Par décret du , le nombre de cantons du département est divisé par deux, avec mise en application aux élections départementales de mars 2015. Le canton de Firminy est inchangé lors de ce redécoupage[2].
À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, deux binômes sont en ballottage : Nathalie Desa Ferriol et Marc Petit (FG, 31,79 %) et Jean-Paul Valour et Dominique Vialon (FN, 31,18 %). Le taux de participation est de 49,59 % (10 456 votants sur 21 085 inscrits)[11] contre 48,48 % au niveau départemental[12] et 50,17 % au niveau national[13].
Au second tour, Nathalie Desa Ferriol et Marc Petit (FG) sont élus avec 58,82 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 53,57 % (6 036 voix pour 11 295 votants et 21 085 inscrits)[14].
Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)[16]. Dans le canton de Firminy, ce taux de participation est de 29,25 % (6 038 votants sur 20 640 inscrits)[17] contre 30,05 % au niveau départemental[18]. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Danièle Cinieri et Julien Luya (LR, 33,1 %) et Christophe Faverjon et Anne-Sophie Putot (PCF, 27,57 %)[17].
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,36 % au niveau national[19], 31,31 % dans le département[18] et 31 % dans le canton de Firminy[17]. Danièle Cinieri et Julien Luya (LR) sont élus avec 52,59 % des suffrages exprimés (3 096 voix pour 6 402 votants et 20 650 inscrits)[17],[20],[21].
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[10].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑« Firminy - La saga des maires appelous du XXe siècle. L’Occupation sous Antoine Monteiller », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑Journal officiel de la République française. Lois et décrets, parution 21 février 1943, (en ligne).
↑Luc Cédelle, « Théo Vial-Massat, chef de maquis puis élu communiste de la Loire », Le Monde, (lire en ligne).
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.