En interview, Keenan explique que la thématique centrale de Fear Inoculum est la maturité et l'acceptation de soi : « J’ai l’impression que l’album traite de la sagesse à travers l’âge et l’expérience. Heureusement, en vieillissant, vous devenez plus sage grâce à certaines des choses que vous avez vécues. Vous apprenez de vos erreurs et de vos succès. Donc, s’il y a quelque chose qui caractérise cet album, c’est ce phénomène de faire le point sur sa vie et de s’accepter ici et maintenant. »[N 1],[2],[3]
Concernant le titre, Carey précise qu'il s'agit plus précisément du fait d'apprivoiser certaines peurs : « L’album s’appelle Fear Inoculum, c’est un peu comme si vous pouviez choisir vos peurs et les utiliser à votre avantage plutôt que de les laisser vous consumer. Vous grandissez, et à mesure que vous vieillissez, vous en avez plus rien à faire. »[N 2],[2],[4]
Fear Inoculum contient sept pistes dans sa version physique, et trois de plus dans sa version numérique, pour une durée totale d'environ 80 minutes[5],[6],[7]:
Tool annonce en la sortie d'un nouvel album le [8]. Le titre Fear Inoculum est annoncé le [9]. La pochette de l'album, réalisée par Alex Grey, comme celles de Lateralus et de 10,000 Days, est révélée le [10]. Un premier morceau, Fear Inoculum, sort le [11]. La liste des pistes est publiée le [6].
Fear Inoculum reçoit un bon accueil critique. L'agrégateur Metacritic lui donne une moyenne de 81/100 en rassemblant 23 critiques[12]. L'album détrône l'album Lover de Taylor Swift, sorti une semaine avant et qui occupait la tête du classement Billboard 200, devenant premier du classement[20].
↑Citation originale : « I feel like this is [about] wisdom through age, through experience. Hopefully through aging you do find wisdom in some of the things you’ve encountered. Learning from your mistakes, learning from your successes. So if anything is a broad stroke of this album, it would be embracing where we are right now, acknowledging where we’ve come from and some of the things we’ve grown through. »
↑Citation originale : « I mean it’s called ‘Fear Inoculum‘, so it’s kind of like being able to choose your fears and making them work for you rather than actually living in fear. You grow through that, and as you get older you kinda don’t give a shit. »
↑(en-GB) Kate Hutchinson, « Tool: Fear Inoculum review – primordial riffage to pull you under », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le )