Un cartulaire (du latin médiévalchartularium, « recueil d'actes » ; du latin classiquecharta, « papier ») est, selon la définition de la Commission internationale de diplomatique, « un recueil de copies de ses propres documents établi par une personne physique ou morale, qui, dans un volume ou plus rarement dans un rouleau, transcrit ou fait transcrire intégralement ou parfois en extraits, des titres relatifs à ses biens et à ses droits et des documents concernant son histoire ou son administration, pour en assurer la conservation et en faciliter la consultation »[1].
↑(la) Cartulaire de Marmoutier pour le Dunois (manuscrit), 1090-1110, 59 p., in-8° (lire en ligne).
↑(la) Registrum curiae ou cartulaire de Languedoc (manuscrit), s.l., s.e., 1201-1300, 119 p., 33 × 22,5 cm (lire en ligne).
↑(la) Cartulaire de Vigeois (De la main de Baluze) (manuscrit), s.d., 133 p., in-8° (lire en ligne).
↑Société académique des Hautes-Pyrénées, Livre vert de Bénac : Nature et provenance du Livre vert (Bulletin local), Tarbes, s.n., , 112 p., 26 cm (BNF32869102, lire en ligne), p. 2.
Olivier Guyotjeannin, Laurent Morelle et Michel Parisse (dir.), Les cartulaires. Actes de la table ronde organisée par l’École nationale des chartes et le GDR 121 du CNRS (Paris, 5-), Paris, Librairie Droz et Librairie H. Champion, 1993 (Mémoires et documents de l’École des chartes, 39).
Daniel Le Blévec (dir.), Les Cartulaires méridionaux, Publications de l’École nationale des chartes, coll. « Études et rencontres », (ISBN9782357231214, lire en ligne)
Répertoire en ligne de cartulaires français, dont le point de départ est la Bibliographie générale des cartulaires français d’Henri Stein, paru en 1907, mais qui a été amplement complété, corrigé, restructuré et doté d’additions bibliographiques récentes.