Ghost Master

Ghost Master
Logo du jeu.

Développeur
Éditeur
Distributeur
Réalisateur
Scénariste
Richard Boon
Compositeur
Producteur
Andy Severn, Vince Farquharson

Début du projet
1999 (début de production : 2000)
Date de sortie
Windows : 23 mai 2003 (Royaume-Uni), 20 juin 2003 (France)
Steam : 23 août 2003
Mac : octobre 2003 (Royaume-Uni)
Xbox : 14 janvier 2005 (France)
PlayStation 2 : 28 janvier 2005 (France)
Epic Games Store : 08 juillet 2022
Genre
Mode de jeu
Plate-forme
Ordinateur(s) :
Console(s) :

Langue
Moteur
RenderWare 2.0, remplacé par la suite par un moteur interne de Sick Puppies

Évaluation
CERO : 12
ELSPA : 11-14
ESRB : T ?
PEGI : 7 ?
USK : 6 ?
PEGI : 12 ?
Site web

Ghost Master (ou Ghost Master : Les Chroniques de Gravenville[a]) est un jeu vidéo de puzzle/stratégie sur PC. Le joueur incarne le "Ghost Master" et se voit attribuer la tâche de corriger les injustices entre les mortels et les esprits. Un Ghost Master ne peut pas interférer directement dans le monde des vivants, c'est pourquoi une équipe de fantômes possédants diverses aptitudes lui est attribué.

Le jeu est sorti sur Windows en mai 2003, édité par Empire Interactive. Une version sur Mac OS, éditée par Feral Interactive[1] est publiée la même année. En 2005, le jeu est porté sur consoles de sixième génération, bénéficiant de quelques ajouts mineurs.

Système de jeu

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Dans la majorité des niveaux de Ghost Master, le but est de faire fuir tous les mortels en les faisant disparaître de la zone de jeu (ou bien en les laissant succomber à la folie...). Ghost Master se joue de la même façon qu'un jeu de stratégie à temps réel. Le joueur compose une équipe avec les fantômes disponibles.

Univers du jeu

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La progression du joueur s'effectue à travers 15 niveaux, répartis en 3 actes. Un niveau est terminé lorsque tous les objectifs de mission ont été accomplis, débloquant le(s) niveau(x) supérieurs. Chaque acte se conclut par la libération partielle ou totale du Darkling[b]. Dans chaque partie (aussi appelée « chasse »), le Ghost Master a la possibilité de délivrer des fantômes dissimulés dans les différentes cartes pour les ajouter à son équipe. La mission bonus « Class Of Spook 'Em High »[c] disponible dans certaines versions du jeu[d] se déroule à la « Ghoul Room » (ou « Salle Macabre » dans la version française), carte utilisée jusqu'alors comme Quartier Général des fantômes dans les 3 premiers actes et servant principalement à améliorer leurs compétences[e]. Certaines zones de jeu sont réutilisées d'un niveau à l'autre dans différents actes.

  • Didacticiel : Les bases de la chasse (Haunting 101)
  • Niveau 1 : Weird Seance
  • Niveau 2 : L'Horreur de Calamityville (The Calamityville Horror)
  • Niveau 3 : Mes sorciers mal aimés (Summoners Not Included)
  • Niveau 1 : The Unusual Suspects
  • Niveau 2 : Deadfellas
  • Niveau 3 : Les apprenties sorcières (Facepacks and Broomsticks)
  • Niveau 4 : Des Esprits Volatiles (Poultrygeist)
  • Niveau 5 : Le Fantôme du Bloc Opératoire (Phantom of the Operating Room)
  • Niveau 6 : Blair Wisp Project (The Blair Wisp Project)
  • Niveau 1 : La caverne aux frissons (Spooky Hollow)
  • Niveau 2 : Casseurs de fantômes (Ghostbreakers)
  • Niveau 3 : Full Mortel Jacket (Full Mortal Jacket)
  • Niveau 4 : Retour dans le nid de coucou (What Lies Over the Cuckoo's Nest)

Mission Bonus : Class Of Spook 'Em High

Les fantômes sont regroupés en 6 catégories qui sont les types Elfes, Troubles, Élémentaires, Vapeurs, Trouilles et Horreurs. Chacun des 47 fantômes présents dans le jeu possède une liste de pouvoirs déterminée en général par son type ainsi que par son point d'attache[f]. Ces données servent au joueur à élaborer son équipe durant la phase de formation (sélection des fantômes) se déroulant avant chaque chasse pour s'adapter à la fois aux objectifs de missions et à la carte du jeu. Les fantômes ont tous au minimum entre 2 et 5 pouvoirs et peuvent en obtenir jusqu'à 10 en les achetant à la « Ghoul Room » contre du plasme d'or[g].

