autre retenue d'eau, sur le ruisseau du Boscq, forme la retenue de Lembeye-Corbères, partiellement sur le territoire de la commune, au nord-ouest de celui-ci[6].

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Pyrénées atlantiques »[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 059 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maubourguet à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 904,3 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Au , Bassillon-Vauzé est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,8 %), terres arables (36,4 %), forêts (16,5 %), eaux continentales[Note 4] (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits et hameaux

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Voies de communication et transports

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Elle est desservie par les routes départementales 148 et 205.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bassillon-Vauzé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Larcis. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[27],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bassillon-Vauzé.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 83,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[29].

Le toponyme Bassillon apparaît sous les formes Basilhoo (1385[30], recensement, et 1402[23], censier de Béarn[31]), Bacilhoo, Baxilho, Basilhon et Bacilhon (respectivement 1540[23], 1542[23], 1546[23] et 1550[23], réformation de Béarn[32]) et Bassillon sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[30]).

Son nom béarnais est Bassilhon-Bausèr[33] ou Bassilhoû-Bausè[34].

D’après Michel Grosclaude[30], Bassillon provient du nom d’homme latin Bassilius, augmenté du suffixe -onem, soit « domaine de Bassilius ».

Le toponyme Vauzé apparaît sous les formes Bauser (1385[30], recensement de Lembeye), Bausee, Bauser, Beauzé et Vauzer (respectivement 1538[23] pour les deux premières formes, 1675[23] et 1682[23], réformation de Béarn[32]), Vauser (1768[23], dénombrement de Candau[35]) et Vausé (1793[36] et 1801[36], Bulletin des lois pour la deuxième date).

Selon Michel Grosclaude, l’origine du toponyme est obscure et reste indéterminée[30].

Le Castet, ferme de la commune, est cité dans le dictionnaire de 1863[23], tout comme les Garrus, noté le Garrus.

Le Moutha est mentionné dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[23] en 1863 et désignait un hameau de Vauzé.

Paul Raymond[23] note qu'en 1385, Bassillon dépendait du bailliage de Lembeye et comptait sept feux et qu'il y avait à Vauzé une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. De cette même vicomté dépendait la baronnie de Vauzé, créée en 1641, comprenant, en sus de la commune elle-même, Peyrelongue-Abos.

Bassillon et Vauzé se sont unies en 1833.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Louis Vincens    
1995 2014 Jean-Claude Maury    
2014 En cours Claude Lagarrue    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Bassillon-Vauzé fait partie de quatre structures intercommunales[37] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 66 habitants[Note 6], en évolution de −7,04 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
132130555150286284287240241
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
233203218205190188180167161
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
17816416913411510910910899
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
957576777672737372
2018 2021 - - - - - - -
6466-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les tableaux démographiques ci-dessus ne concernent, avant 1833, que la commune de Bassillon. Avant cette date, Vauzé a connu l'évolution suivante :

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821
129111-141
(Sources : Projet Cassini de l'EHESS[36].)

La commune est située dans la zone AOC de production du pacherenc-du-vic-bilh.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Au lieu-dit Mouthé (Vauzé), un ensemble fortifié[42] (motte, basse-cour et fossé), témoigne d'une présence seigneuriale au XIe siècle.

La ferme dite Maison Laïus[24], au lieu-dit Pouey (Bassillon), date de la fin du XVIIIe siècle. Elle fait partie d'un ensemble de maisons et de fermes identifiées par le ministère de la Culture[43] dans l'Inventaire général du patrimoine culturel.

On peut voir à Bassillon une fontaine[44] datant de 1833. Le presbytère[45] fut construit, quant à lui, entre 1853 et 1860.

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Barthélémy[46], à Vauzé, porte l'inscription 1773 sur le linteau de la porte. On y trouve des objets et mobiliers (chemin de croix[47], chandeliers[48] et bénitier[49]) inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel. L'église Saint-Girons[50], de Bassillon, date également du XVIIIe siècle. Elle recèle, elle aussi, du mobilier (chaire à prêcher[51], des statues[52] et des bénitiers[53],[54]) et des verrières[55] inscrits à l'inventaire du ministère de la Culture.

Équipements

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Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Bassillon-Vauzé » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Bassillon-Vauzé ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Bassillon-Vauzé et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Bassillon-Vauzé et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Bassillon-Vauzé », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o et p Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Bassillon-Vauzé », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Larcis ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Bassillon-Vauzé et Maubourguet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Maubourguet » (commune de Maubourguet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Maubourguet » (commune de Maubourguet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bassillon-Vauzé », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bassillon-Vauzé », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Bassillon-Vauzé », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a b c d e f g h i j k l m et n Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  24. a et b « La Maison Laïus, au lieu-dit Pouey », notice no IA00026458, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bassillon-Vauzé », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. a b c d et e Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes, Béarn, Pau/Serras-Morlaàs/Pau, Edicions reclams & Édition Cairn - 2006, 416 p. (ISBN 978-2-35068-005-7 et 2-35068-005-3).
  31. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  32. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  33. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  34. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  35. Manuscrits des XVIIe et XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Vauzé », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  37. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. « L'ensemble fortifié », notice no IA00026450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Les maisons et fermes anciennes », notice no IA00026457, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « La fontaine de Bassillon », notice no IA00026454, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Le presbytère de Bassillon », notice no IA00026459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « L'église Saint-Barthélémy », notice no IA00026455, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Le chemin de croix de l'église Saint-Barthélémy », notice no IM64002149, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  48. « Les chandeliers de l'église Saint-Barthélémy », notice no IM64002148, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  49. « Le bénitier de l'église Saint-Barthélémy », notice no IM64002147, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  50. « L'église Saint-Girons », notice no IA00026456, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « La chaire à prêcher de l'église Saint-Girons », notice no IM64002145, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « Les statues de l'église Saint-Girons », notice no IM64002146, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « Deux bénitiers de l'église Saint-Girons », notice no IM64002144, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Un bénitier de l'église Saint-Girons », notice no IM64002143, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « Les verrières de l'église Saint-Girons », notice no IM64002142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.