Eppeville est une commune du Santerre, située dans la vallée de la Somme. Elle jouxte Ham.
La commune est desservie par l'ancienne route nationale 30 (actuelle RD 930) et est aisément accessible par les autoroutes A1 et A26
Elle est traversée par la ligne d'Amiens à Laon, dont la gare la plus proche est la gare de Ham, qui jouxte le territoire communal et est desservie par des trains régionaux TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Tergnier, de Saint-Quentin ou de Laon. Par ailleurs, en 2019, Eppeville est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France :
Le relief de la commune est peu accidenté, l'altitude maximum est de 64 mètres. Le paysage, dans les vallées, est marécageux[2]. Le sol de la commune, sur les hauteurs, se compose de terres franches et argileuses, de tourbe dans les vallées de la Somme et de l'Allemagne[2].
La commune a été marqué par l'existence de la sucrerie pendant près de deux siècles, et qui a cessé la plus grande part de son activité en 2019
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Somme canalisée, la Beine, la Vieille Somme, l'Allemagne, l'Ancienne Beine, la Folie[3] et un autre petit cours d'eau[Carte 1].
L'Allemagne, d'une longueur de 13 km, prend sa source dans la commune de Fréniches et se jette dans la Somme canalisée à Voyennes, après avoir traversé sept communes[7].
Eppeville compte des zones humides et dispose d'un étang communal, géré par l'association de pêche eppevilloise[8]
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 686 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 14 km à vol d'oiseau[13], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Au , Eppeville est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17].
Elle appartient à l'unité urbaine de Ham[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ham, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[19]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (37,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (41,6 %), zones urbanisées (23,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (21,4 %), forêts (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[22]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
La commune d'Eppeville a connu une forte croissance démographique depuis la fin du XIXe siècle, du fait de l'industrialisation. Les destructions de la Grande Guerre ont entraîné la reconstruction quasi totale du tissu urbain le long de la route principale reliant Ham à Roye. Les constructions se sont étendues au sud de la voie ferrée Amiens-Tergnier par la construction d'une cité-jardin. Voisine de Ham, la commune ne dispose pas de services très diversifiés : écoles maternelle et primaire, le commerce de proximité est assez limité. Cependant, des équipements sportifs ont été construits.
Depuis les années 1960, des lotissements de maisons individuelles ont densifié l'habitat entre le village d'Eppeville et ses hameaux de Verlaines et de Saint-Grégoire.
Eppeville forme avec Ham et Muille-Villette un seul et même ensemble urbain du fait de la continuité du bâti.
En 2021, l'avenir du site de la sucrerie est en débat, entre le souhait de son propriétaire de démolir les principaux bâtiments du site afin de favoriser un retour d'activité, le souhait du maire d'éviter la création d'une friche industrielle, le président du pôle d'équilibre territorial et rural (PETR) « cœur des Hauts-de-France », qui estime « qu'au moins la façade de la sucrerie d'Eppeville rentre tout à fait dans ce patrimoine remarquable du XXe siècle » et contribuerait au projet de labellisation comme ville d'art et d'histoire qu'il promeut sur le territoire de trois intercommunalités (Haute Somme, Est Somme et Terre de Picardie)[23] et des associations, dont Respecth (Respect et sauvegarde du patrimoine et de l'environnement des communes du territoire hamois) qui milite pour la protection du site[24].
L'intercommunalité a décidé en avril 2021 l'acquisition des anciens bâtiments de la direction technique d'une superficie de 1 420 m2 afin d'y installer son siège[25], ainsi que la friche industrielle des Armatures du Nord , à l'abandon depuis la fermeture en 2016 de cette ancienne usine spécialisée dans la fabrication d'articles métalliques pour le bâtiment et les travvaux publics[26],[27].