Généralités

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Le scénario principal reprend les scènes qui se déroulent dans le dernier niveau de chaque acte sans prendre en compte les histoires qui se déroulent dans le reste du jeu. La chronologie est tout de même importante puisqu'elle permet au joueur de découvrir de nouvelles phases de gameplay avant de les appliquer dans les niveaux plus complexes et d'acquérir des fantômes ou compétences.

Résumé de l'intrigue

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Durant l'Acte I

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Aux alentours de la municipalité de Gravenville, où de nombreux fantômes sont à la recherche de la paix éternelle, un professeur d'occultisme (dit « Dr Krauss » ) emporte un livre d'une grande puissance dans la forêt avec pour objectif d'invoquer un esprit ancestrale connu sous le nom de Darkling. Après son échec, il retourne enseigner à l'université, mais trois de ses élèves s'emparent de ses notes et se lancent à la recherche du manuscrit pour leurs propres intérêts. Malgré une tentative du professeur de déjouer leurs plans, ils parviennent à trouver l'ouvrage et amènent le Darkling dans le monde des mortels à travers un rituel, celui-ci s'empare alors de leurs âmes pour gagner en puissance.

Durant l'Acte II

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La créature maléfique a besoin davantage d'âme perdues pour se délivrer de ses chaînes. Par chance, de nouveaux étudiants partent à la poursuite de mystérieuses légendes dans les bois proches. Menés par le Ghost Master, ils servent eux-aussi à nourrir les pouvoirs du Darkling. Cependant, le Dr Krauss[h] refait surface et capture le Darkling pendant sa libération de l'entre-deux monde.

Durant l'Acte III

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Le démon est de nouveau prisonnier, retenu captif au sommet d'un hôpital protégé par de nombreuses zones d'où le Ghost Master ne peut pas interagir directement avec ses fantômes. Le professeur tente de récupérer les pouvoirs surpuissants du Darkling dont il voue un culte depuis plusieurs années. Après avoir infiltré le complexe et désactivé les sécurités, le Dr Krauss est éliminé à jamais, le Darkling est libéré et la peur s'installe sur la cité autrefois paisible de Gravenville, désormais aux mains des esprits frappeurs.

Dans le niveau bonus Class Of Spook 'Em High, les casseurs de fantômes ont placés une bombe prête à exploser dans l'ancien lycée de Gravenville. En la désactivant, le Stay Cool Ice Cream Man entre en scène et tente de priver le Ghost Master de ses fantômes[i]. Une fois la menace mortelle écartée, les revenants ont accompli leur ultime mission et sont prêts à un passage en paix vers l'au-delà : chacun d'entre-eux s'envole vers la lumière.

Fin alternative

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De la même manière que dans Far Cry 4, une fin alternative est disponible dès le début du jeu. Pour y accéder, lorsque le personnage demande sur le plateau de ouija si un esprit est présent, il est possible d'entrer « NO »[j] à la place d'un pseudonyme, le jeu se ferme alors puisque la partie ne peut se jouer sans un Ghost Master.

Références cachées

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Une grande partie du jeu parodie des œuvres cinématographiques, particulièrement le genre horrifique[2],[3],[4], et y glisse beaucoup de références dans les titres des niveaux, les noms et apparences des personnages, les musiques et les écrans de chargement[5] (liste non exhaustive):

