Les intrigues de ses romans suivent les enquêtes et la vie personnelle d'une policière, Elma, revenue travailler dans sa ville natale, Akranes[1],[2],[3],[4]. Les deux premiers livres, Elma et Les Filles qui mentent, débutent par la découverte du cadavre d'une femme[3],[4],[5],[6],[7]. Dans le troisième roman, Les Garçons qui brûlent, Elma, enceinte, enquête après la mort d’un jeune homme dans l’incendie de sa chambre[1],[2],[8],[9],[10]. Le quatrième roman, Le Clan Snæberg, est un huis clos dans un hôtel de luxe, où se joue un drame familial[11],[12],[13],[14],[15].
Son roman Elma a reçu en Islande le Blackbird Award, prix créé par les écrivains islandais Yrsa Sigurdardóttir et Ragnar Jónasson qui récompense les meilleurs espoirs du polar islandais[16],[17],[18],[19].
Les livres d'Eva Björg Ægisdóttir sont traduits et édités dans 14 langues[20].
Elma [« Marrid í stiganum »] (trad. de l'anglais par Ombeline Marchon), Paris, Éditions de La Martinière, , 400 p. (ISBN9782732494944, lire en ligne)[4],[3]. Réédition en poche Points Policiers P5552, 2022[5].
Les Filles qui mentent [« Stelpur sem ljúga »] (trad. de l'islandais par Jean-Christophe Salaün), Paris, Éditions de La Martinière, , 416 p. (ISBN9782757898918, lire en ligne)[6],[21],[7],[22]. Réédition en poche Points Policiers P5905, 2023.
Les Garçons qui brûlent [« Næturskuggar »] (trad. de l'islandais par Jean-Christophe Salaün), Paris, Éditions de La Martinière, , 432 p. (ISBN9791040114222, lire en ligne)[1],[2],[23],[8],[9],[10]. Réédition en poche Points Policiers P6152, 2024.
Le Clan Snæberg [« Þú sérð mig ekki »] (trad. de l'islandais par Jean-Christophe Salaün), Paris, Éditions de La Martinière, , 416 p. (ISBN9791040116974)[11],[12],[13],[14],[15].
↑ a et bPierrick Fay, « Rayon polar : une famille si tranquille », Les Échos, (lire en ligne).
↑ a et bMatthieu Marin, « Thriller islandais, roman sur les traces de Ligonnès : les coups de cœur livres de la rédaction », Ouest-France, (lire en ligne).
↑ a et bSylvie Molines, « « Le clan Snæberg » d’Eva Björg Ægisdóttir : secrets et mensonges d’une famille fortunée », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Isabelle de Montvert-Chaussy, « Eva Björg Ægisdóttir : une nouvelle plume dans le paysage des romans noirs des pays nordiques », Sud Ouest, (lire en ligne).