Naissance | |
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Formation |
Colegio del Uruguay (Concepción del Uruguay, Argentina) (en) |
Activités |
Membre de |
Académie argentine des lettres (en) |
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Genre artistique | |
Distinction |
Grand Prix d'Honneur de la Société argentine des écrivains (d) () |
Carlos Mastronardi, né le à Gualeguay et mort le à Buenos Aires[1], est un poète, essayiste, journaliste, critique littéraire et traducteur argentin.
Carlos Mastronardi naquit à Gualeguay dans la Province d'Entre Ríos. Il s'installa à Buenos Aires à l'âge de 19 ans. Il se tourna vers l'écriture et devint un poète de d'avant-garde et du symbolisme. Il fut membre du groupe avant-gardiste Martín Fierro, du nom du personnage créé par José Hernández.
En 1955, il remporte le Prix municipal de littérature de la ville de Buenos Aires pour son essai sur le philosophe français Paul Valéry, Valéry o la infinitud del método (Valéry, ou l'infinitude de la méthode).
Il fut le traducteur de poètes français du symbolisme, notamment Stéphane Mallarmé, Arthur Rimbaud et Paul Valéry.
En tant que critique littéraire, il fit l'éloge du premier recueil de poésies d'Arnaldo Calveyra, intitulé Cartas para que la alegria.