  • Weird Seance : Weird Science [6] - aussi, un des membres de la fraternité se nomme Obi-Wan Shinobi en référence à Obi-Wan Kenobi de la franchise Star Wars
  • L'Horreur de Calamytiville : Amityville : La Maison du diable [7] - L'écran de chargement du niveau reprend l'affiche du long métrage de 1984. À l'instar du film, le scénario évoque une série d'assassinats dans la maison
  • Mes sorciers mal aimés : Evil Dead - Première apparition du Dr. Krauss, principal antagoniste du jeu, qui d'après son créateur tire son nom de Werner Krauss qui joue le Dr Caligari dans le film d'horreur Le Cabinet du Dr Caligari. Son caractère de savant fou est tiré des oeuvres du romancier H.P. Lovecraft[6]
  • The Unusual Suspects : Usual Suspects - Plusieurs personnages de la chasse portent un nom en référence à la série Capitaine Furillo ; le fantôme du sous-sol de la carte « Electrospasm » est tiré des frères Scoleri de SOS Fantômes 2[8]
  • Deadfellas : Les Affranchis (Goodfellas) - Dans ce niveau, le fantôme Flash Jordan est inspiré de la journaliste Amy Archer dans Le Grand Saut, son nom provient du super-héros de science-fiction Flash Gordon[8]
  • Les apprenties sorcières : L'Apprentie sorcière (en VO : Facepacks and Broomsticks / Bedknobs and Broomsticks) - Le fantôme « Hogwash » ressemble à une marmotte en référence à celle du film Un jour sans fin[8]
  • Des Esprits Volatiles : Poltergeist - la petite fille de la trilogie, Carol-Anne Freeling existe sous les traits de Carol-Anne Hutz[7]. Dans l'introduction du niveau, on apprend que l'esprit « Hard Boiled » est l'incarnation des volailles abattues sur le terrain où a depuis été construite la maison, il est en quête de vengeance envers un « colonel » qui rappelle la chaîne de restauration rapide KFC fondée par le colonel Sanders[8]
  • Le Fantôme du Bloc Opératoire : Le Fantôme de l'Opéra et Urgences - Le fantôme « Harriet » est une référence au lapin géant de Harvey
  • Blair Wisp Project : Le Projet Blair Witch
  • La caverne aux frissons : Sleepy Hollow, La légende du cavalier sans tête
  • Casseurs de Fantômes : SOS Fantômes - Les personnages respectifs des films : Egon Spengler, Peter Venkman et Raymond Stantz sont également parodiés et peuvent capturer les fantômes du joueur dans plusieurs niveaux[k]
  • Full Mortel Jacket : Full Metal Jacket
  • Retour dans le nid de coucou : Apparences et Vol au-dessus d'un nid de coucou - Dans cette même chasse, il est possible de rencontrer un personnage du nom de Jack McMurphy qui n'a pas le droit pas s'approcher des machines à écrire et des haches, en référence à Jack Torrence de Shining[l]. Dans le même registre, Jerry Sizzler, un autre détenu de l'asile de Gravenville, est inspiré du personnage du même nom de la série Kids in the Hall
  • Class of Spook'Em High : le "Stay Cool Ice Cream Man" caricature le Bidendum Chamallow (en anglais « The Stay Puft Marshmallow Man ») de SOS Fantômes

Développement

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Principales influences

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Dans un message relatant du processus de création du jeu[6], le réalisateur Chris Bateman confie que Ghost Master a pu voir le jour grâce aux inspirations que lui ont donné les films SOS Fantôme d'Ivan Reitman et Beetlejuice de Tim Burton. Il ajoute également que l'influence du jeu Pokémon dont il était fan a engendré la possibilité d'assembler son équipe de fantômes ainsi que leurs capacités à collectionner diverses aptitudes. De son côté, Gregg Barnett appréciait l'ambiance « Big Brother » que confère les émissions de télé-réalités qui a amené l'idée de manipuler des personnages au travers un environnement chaotique[9].

Ghost Master est imaginé dès 1999 et commence sa production en 2000. La société International Hobo se charge de la conception principale, de la conception des niveaux, de la conception paramétrique et du script du jeu. Le reste du développement est dirigé par Sick Puppies, sous la direction de Gregg Barnett.

Initialement prévu pour 2002, sa date de sortie est repoussée en raison de problèmes techniques et de changements de moteur (de Renderware 2.0 vers un moteur interne), le jeu est finalement disponible en fin 2003[10]. Lors d'une interview en juillet 2004, Vince Farquharson, alors producteur principal d'Empire Interactive, annonce que les versions PlayStation 2 et xbox sont en production active depuis « environ un an » et que cette version repart de zéro avec le moteur personnalisé de Spiral House[11].

Le jeu est présenté à huis clos à l'E3 2002 et à l'ECTS 2002.