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Le nom d'Espeville figure, en 1143, dans un cartulaire de Prémontré du pape Célestin II, puis sous les formes Espeti villa en 1155 ; Pevilla en 1168 ; Espeville en 1178 ; Espevilla en 1212 ; Speville en 1254 ; Estieville en 1371 ; Eppeville en 1573 ; Ebeville en 1638 ; Espervilles en 1710 ; Epeville en 1733 ; Esperil en 1761 ; Eperville en 1778[28].
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La commune accueille dès 1828 une sucrerie, exploitée par la société Letombe & Cie en 1835, puis par Legrand & Cie en 1889. Le site est racheté en 1893 par Boquet & Cie qui fonde la même année la S.A. Sucrière d'Eppeville[29].
Première Guerre mondiale
La commune est occupée par l'armée allemande dès le , qui installe une Kommandantur dans la mairie après la bataille de la Marne. Des pillages eurent lieu ainsi que l'emprisonnement d'habitants qui n'obéissaient pas immédiatement aux ordres de l'occupant. Cent-cinquante habitants sont déportés en Allemagne le [30].
La sucrerie et les autres sites industriels de la commune sont fortement endommagés en 1917 et entièrement ruinés après la retraite allemande du mois d'août 1918[29].
À la fin de la guerre, la commune est considérée comme totalement détruite[32]. Elle a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [33].
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La Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies est créée en 1919 et regroupe les indemnités de dommages de guerre de quatorze sucreries (Ercheu, Moyencourt, Monchy-Lagache, Mons-en-Chaussée, Eppeville, Péronne, Lesdin, Courcelle, Villers-Saint-Christophe, Flavy-le-Martel, Séraucourt, Arthies et Montescourt-Lizerolles). Ses dirigeants, dont Edmé Sommier, important raffineur parisien, chargent l'architecte Georges Lisch de construire une nouvelle sucrerie, avec le souhait d'en faire la « plus grande sucrerie de France ». La structure métallique est fournie l'usine de Châlon-sur-Saône de la société tchèque Skoda (Établissements Réunis de Prague), filiale de Schneider en France. L'usine est mise en service pour la saison betteravière 1922-1923[29].
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La sucrerie est bombardée en 1940. La grande cheminée est reconstruite en 1941[29]. La ville est bombardée le : « « Quelques jours avant la libération de Ham, une colonne de blindés allemands arrive sur Nesle et s'apprête à entrer dans l'agglomération. Soudain en cet après-midi du 28 août, un ronronnement se fait entendre dans le ciel. Plusieurs ouvriers dans la cour de la sucrerie aperçoivent un piper qui tourne au-dessus de l'usine. Il est environ 19 h 30 lorsqu'une première formation de bombardiers B27 fait son apparition. Les forteresses volantes déversent leurs chapelets de bombes sur la ville, un orage de feu et d'acier. Ces bombardiers pensaient que les cuves de la sucrerie contenaient de l'essence pour les Allemands[34] »
Plaque à la mémoire du 3e bataillon du 140e RIA et à son capitaine Bernard, qui commanda 3 assauts victorieux lors de la Bataille de France, en mai-juin 1940.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[38], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le 30 mars 2016 prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[39].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].
En 2021, la commune comptait 1 742 habitants[Note 5], en évolution de −5,27 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) qui rassemble les communes de Brouchy et Eppeville[53]. L'école élémentaire Philippe-Corentin se trouve à Eppeville.
Le RPI est situé dans l'académie d'Amiens, en zone B pour les vacances scolaires.
Un centre de loisir administré en 2020 par le centre social de l'est de la Somme se trouve dans les bâtiments de la mairie-école[54]
.
La commune compte plusieurs clubs sportifs : l'US Ham cycliste[55], l'Athlétisme sportive Eppeville (ASE)[56], la flèche eppevilloisele (tir à l'arc)[57], RCE (Rugby Club Eppevillois), créé en 2021[58].
Chaque année depuis 1986, se déroule au printemps la course d'ultrafond24 heures non-stop d'Eppeville[59]. Le circuit correspond à une boucle urbaine empruntant les rues du centre-ville, fermées à la circulation le jour de l'épreuve.
