Claude Biwer | |
Fonctions | |
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Sénateur de la Meuse | |
– (10 ans et 2 jours) |
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Groupe politique | UC |
Député français | |
– (3 ans, 1 mois et 19 jours) |
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Élection | 19 mars 1978 |
Circonscription | 2e de la Meuse |
Législature | VIe (Cinquième République) |
Groupe politique | UDF |
Prédécesseur | André Beauguitte |
Successeur | Jean-Louis Dumont |
Conseiller général de la Meuse | |
– (32 ans et 2 jours) |
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Circonscription | Canton de Montmédy |
Prédécesseur | André Léonard |
Successeur | Claude Léonard |
Maire de Marville | |
– (41 ans, 3 mois) |
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Successeur | Marie-José Mertz |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Marville |
Parti politique | NC |
Profession | Agriculteur |
Résidence | Meuse |
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Claude Biwer, né le à Marville (Meuse), est un homme politique français.
Agriculteur de profession, il est élu sénateur de la Meuse le 23 septembre 2001. Membre du Mouvement démocrate puis du Nouveau Centre, il siège au groupe Union centriste.
Au Sénat, il est membre de la commission de l'économie, du développement durable et de l'aménagement du territoire, membre du groupe d'études des sénateurs anciens combattants, du groupe d'études sur l'économie agricole alimentaire, du groupe d'études postes et communications électroniques, du groupe d'études du sport, du groupe d'études du tourisme et des loisirs et président délégué du groupe France-Belgique et Luxembourg.
En parallèle, il est membre de l'Assemblée générale et section permanente du Conseil national des transports, membre du Comité local d'information et de suivi du laboratoire souterrain de Bure et membre du Conseil supérieur du service public ferroviaire.
En 2006, Claude Biwer est condamné à 4 000 € d'amende pour « atteinte à la liberté d'accès ou à l'égalité des candidats dans les marchés publics »[1].
En 2008, il est condamné à 10 000 € d'amende pour « escroquerie, faux en écriture, détournement de fonds publics et complicité de travail dissimulé »[1].
En mars 2010, poursuivi pour « prise illégale d'intérêts », il est condamné à six mois de prison avec sursis et 10 000 euros d'amende par le tribunal de Verdun. Il fait appel auprès de la Cour d'appel de Nancy, qui confirme le jugement et le condamne à deux mois de prison avec sursis, 10 000 euros d'amende et cinq ans d’inéligibilité. Le jugement est confirmé par la cour de cassation en mai 2012. Il est démissionné d'office de son poste de maire de Marville par le préfet, le [2].
Il est nettement battu lors des élections sénatoriales de septembre 2011 et des élections municipales de 2020.