Federico Caffè s'est particulièrement intéressé à la politique économique et sociale. L'un de ses livres, Lezioni di politica economica (Leçons de Politique Économique), est considéré comme le résumé complet de ses idées. Fervent critique de libre-échange, il est de son propre aveu d'inspiration Keynésienne et intéressé par le modèle social scandinave[2].
Le 15 avril 1987, Federico Caffè a soudainement disparu, peu de temps après avoir quitté l'enseignement universitaire. Il a été officiellement déclaré mort, le 30 octobre 1998. Le mystère demeure : suicide ou disparition volontaire[3] ?
La solitudine del riformista, Bollati Boringhieri, Turin (1990), Édité par Nicola Acocella et Maurizio Franzini, (ISBN88-339-0556-X)
Scritti quotidiani, Manifestolibri, Rome (2007), (ISBN88-7285-491-1); qui recueille les écrits qu'il a publié sur le journal Il Manifesto de 1976 à 1985.
Contro gli incappucciati della finanza. Tutti gli scritti: Il Messaggero entre 1974 et 1986, L'Ora, 1983-1987, Édité par Giuseppe Amari, Castelvecchi, 2013.
La dignità del lavoro, a cura di Giuseppe Amari, Castelvecchi, 2014, (ISBN88-6826-570-2)
Acocella, N. (5e édition ed.), F. Caffé, Lezioni di politica economica, Bollati Boringhieri, Turin, 1990, (ISBN978-88-339-5457-8).
Acocella, N., In difesa del welfare state, dieci anni dopo, dans: Acocella, N. & Rey, G. M. & Tibéri, M. (eds), Saggi di politica economica in onore di Federico Caffè, vol. III, Franco Angeli, Milan, 1999.