La pièce maîtresse de l'économie de la commune résidait dans la sucrerie du groupe Saint-Louis qui longe le nord de la commune sur pratiquement toute sa longueur, le long du canal de la Somme.
Les industries agroalimentaires et des agriculteurs des environs fournissent leurs déchets à la plus grande unité de méthanisation territoriale de la région, mise en service par Vol-V en 2016[61].
Dans un contexte de surproduction mondiale de sucre, le groupe allemand Südzucker, qui annonçait un résultat 2018 décevant avec une perte d'exploitation de 23 millions d'euros sur le troisième trimestre, a décidé en février 2019 la fermeture définitive de l'usine, le site ne conservant à compter de 2020 qu'une activité de stockage de sucre, sirop et mélasse et la déshydratation de pulpes de betteraves.
La production serait transférée à l'usine de Roye, avec les 122 salariés de l'usine. Ne subsisteraient qu'une dizaine d'emplois à Eppeville. Le syndicat professionnel des producteurs de betteraves a fait part de son inquiétude pour les 2 500 agriculteurs qui voient disparaître leur débouché[62],[63].
Une zone d'activité a été aménagée au Pont d'Allemagne[réf. nécessaire].
Reconstruite par Georges Lisch après la Première Guerre mondiale pour la Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies et rénovée après des bombardements en 1940, elle produisait 3000 tonnes de sucre par jour en 1925, ce qui en faisait la première sucrerie picarde de l'époque[29],[64],[65]. Elle appartient aujourd'hui à Saint-Louis Sucre. La sucrerie comprend plusieurs bâtiments remarquable, dont les principaux ont fait l'objet en mai 2021 d'une instance de classement qui la protège des démolitions pendant un an. En particulier il faut noter « le grand hall de fabrication, doté d'une façade monumentale de style Art déco, alliant la mise en œuvre du métal, de la brique et de la céramique, constitue un témoignage d'architecture industrielle d'un exceptionnel intérêt »[47]
Dans le marais d'Eppeville se trouve un alignement mégalithique. Cet ouvrage long de 27 mètres de long s'étend sur cinq blocs. Le menhir le plus imposant atteint plus de 1,8 m de haut sur 1,9 m de large à sa base. Dressé sur un terrain marécageux, la hauteur du monument peut varier selon les saisons, d'où son nom. Selon la tradition, ce monument se rattache à la légende du sabot de Gargantua.
Le monument aux morts d'Eppeville est dû au marbrier-sculpteur Jules Delvienne. Il représente un mourant soutenu par une femme.
Le monument aux morts
Chapelle « Consolatrice des affligés »
Construite en brique, dans une enclave de la sucrerie, entourée d'un mur et d'une grille, elle est inaccessible. Dédiée à la Vierge, elle a été édifiée par une famille dans la douleur[67].
La cité Germaine (rue Sommier, avenue Alice, avenue Lucie, avenue Germaine, avenue Henriette), également conçus par Georges Lisch[68]. C'est une cité-jardin qui est constituée de logements ouvriers.
Alfred de Laage de Meux, ingénieur agronome, aviateur français et commandant en second de l'Escadrille Lafayette, né le dans les Deux-Sèvres et mort le lors d'un exercice, aux commandes d'un SPAD VII : c'était le premier mort de l'escadrille. Une rue de la ville honore sa mémoire depuis mai 2017[69],[70].
Les armoiries de la commune d'Eppeville reprennent celles de Jean Chouignart, seigneur du lieu qui figurent sur un sceau de la fin du XIIIe siècle[71].
Croix de guerre 1914-1918 avec palme. Citation à l'ordre de l'armée du 27 octobre 1920 : « Courageuse cité située dans la zone de bataille pendant la guerre, dont les habitants ont vu leurs biens saccagés et leurs demeures anéanties, s'est signalée par la belle énergie morale dont elle a fait preuve en dépit des misères et des graves dommages qu'elle a subis ; a bien mérité du pays. »[73].
