Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, la commune de Castelnaud-la-Chapelle est située en Périgord noir. Elle est bordée au nord par la Dordogne et arrosée par son affluent le Céou. C'est une commune rurale[2] qui fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda[3].
À quelques centaines de mètres de la route départementale (RD) 57, le petit bourg de Castelnaud-la-Chapelle est situé, en distances orthodromiques, dix kilomètres au sud-ouest de Sarlat-la-Canéda, et autant au sud-est de Saint-Cyprien.
La commune est également desservie par les RD 50,53 et 53E1.
Castelnaud-la-Chapelle est limitrophe de neuf autres communes. Au sud-ouest, le territoire de Carves est distant de moins de 250 mètres et au nord-ouest, celui de Cladech est éloigné de 350 mètres.
Les limites communales de Castelnaud-la-Chapelle et celles de ses communes adjacentes.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Castelnaud-la-Chapelle est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[4].
Elle est dans le causse de Daglan, au sud-ouest autour de Daglan, entre Saint-Cyprien, Domme et Villefranche-du-Périgord, vaste ensemble éclaté présentant de nombreux faciès calcaires, constitués principalement de pelouses sèches, de steppes, et de forêts perdant leurs feuilles en hiver.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 808 - Sarlat-la-Canéda » et « no 832 - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[5],[6] et leurs notices associées[7],[8].
terrasses sous-flandriennes indifférenciées : sables, graviers et galets localement de grande taille (Weichsélien - '-Wurm'-)
Fxb(b) :
Basses terrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) indifférenciée : limons et sables jaunes à graviers et galets siliceux et petits galets calcaires (Saalien - Riss)
Fwb(D) :
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Altérites de type Rouffignac : argile sableuse ferrugineuse jaune-brunâtre à rougeâtre, à graviers et silex piégés dans les paléokarsts, dolines ou épandage résiduel, cuirasse ferrallitique plus ou moins pisolithique associée
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 51 m et 283 m[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,88 km2[9],[14],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 21,02 km2[6].
Le Céou, d'une longueur totale de 55,07 km, prend sa source dans le Lot dans la commune de Séniergues et se jette en rive gauche de la Dordogne à l'est du bourg de Castelnaud, face à Vézac[21]. Il arrose la commune à l'est sur deux kilomètres.
Deux autres affluents de rive gauche de la Dordogne baignent le territoire communal au nord-ouest : l'Embalay sur trois kilomètres et demi dont plus d'un kilomètre et demi en limite de Veyrines-de-Domme, et l'Antinol qui sert de limite naturelle sur 750 mètres avec Allas-les-Mines.
Le Fonbounou, affluent de la Vallée et sous-affluent de la Dordogne par la Nauze, borde la commune au sud-ouest sur près d'un kilomètre et demi face à Saint-Laurent-la-Vallée.
La Dordogne en contrebas du bourg de Castelnaud et de son château.
Réseaux hydrographique et routier de Castelnaud-la-Chapelle.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[24].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[25].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 849 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 12 km à vol d'oiseau[27], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Castelnaud-la-Chapelle[31],[32]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[33].
Castelnaud-la-Chapelle fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[34],[35], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[36].
Au , Castelnaud-la-Chapelle est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[37].
Elle est située hors unité urbaine[38]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[38]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (53,7 %), zones agricoles hétérogènes (32,5 %), prairies (7,4 %), eaux continentales[Note 5] (3,3 %), terres arables (3,1 %)[41]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le Céou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996 et 1999[45],[43]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le , pour les crues de la Dordogne[46],[47].
Castelnaud-la-Chapelle est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[48]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[49],[50].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[51]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[52]. 36 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[53].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[43].
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[55].
Une statuette anthropomorphe « phallo-féminine » en calcaire silicifié[57] est trouvée dans un champ près du château des Milandes dans les années 1980 par Gwen Linnenkamp, à l'époque âgé de 5 ans. En 2001 il apporte l'objet au Parc archéologique de Beynac à Laurent Bernat, qui la montre à André Morala, technicien au Musée national de Préhistoire des Eyzies-de-Tayac. Randall White étudie l'objet (microscopie optique, microscopie électronique à balayage, expérimentation, diffraction de rayons X, comparaison morphologique et technique avec d'autres statuettes féminines en matière minérale)[58]. La forme générale combine deux formes, l'une féminine, l'autre phallique[59]. Yves Coppens a été le premier à regarder avec sérieux cette double lecture, qu'il a relevée à propos de la vénus de Lespugue et d'un des bas-reliefs de Laussel[60].
