François-Didier Gregh
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| François-Didier Gregh | |
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| Fonctions | |
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| Ministre d'État de Monaco | |
| – (3 ans, 1 mois et 23 jours) |
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| Monarque | Rainier III |
| Prédécesseur | Paul Demange |
| Successeur | André Saint-Mleux |
| Directeur du Budget | |
| – (4 ans, 9 mois et 13 jours) |
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| Prédécesseur | Roland Dagnicourt |
| Successeur | Roger Goetze |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Paris (France) |
| Date de décès | (à 86 ans) |
| Lieu de décès | Fontainebleau (France) |
| Nationalité | Française |
| Père | Fernand Gregh |
| Mère | Harlette Hayem |
| Diplômé de | Université de Paris |
| Profession | Haut fonctionnaire |
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| Ministres d'État monégasques | |
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François-Didier Gregh, né le et mort le , est un haut fonctionnaire français.
Biographie
[modifier | modifier le code]Jeunesse et études
[modifier | modifier le code]Né le [1] à Paris, François-Didier Gregh est le fils d'Harlette Hayem et Fernand Gregh[2]. Il suit ses études secondaires au lycée Janson-de-Sailly[3], puis effectue des études supérieures à l'université de Paris, où il est licencié ès lettres en 1927[4]. Il est docteur en droit (sans thèse) de la faculté de droit de Paris[4]. Il est diplômé de l'École libre des sciences politiques, où il a suivi les cours de Wilfrid Baumgartner[5].
Parcours professionnel
[modifier | modifier le code]Il réussit le concours de l'Inspection des finances[2].
Après avoir été directeur du Budget et du Crédit lyonnais, il est nommé en 1955 secrétaire général adjoint de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord[6], où il est chargé de l'économie et des finances ; il occupe ce poste jusqu'en 1967, concomitamment au retrait de la France du commandement intégré de l'OTAN[7]. Il est alors supérieur hiérarchique d'Hugh Hambleton. Ce poste est aboli en 1967 quand la France se retire partiellement de l'OTAN[Note 1].
Quand le général de Gaulle prend le pouvoir, F.-D. Gregh devient secrétaire général adjoint de la coordination de Défense à l'OTAN.
Il est ministre d'État de Monaco de 1969 à 1972[2].
Il meurt le à Fontainebleau[2]. Son épouse est décédée en 1994.
Décorations
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Grand-Officier dans l’ordre de Saint-Charles (Monaco)[8]
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- ↑ Acte de naissance de François-Didier-Fernand-Armand-Louis Georges Gregh sur le site des Archives de Paris 16e, le 29 mars 1926, vue 27/31, acte n° 364
- Cardoni et al. 2012.
- ↑ (en) Anonymus AC00033125, Who's who in the world. 1.1971/72(1970), Marquis Who's Who, (ISBN 978-0-8379-1101-4, lire en ligne)
- (en) Bataan, Bataan Publishing Company, (lire en ligne)
- ↑ Olivier Feiertag, « Chapitre III. « Le beau métier » d’un directeur du Trésor « au carrefour des problèmes » (février 1934-novembre 1936) », dans Wilfrid Baumgartner : Un grand commis des finances à la croisée des pouvoirs (1902-1978), Institut de la gestion publique et du développement économique, coll. « Histoire économique et financière - XIXe-XXe », (ISBN 978-2-8218-2822-3, lire en ligne), p. 135–208
- ↑ « M. Didier Gregh secrétaire général adjoint de l'O.T.A.N. pour l'économie et les finances », sur lemonde.fr, .
- ↑ « M. François-Didier Gregh fait ses adieux à l'O.T.A.N. », sur lemonde.fr, .
- ↑ https://journaldemonaco.gouv.mc/var/jdm/storage/original/application/a728d98e72ba32d4a120f9be29d59590.pdf
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « Gregh Guillaume Thomas Pierre Antoine », dans Fabien Cardoni, Nathalie Carré de Malberg et Michel Margairaz (dir.), Dictionnaire historique des inspecteurs des finances (1801-2009) : dictionnaire biographique et thématique, Paris, Comité pour l'histoire économique et financière de la France, coll. « Histoire économique et financière de la France », (ISBN 978-2-11-097521-8, lire en ligne).