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 295 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/10/1996 au 01/06/2024.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Ham comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bNotice géographique et historique sur la commune d'Eppeville, rédigée par Monsieur Boulongne, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme.
↑J-. C. C., « Rempoissonnement à l'étang communal d'Eppeville, les pêcheurs espèrent une saison 2021 plus calme : L'association de pêche eppevilloise, qui gère l'étang communal, a procédé à un rempoissonnement. La pêche reste malgré tout interdite jusqu'au 13 mar », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« En 2020, 220 kg de gardons et 3 kg de carpes ont été déversés dans l'étang ».
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Nicolas Totet, « La sucrerie d'Eppeville à la croisée des chemins : L'industriel a déposé un permis de démolition d'une partie du site de l'ancienne sucrerie centenaire. Mais une instruction pour protection du patrimoine est aussi en cours. Dilemme en vue », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Christophe Vassent, maire d'Eppeville : « entre la façade de la sucrerie et l'emploi, mon choix est fait » : L'édile revient sur les projets concernant l'ancienne sucrerie et sa façade remarquable et fait le point sur sa position compliquée au sein de l'intercommunalité », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Fouquet, « L'est de la Somme vise la vie de château à Eppeville : Salle de spectacle de 700 places, espace coworking, crèche, la communauté de communes de l'Est de la Somme surfe sur son développement, construit et investit. Elle souhaite désormais acheter une immense bâtisse d'Eppeville pour en faire son siège. Ce qui n'est pas sans provoquer la colère de l'opposition qui crie au scandale en annonçant des dépenses pharaoniques qui pourraient être consacrées à d'autres projets destinés aux 20 483 habitants du territoire, et non pas au confort des décideurs », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Ludovic Lascombe, « La Communauté de communes de l'Est de la Somme à la reconquête de ses friches : La collectivité souhaite acquérir l'ancien site d'Armatures du nord en vue d'y installer des entreprises. Mais les négociations sont compliquées », Le Courrier picard, (La collectivité souhaite acquérir l'ancien site d'Armatures du nord en vue d'y installer des entreprises. Mais les négociations sont compliquées, consulté le )« Cette friche industrielle en pleine zone urbaine, est à l'abandon depuis la fermeture de cette usine spécialisée dans la fabrication d'articles métalliques pour le BTP, à la suite de la liquidation judiciaire de la société le 20 janvier 2016. Une enveloppe globale de 600 000 € a été votée pour l'acquisition et la réhabilitation du site, avec la possibilité d'une aide de l'État à 80 % dans le cadre du Plan de relance ».
↑Hugues Chaigneau, « Quand l'intercommunalité de l'Est de la Somme joue au Monopoly : Plusieurs décisions d'acquisitions foncières ont été validées non sans difficultés par le conseil communautaire, ce mardi 20 avril à Nesle », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Fouquet, « Une immense galerie pour La Fayette à Ham : Les amis du Château de Ham proposent dès aujourd'hui à la salle des fêtes une exposition sur l'aviation durant la Première Guerre mondiale qui a demandé deux ans de travail », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Un hommage aux victimes du bombardement du 28 août 1944 à Eppeville : Le maire aimerait que les nouvelles générations poursuivent cette cérémonie, en hommage aux victimes du bombardement », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Armatures du Nord dépose le bilan : La société spécialisée dans les BTP est en redressement judiciaire. Les employés espèrent créer une Scop pour sauver leur entreprise », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Nicolas Totet, « L'ex-sucrerie d'Eppeville ne demande qu'à stocker : L'ancienne sucrerie de Saint-Louis vit son premier hiver, depuis un siècle, sans la moindre betterave à écraser. Le site n'a plus que pour vocation de stocker la production de l'usine de Roye », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard, (lire en ligne)« Imposée par l'État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
↑« Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50, , p. 5« Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l'Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
↑« Le maire d'Eppeville Philippe Slusarcsyk est décédé », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le )« Philippe Slusarcsyk s'était également investi dans la vie communale. Il avait été élu la première fois au conseil municipal en 1995 puis en 2001 comme adjoint à l'environnement et en 2008 comme maire ».
