L'Opéra du mont Olympe, Paris, 1734, série de dix-neuf dessins documentant deux projets différents[2]. Ce recueil est consacré à un théâtre lyrique, appelé aussi Théâtre Harmonique. Il comprend deux projets de théâtre accompagnés de plans, de sections transversale et longitudinale, d'élévations, de plafonds et de détails qui constituent une source précieuse pour percevoir les idées de l'architecte. Les armes de France, des fleurs de lys et le chiffre de Louis XV sur plusieurs feuilles ne laissent aucun doute sur l'identité du commanditaire présumé. Mais aucun document jusqu'à présent n'a pu confirmer cette hypothèse[3].
Destailleur, Recueil d'estampes, Paris, 1863 ; Idem, Notices sur quelques artistes français, Paris, 1863.
Lance, Dictionnaire des architectes français, Paris, 1873.
Daniel Rabreau, « L'Opéra du Mont Olympe en 1734, à propos d'un projet de Gilles-Marie Oppenord », in Rameau en Auvergne, Recueil d'études établi et présenté par Jean-Louis Jam, Clermont-Ferrand, 1986, p. 165-191, pl. IV-XXVIII.
↑Sous la direction d'Emmanuelle Brugerolles, François Boucher et l'art rocaille dans les collections de l'Ecole des Beaux-Arts, Ecole nationale supérieure des beaux-arts, 2003-2006, p. 302-317, Cat. 79-1 à 79-19