Etsuro Sotoo

Cet article est une ébauche concernant un sculpteur japonais.

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Etsuro Sotoo
Biographie
Naissance
Nom dans la langue maternelle
外尾悦郎Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
外尾 悦郎Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Université municipale des arts de Kyoto
福岡教育大学附属福岡小学校 (d)
福岡教育大学附属福岡中学校 (d)
Lycée de la préfecture de Fukuoka (en)
福岡雙葉小学校附属幼稚園 (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Kyoto Saga University of Arts (en)
Sagrada FamíliaVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Distinction

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Etsuro Sotoo, né en 1953 dans la préfecture de Fukuoka, est un sculpteur japonais. Il est diplômé de l’université municipale des Arts de Kyoto[1].

Influencé par Antoni Gaudí — il est surnommé le « Gaudí japonais » dans son pays natal —, beaucoup de ses sculptures se trouvent à la Sagrada Família de Barcelone[1],[2].

Embauché comme simple tailleur de pierre sur le chantier de la Sagrada Familia, alors qu'il ne parle ni catalan et qu'il n'est pas chrétien, il se convertit au catholicisme et reçoit le baptême en 1998[3]. C'est lui qui achève en 2015 la façade de la Nativité[4].

Il est également très connu au Japon pour avoir réalisé le Musée d'art de Matsuzaki et l'Institut des Cinq Éléments à Fukuoka[3].

En 2024, il reçoit le Prix Ratzinger[5].

Notes et références

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  1. ↑ a et b (en) Y. Kitamura, « Sotoo’s ‘singing angels’ of Sagrada Familia coming to Kyoto », The Asahi Shimbun,‎ (lire en ligne)
  2. ↑ « ETSURO SOTOO, Espagne. Ma vie avec Gaudí », sur Courrier international, (consulté le )
  3. ↑ a et b Claire Lesegretain, « Etsuro Sotoo, une conversion sur les pierres de la Sagrada Familia », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  4. ↑ Catherine Pacary, « « Sagrada Familia, le défi de Gaudi », sur Arte : une basilique édifiante », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. ↑ « Le Prix Ratzinger 2024 décerné à un théologien irlandais et à un sculpteur japonais », L'Osservatore Romano,‎ (lire en ligne)

Liens externes

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