Ghost Master
Presse papier
Média Note
Jeux vidéo Magazine (FR) 13/20
Joystick (FR) Technique : 5/10
Artistique : 6/10
Intérêt : 7/10
PC Jeux (FR) 74%
Total Jeux PC (FR) 13/20
SVM Mac (FR) 3.5/5
PC Gamer (US) 90%
Presse numérique
Média Note
Gamekult (FR) 7/10
GameSpot (US) 88%
IGN (US) 70%
JeuxActu (FR) 5/20
Jeuxvideo.com (FR) Note de la rédaction : 13/20
Note des lecteurs : 17.7/20
JeuxVidéoPC (FR) Note de la rédaction : 17/20
Note des lecteurs : 18.9/20
JeuxMac.com (FR) Graphisme : 3/5
Son : 4/5
Durée de vie : 3/5
Jouabilitée : 4/5
Total : 3/5
Agrégateurs de notes
Média Note
Metacritic 81%

D'après le magazine Joystick, Ghost Master est « un mixe de Ghostbusters et Dungeon Keeper », une comparaison avec ce dernier est également notée par Total Jeux PC qui y ajoute un parallèle avec le jeu de stratégie Evil Genius. La presse s'accorde à récompenser le jeu pour son gameplay, son humour et ses graphismes mais pointe tout de même de nombreux défauts comme la faiblesse des animations ou encore certaines énigmes « à résolution unique »[12],[7],[13],[3],[14],[5],[15],[16],[17],[18],[19],[2],.

Malgré des critiques en majorité élogieuse de la part des médias spécialisés et des joueurs[20], Ghost Master ne parvient pas à se vendre suffisamment pour envisager une suite. Pourtant, en septembre 2005 sur son propre blog[21], Chris Bateman affirme que le succès commercial du jeu s'est joué de peu. En effet, le magazine PC Gamer attribue à Ghost Master une note de 90%[22]:

« PC Gamer est sans nul doute le magazine de jeux vidéo le plus influent au monde. C'est certainement celui avec le plus grand tirage mondial. La sagesse de l'industrie prétend qu'obtenir une telle note garantit presque d'être dans le Top 10 des ventes. Ce n'est pas ce qui est arrivé à Ghost Master. En fait, il a disparu pratiquement sans laisser de trace. »[m]

Postérité

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Gregg Barnett évoque dès août 2003 ses inquiétudes concernant les ventes, en assurant que seul le Royaume-Uni est parvenu jusqu'à maintenant à assurer de bonnes ventes[9]. Par la suite, la campagne américaine ne parvint pas à convaincre suffisamment de joueurs. Finalement, aucune suite ne sera envisagée malgré la présence de nombreux fichiers prometteurs dans le code du jeu qui suggérait le développement partiel de missions coupées[n], pouvoirs et de fantômes qui ont finalement été abandonnés[23],[24]. La communauté s'est par conséquent orientée vers les mods[25] et parmi eux, certaines créations comme « Rejected Ghosts Mod »[o] et « All Ghost Mod »[p] sont parvenus à faire l'unanimité auprès des fans. D'autres projets comme le mod « Complete Edition » sont toujours en cours de développement[q].

D'après Bateman, le statut culte actuel du jeu réside en immense majorité en Pologne, où une société décrite comme inconnue à l'époque dans le secteur vidéoludique appelée CD Projekt, importe le jeu et parvient à le vendre à un jeune public qui grandi avec[6].

Notes et références

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  1. Dans les versions PlayStation 2 et Xbox.
  2. Créature maléfique qui cherche à se nourrir des âmes mortelles pour s'échapper des ténèbres et semer le chaos.
  3. Cette mission est la seule du jeu non disponible en français. La cinématique de fin du niveau correspond à l'épilogue de la trame narrative globale.
  4. Le niveau n'est pas présent dans les premiers CD du jeu, il devient disponible lors d'un patch en ligne dans la version UK.
  5. Le lieu apparaît également dans la cinématique d'introduction du jeu.
  6. Un fantôme ne peut être placé qu'au(x) lieu(x) qui lui est/sont associés. Ex : Intérieur, Chemin, Feu, Électricité...
  7. Ressource permettant l'amélioration des capacités des fantômes. S'obtient à chaque fin de mission sur l'écran des résultats - sa quantité dépend des performances du joueur à terminer le niveau rapidement et des "frayeurs" provoquées aux mortels.
  8. Celui-ci s'était fait arrêté par la police après les événements de la fin de l'Acte I mais parvient à s'échapper du commissariat grâce à une étrange complice, le Dr Brunner.
  9. Il n'est pas nécessaire de le vaincre pour réussir la chasse en cours.
  10. Cet Easter Egg existe dans toutes les versions du jeu, mais l'instruction doit impérativement être en anglais pour fonctionner.
  11. Des ennemis similaires apparaissent dans le jeu sous la forme d'une voyante et d'un prêtre. Lorsqu'un fantôme est capturer, il devient impossible pour le joueur d'interagir avec lui.
  12. McMurphy est un nom emprunté au personnage de Randle dans Vol au-dessus d'un nid de coucou, interprété alors par Jack Nicholson.
  13. Traduit de l'anglais « PC Gamer is allegedly the most influential video game magazine in the world; certainly it is the game magazine with the largest global circulation. Industry wisdom claims that getting a 90% in PC Gamer all but guarantees a top ten best selling game. That's not what happened to Ghost Master. In fact, it vanished practically without a trace. »
  14. Comme les missions « Trainspooking » ou « Ghost in The Military Machine », sensée au moment de leurs conceptions aboutir à une suite de l'acte 3.
  15. Corrections de divers bugs et ajout de plusieurs fantômes abandonnés au cours du développement.
  16. Permet l'utilisation de tous les fantômes pour chaque niveau du jeu.
  17. Objectif initial : réintégrer les idées abandonnées lors du développement et ajouter du nouveau contenu original.

