Bellon (Charente)

Bellon
Bellon (Charente)
La mairie.
Blason de Bellon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Philippe Vigier
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16037
Démographie
Gentilé Bellonnais
Population
municipale
137 hab. (2021 en évolution de −15,95 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 18′ 13″ nord, 0° 07′ 13″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 123 m
Superficie 9,13 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bellon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bellon
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Bellon
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Bellon
Liens
Site web bellon.zoom-24.com

Bellon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Bellonnais et les Bellonnaises[1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation et accès

[modifier | modifier le code]

Bellon est une petite commune du Sud-Charente et du canton d'Aubeterre-sur-Dronne.

Elle est à 5 km au nord-ouest d'Aubeterre, 7 km au nord-est de Chalais, 4 km au sud-est de Montboyer, 11 km au sud de Montmoreau et à 39 km d'Angoulême[2].

La D.674, route d'Angoulême à Libourne passe à l'ouest de la commune, à Montboyer.

À l'écart des grands axes routiers, Bellon est desservie par la D 198 qui passe au bourg et va vers Aubeterre par Saint-Romain et rattrape la D 137 à l'ouest qui va à Montboyer. Au nord de la commune, la .140 est-ouest va de Montboyer à Pillac. La D 21, au nord-est de la commune, va de Barbezieux à Aubeterre. Elle permet de rejoindre la D 674 au sud de Montmoreau[3].

La ligne Paris - Bordeaux passe sur le nord-ouest de la commune. La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

[modifier | modifier le code]

Le bourg n'est pas plus grand qu'un hameau. Celui de la Font est à l'ouest du bourg. La commune comprend aussi d'autres hameaux et fermes, comme le Merveillaud, le Soulard, le Pasquet, Bois Jarzeau, Bois Moreau, le Maine Roy, les Beauries, Chasserat, le Couret, le Masson, les Landes, les Viauds, les Hervoits, etc.[3].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Bellon
Montboyer Bors
Courlac Bellon Pillac
Saint-Romain

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La commune est dans les coteaux du Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. La vallée de la Tude, à l'ouest, est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire[4],[5],[6].

Le point culminant de la commune est à une altitude de 123 m, situé au sud de la commune au Grand Maine. Le point le plus bas est à 53 m, situé le long de la Tude en limite nord-ouest. Le bourg, construit sur une colline, est à 115 m d'altitude[3].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Bellon.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Tude, un bras de la Tude, le ruisseau des Grands Prés, le ruisseau du Levraud et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Tude limite la commune au nord-ouest. D'une longueur totale de 43,3 km, elle prend sa source dans la commune de Boisné-La Tude et se jette dans la Dronne à Parcoul-Chenaud, après avoir traversé 15 communes[9].

De petits affluents rejoignent la Tude à l'ouest, comme un ruisseau sans nom qui passe au centre de la commune au nord du bourg, ou le ruisseau du Levraud qui limite la commune au nord. La commune compte aussi quelques petites retenues d'eau à usage agricole[3].

Gestion des cours d'eau

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[7] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Natura 2000

[modifier | modifier le code]

Bordé au nord-ouest par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[12],[13].

Seize espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[12].

Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.

À Bellon, sur un périmètre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, la vallée de la Tude fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[14],[15].

Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[14] :

Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[14].

Au , Bellon est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,1 %), zones agricoles hétérogènes (21,3 %), forêts (15,4 %), prairies (5,2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bellon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Bellon est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de Bors – Pillac – Saint-Romain. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[23]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 1],[23],[24],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bellon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 82,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 98 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 80 sont en aléa moyen ou fort, soit 82 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

Les formes anciennes sont Belunto en 1090[28], Belont en 1329[29].

D'après Dauzat, le nom pourrait venir du gaulois bel-, clair, et suffixe -ont-, -unt-, mais pourrait être une mauvaise latinisation[30]. D'après Dottin, le nom serait issu de *Belodunum, « ville forte », Bellon étant sur une hauteur relative[31],[32].

Aucun site archéologique est mentionné sur la commune[33].

Administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1987 2008 Henri Renaudin    
2008 2020 Jean-Luc Tachet SE Électricien
2020 En cours Philippe Vigier    

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 137 habitants[Note 2], en évolution de −15,95 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
537504514586572545571510510
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
375462451420420419392356386
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
371349291264248254265240205
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
176157179156152180186167160
2019 2021 - - - - - - -
141137-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 46,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 76 hommes pour 72 femmes, soit un taux de 51,35 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
5,6 
90 ou +
2,9 
11,1 
75-89 ans
15,9 
26,4 
60-74 ans
30,4 
30,6 
45-59 ans
23,2 
8,3 
30-44 ans
8,7 
8,3 
15-29 ans
5,8 
9,7 
0-14 ans
13,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[40] et de l'AOC/AOP Noix du Périgord[41].

Équipements, services et vie locale

[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Pierre.

L'église paroissiale Saint-Pierre était à son origine au XIIe siècle le siège d'une cure du diocèse de Périgueux. Elle a été remaniée après les dégâts des guerres de religion au XVIe siècle et présente une nef à travée unique. Elle a été revoûtée à la fin du XIXe siècle, ainsi que le clocher qui a été remonté en 1895[42].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Pierre Véry, romancier et scénariste, né à Bellon le 17 novembre 1900 et mort à Paris le 12 octobre 1960.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Bellon
Blason de Bellon Blason
Losangé d'or et d'azur, au chef de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bellon » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
  7. a et b « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Bellon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « la Tude »
  10. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le ).
  12. a et b [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  13. Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  14. a b et c [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  15. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bellon », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bellon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  28. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 115
  29. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 217
  30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 70.
  31. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
  32. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  33. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 57
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bellon (16037) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  40. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  41. Bulletin officiel du Ministère de l'Agriculture, « Cahier des charges de l'appellation d'origine « Noix du Périgord » » [PDF], (consulté le )
  42. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 67-68

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]
  • Site officiel de la commune de Bellon
  • Catillus Carol, « Bellon », (consulté le )