Randall White situe la statuette de Castelnaud comme « probablement gravettienne-protomagdalénienne »[57].
L'industrie lithique provenant du même champ date du Moustérien, ce qui est cohérent avec les conclusions d'une prospection systématique des sites de surface menée dans les années 1970 par Jean-Philippe Rigaud et Margaret Conkey dans le secteur autour des Milandes : dominance du Paléolithique moyen, très peu de Paléolithique supérieur qui se résume à de l'Aurignacien et pas de Gravettien. Toutefois, le Paléolithique supérieur se manifeste dans les environs : à l'ouest, les abris du Flageolet 1 et 2 en rive droite de la Dordogne sur Bézenac (6 km au nord-ouest), fouillés par J.-Ph. Rigaud entre 1966 et 1981 et qui, à eux deux, livrent Aurignacien, Gravettien et Magdalénien[61] ; sur Castels (10 km au nord-ouest), également en rive droite de la Dordogne, deux sites de Solutréen, deux sites de Magdalénien, un site d'Aurignacien ; sur Saint-André-d'Allas (6 km au nord), Moustérien et Aurignacien au site de plein air du Dau ; dans la vallée du Céou, le Roc à Vézac et la falaise du Conte (3 km au sud-est, commune de Cénac-et-Saint-Julien), pour différentes époques du Paléolithique moyen et supérieur[62].
La Chapelle-Péchaud conserve le statut de commune associée[63] et, à ce titre, élit un maire délégué qui siège obligatoirement au conseil municipal de Castelnaud-la-Chapelle.
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[64],[65].
Jusqu'en 1972, les communes de Castelnaud-Fayrac et de La Chapelle-Péchaud étaient indépendantes. Le 1er janvier 1973, la commune de La Chapelle-Péchaud s'associe avec celle de Castelnaud-Fayrac qui prend alors le nom de Castelnaud-la-Chapelle[63].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[72].
En 2021, la commune comptait 447 habitants[Note 8], en évolution de −5,1 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En août, épreuve cycliste du Trophée des Châteaux (36e édition en 2024)[74].
En septembre, le Marathon Dordogne-Périgord (25e édition en 2024) est une épreuve de descente fluviale de la Dordogne en canoë-kayak, entre Saint-Julien-de-Lampon et Castelnaud-la-Chapelle sur 32 kilomètres ; pour les jeunes, elle s'effectue sur 12 kilomètres entre Vitrac et Castelnaud-la-Chapelle[75].
En 2015[76], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 207 personnes, soit 43,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-deux) a diminué par rapport à 2010 (trente-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,6 %.
Au , la commune compte 92 établissements[77], dont 61 au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans la construction, neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, sept dans l'industrie, et six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[78].
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, deux sociétés situées à Castelnaud-la-Chapelle se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016 :
dans l'industrie, les Établissements Coste (fabrication de parquets assemblés), 41e avec 6 077 k€[79] ;
dans les services, Kléber Rossillon SARL (gestion des sites et monuments historiques et des attractions touristiques similaires), 24e avec 4 970 k€[80].
André Malraux (1901-1976), écrivain, aventurier, homme politique et intellectuel français, s'installe brièvement au château de Castelnaud en 1944 pendant la Résistance.
Joséphine Baker (1906-1975), achète en 1947 le château des Milandes qu'elle loue depuis 1937. Ruinée elle en perd la propriété en 1968, et doit le quitter en 1969, après y avoir, les derniers temps et en conflit avec le nouveau propriétaire, vécu dans une seule pièce, la cuisine, où elle s'était barricadée.
Jo Bouillon (1908-1984), compositeur, chef d'orchestre et violoniste, le quatrième mari de Joséphine Baker, vit avec celle-ci aux Milandes, de son mariage, en 1947, à la séparation du couple, en 1957 (divorce en 1961).
Germinal Peiro, né en 1953, député de la Dordogne, est maire de la commune de 1983 à 2014.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[15],[16]
↑Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le ruisseau de Pontou, affluent de rive droite de la Dordogne, n'arrose pas la commune de Castelnaud-la-Chapelle située entièrement en rive gauche.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[54].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑[White 2002] Randall White, « Une nouvelle statuette phallo-féminine paléolithique : « la vénus des Milandes » (commune de Castelnaud-la-Chapelle, Dordogne) », Paléo, no 14, , p. 177-198 (lire en ligne [sur researchgate.net], consulté le ), p. 177.
↑[Coppens 1989] Yves Coppens, « L'ambiguïté des doubles vénus du Gravettien de France », Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 133, no 3, , p. 566-571 (lire en ligne [sur persee]).
↑Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 110.