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Earth Moving est le 11e album studio du musicien britannique Mike Oldfield ; il est sorti en 1989. Parmi les invités de cet album, on remarque la présence de plusieurs artistes réputés, par exemple Maggie Reilly dont ce sera la dernière collaboration avec Oldfield, Adrian Belew de King Crimson, Max Bacon du groupe GTR, Chris Thompson de Manfred Mann's Earth Band, Carol Kenyon et Anita Hegerland.
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1. | Holy (Adrian Belew) | 4:37 |
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2. | Hostage (Max Bacon) | 4:09 |
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3. | Far Country (Mark Williamson) | 4:25 |
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4. | Innocent (Anita Hegerland) | 3:30 |
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5. | Runaway Son (Chris Thompson) | 4:05 |
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6. | See The Light (Chris Thompson) | 3:59 |
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7. | Earth Moving (Nikki 'B' Bentley) | 4:03 |
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8. | Blue Night (Maggie Reilly) | 3:47 |
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9. | Nothing But/Bridge To Paradise (Carol Kenyon/Max Bacon) | 8:40 |
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- Mike Oldfield : guitares, claviers
- Raf Ravenscroft : saxophone
- Phil Spalding : basse
- Anita Hegerland : chant sur Innocent
- Adrian Belew : chant sur Holy, guitare solo sur Far Country
- Maggie Reilly : chant sur Blue Night
- Nikki 'B' Bentley : chant sur Earth Moving
- Max Bacon : chant sur Hostage et Bridge To Paradise
- Chris Thompson : chant sur Runaway Son et See The Light
- Mark Williamson : chant sur Far Country
- Carol Kenyon : chant sur Nothing But
- Il s'agit du premier album d'Oldfield composé exclusivement de chansons. Il réitérera cette formule avec son album Man on the Rocks paru en 2014.
- Parmi les chanteurs sollicités, on notera entre autres la présence d'Anita Hegerland (la femme d'Oldfield à l'époque), mais aussi celle d'Adrian Belew de King Crimson et le retour de Maggie Reilly, ainsi que Max Bacon anciennement de GTR et Chris Thompson que l'on peut aussi entendre avec Manfred Mann's Earth Band.
- Contrairement aux apparences, Nothing But/Bridge To Paradise n'est pas un instrumental de fin d'album (comme The Lake sur Discovery, mais deux chansons, qui de plus sont clairement séparées. Une hypothèse suggère que cela a été fait pour tromper le public.
- Avec cet album, Oldfield exploite pleinement les possibilités de la technologie avec des claviers et des synthétiseurs dernier cri ; l'intégralité de la percussion, par exemple, est synthétique. Mais insatisfait par les sonorités et surtout par la direction artistique choisie (ou imposée par Richard Branson), il décidera de changer radicalement avec son album suivant, Amarok.