Références

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  1. (en) Brad Cook, « The Horror, The Horror : Ghost Master Possesses Your Mac », sur apple.com,
  2. a et b Romain, « Tests Jeux Mac.com : Ghost Master », sur JeuxMac.com,  : « [...] attirant aussi bien pour son humour que pour ses fameuses références à certains films… d'épouvante bien sûr ! »
  3. a et b Chipster, « Ghost Master : La foire aux Ectoplasme », Total Jeux PC, Diximedia, no 1,‎ , p. 68 et 69 :

    « Les amateurs de films et romans d'horreur retrouveront avec amusement d'innombrables références dans les noms des victimes des fantômes. [...], les clins d'œil sont légion. »

  4. (es) « Reportaje : Viaje al imperio de los videojuegos », Micromanía, Axel Springer SE, no 77,‎ , p. 19 et 20 (lire en ligne) :

    « [...] ceux-ci ont été créés à partir de sources exploitant de nombreuses documentations, comme des livres et des films. »

  5. a et b « Ghost Master : Test » Accès libre, sur Gamekult,  : « Ghost Master ne tente à aucun instant de cacher les nombreuses références qu'il fait aux productions hollywoodiennes ou même aux séries TV. »
  6. a b c et d (en) Chris Bateman, « Origins of Ghost Master, Part One » Accès libre, sur blog.ihobo.com
  7. a b et c Bob Arctor, « Tests du mois : Ghostmaster », Joystick, Hi-Tech Digital Presse, no 150,‎ , p. 140 et 141 :

    « [...] quelques œuvres de Hammer sont évoquées, une maison rappelle celle du film Amityville, on y voit la cabane de Evil Dead ainsi qu'une gamine s'appelant Carol Anne comme la petite gamine bouffie de Poltergeist. »

  8. a b c et d (en) Chris Bateman, « Origins of Ghost Master, Part Two » Accès libre, sur blog.ihobo.com,
  9. a et b (en) « developer interview » Accès libre, sur ghostmaster.net,
  10. (en) « Prerelease:Ghost Master », sur The Cutting Room Floor
  11. (en) « developer interview » Accès libre, sur ghostmaster.net,
  12. Florian Viel, Test - Ghost Master, juillet-août 2003, Jeux Vidéo Magazine no 34, p. 72.
  13. Richard Robin, « Ghost Master », PC Jeux, no 67 « PCJeux : juillet - août 2003 »,‎ , p. 84
  14. Olivier Frigara, « Ghost Master », SVM Mac, no 156,‎ , p. 114 et 115
  15. (en) Brett Todd, « Ghost Master Review », sur GameSpot, .
  16. (en) David Adams, « Ghost Master Review », sur IGN, .
  17. « Test Ghost Master » Accès libre, sur JeuxActu,
  18. (fr) Jihem, « Test: Ghost Master », sur Jeuxvideo.com, .
  19. Broutchy, « Test Ghost Master » Accès libre, sur JeuxVidéoPC,
  20. (en) « Ghost Master », sur Metacritic.
  21. (en) « Post Mortem: Ghost Master (Part One) » Accès libre, sur OnlyAGame : Blog de Chris Bateman
  22. PC Gamer, n° December 2003, page 96
  23. (en) « Fandom Wiki - Liste détaillée des parties abandonnées au cours du développement », sur Fandom Wiki Ghost Master : Complete Edition
  24. (en) « Ghost Master » Accès libre, sur The Cutting Room Floor
  25. « Forum de regroupement des différents mods créer par les joueurs » Accès libre, sur Forum ghostmaster.net