↑Réélu pour le mandat 2014-2020 : Marjorie Michaud, « Philippe Slusarcsyk élu de nouveau maire de la commune », Le Journal de Ham, nos 14/2014, , p. 9.
↑« Christophe Vassent, nouveau maire d'Eppeville », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Christophe Vassent (...) a été élu par 13 voix sur 18. Deux autres candidats s'étaient présentés : Éric fontaine et Didier Lepere ».
↑« Le nouveau maire d'Eppeville Christophe Vassent : Philippe m'avait demandé delui succéder : Élu maire le 18 janvier après le décès de Philippe Slusarczyk, Christophe Vassent évoque ses projets », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bLudovic Lascombe, « La sucrerie d'Eppeville classée aux monuments historiques pendant un an : Le ministère de la Culture a pris cette décision pour sauvegarder temporairement les bâtiments datant de l'entre-deux-guerres », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Le Courrier Picard, « Carte scolaire, ils restent mobilisés », dimanche , p. 8.
↑« À Eppeville, le centre de loisirs se porte mieux financièrement : Le conseil municipal d'Eppeville s'est réuni lundi 7 décembre dans la salle polyvalente », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Julien Scotté, « Début de saison reporté pour l'US Ham cycliste : La saison des courses cyclistes semble prend le même chemin que celle de l'an dernier, avec un début de saison annulé et la suite dans l'incertitude la plus complète. L'US Ham en fait les frais », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Pas de corrida en décembre pour l'Athlétisme sportive Eppeville : Les championnats de cross de la Somme devraient être néanmoins maintenus début 2021 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« La présidente des archers d'Eppeville démissionne au profit de son secrétaire : Les archers d'Eppeville changent de président avec la démission de Sylviane Choquet. Patrick Dallançon prend leur tête », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Le Rugby Club Eppevillois vient d'être créé : La commune d'Eppeville compte une nouvelle association », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« La course », sur 24 h Non-Stop d'Eppeville (consulté le ).
↑Ludovic Lascombe, « Six caméras de vidéoprotection installées à Eppeville : Le conseil municipal a approuvé le déploiement de la vidéoprotection dans la commune », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Arnaud Brasseur, « La sucrerie fermera en 2020 : Le 14 février, le groupe allemand Südzucker annonçait un plan de restructuration : le site Saint-Louis Sucre d'Eppeville ne produira plus de sucre d'ici un an », Le Journal de Ham, no 112, , p. 5.
↑Dominique Touchart (Photos), « La der des der de la sucrerie à Eppeville : Le samedi 11 janvier 2020 restera dans l'histoire de la Haute-Somme comme le dernier jour de l'ultime campagne betteravière de la sucrerie d'Eppeville. Ambiance à la fois laborieuse et morose », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 276 (ASINB000WR15W8).
↑Arnaud Brasseur, « Une rue Alfred de Laage Le pilote est mort le 23 mai 1917 : Le Centenaire de la Première Guerre Mondiale se poursuit. Cette année, les Amis du château mettent l'accent sur la guerre aérienne », Le Journal de Ham, nos 19/2017, , p. 6.
↑« Un aviateur de la Grande Guerre honoré à Eppeville : Une rue en hommage à Alfred de Laage-de-Meux, pilote mort à Eppeville en 1917, a été inaugurée », L'Aisne Nouvelle, (lire en ligne, consulté le ).
↑Germain Demay, Inventaire des sceaux de l'Artois et de la Picardie no 303, Paris, Imprimerie nationale, 1877
↑Jacques Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, préface de Pierre-Marcel Wiltzer, Préfet de la régopn Picardie, Préfet de la Somme, Abbeville, 1972, Imprimerie F. Paillart p. 37
↑Jacques Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, préface de Pierre-Marcel Wiltzer, Préfet de la région Picardie, Préfet de la Somme, Abbeville, 1972, Imprimerie F. Paillart p. 37