Gilly-sur-Isère

Gilly-sur-Isère
Gilly-sur-Isère
Voie de communication à Gilly-sur-Isère.
Blason de Gilly-sur-Isère
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Albertville
Intercommunalité Communauté d'agglomération Arlysère
Maire
Mandat
Pierre Loubet
2020-2026
Code postal 73200
Code commune 73124
Démographie
Gentilé Gillerains
Population
municipale
3 076 hab. (2021 en évolution de +3,46 % par rapport à 2015)
Densité 438 hab./km2
Population
agglomération
43 225 hab.
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 38″ nord, 6° 21′ 00″ est
Altitude Min. 318 m
Max. 444 m
Superficie 7,03 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Albertville
(banlieue)
Aire d'attraction Albertville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albertville-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gilly-sur-Isère
Liens
Site web http://www.gilly.fr/

Gilly-sur-Isère [ʒili syʁ izɛʁ] est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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Gilly-sur-Isère vue au premier plan.

Gilly-sur-Isère se situe dans la partie nord de la combe de Savoie et majoritairement orienté à l'adret sous le massif des Bauges. La commune est limitrophe de la principale ville de la combe de Savoie, Albertville, sous-préfecture de Savoie.

Hydrographie

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Gilly-sur-Isère est traversée par l'Isère qui scinde la commune en deux :

  • la rive-droite, qui regroupe le centre-village, de nombreux lotissements d'habitation et une grande zone commerciale ;
  • la rive-gauche (Terre-Neuve) principalement industrielle, protégée par une digue contre les crues de l'Isère depuis le XIXe siècle.

Deux affluents de l'Isère parcourent également la commune, lieu de leur confluent : les Trois Nants, et le Chiriac. Un dernier cours d'eau, affluent des Trois Nants, est présent sur la commune : la Golette.

Le plan d'eau de Grignon, base de loisirs, est principalement situé sur la commune de Gilly-sur-Isère.

  • Aidier ;
  • la Rachy ;
  • le Nant des Martin ;
  • la Montaz ;
  • Vizeron ;
  • Terre-Neuve.

Voies de communication et de transport

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Gilly-sur-Isère est traversée par la RN 90, principale voie d'accès aux vallées de la Tarentaise et de l'Arly.

La commune est également traversée par le chemin de fer reliant Albertville aux gares de Chambéry ou de Saint-Jean-de-Maurienne.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 369 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 353,7 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records GILLY SUR ISERE (73) - alt : 330m, lat : 45°39'11"N, lon : 6°20'36"E
Records établis sur la période du 01-01-1982 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −2,8 −2,1 1,5 4,5 8,7 12,3 14 13,8 10,2 6,2 1,2 −1,9 5,5
Température moyenne (°C) 1,7 3,3 7,8 11,3 15,3 18,9 20,7 20,5 16,4 12 6,1 2,3 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,3 8,8 14,1 18 21,8 25,4 27,5 27,1 22,7 17,7 10,9 6,5 17,2
Record de froid (°C)
date du record
−24
06.01.1985
−19
05.02.12
−10,5
01.03.05
−4,3
01.04.1987
−1,4
01.05.1984
0,8
01.06.06
4,9
05.07.1984
3,4
31.08.1995
−1,4
26.09.02
−6
30.10.1997
−15
27.11.05
−16
24.12.01
−24
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,9
31.01.20
23
24.02.1990
26,2
22.03.1990
29,6
21.04.18
33,1
24.05.09
36
30.06.03
38,3
07.07.15
39
13.08.03
33,2
16.09.1986
29,8
03.10.1985
23,3
12.11.18
19,6
17.12.19
39
2003
Précipitations (mm) 135,9 105,8 108 92,7 109,1 104,8 100,3 107,5 97,3 109 125,5 157,8 1 353,7
Source : « Fiche 73124001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Au , Gilly-sur-Isère est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Albertville[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[7],[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albertville, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[8]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (42,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (29,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,4 %), zones urbanisées (21,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,4 %), eaux continentales[Note 4] (8,1 %), forêts (6,9 %), terres arables (4,8 %), mines, décharges et chantiers (3,7 %), prairies (1 %)[11].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Logements sociaux

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Infrastructures

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  • Bibliothèque ;
  • École maternelle ;
  • École élémentaire ;
  • Piscine municipale ;
  • Stand de tir ;
  • Déchetterie ;
  • Gravière ;
  • Station d'épuration.

Le nom officiel de la commune est Gilly-sur-Isère selon le Code officiel géographique français[8], depuis 1905[12]. Le toponyme associe l'ancien nom de la commune, « Gilly », au syntagme « -sur-Isère », rivière s'écoulant sur son territoire, afin de la distinguer des communes homonymes.

Dans les documents médiévaux, Gilly est mentionnée sous les formes suivantes de Giliaco (vers 1170), Gilliacum (1265), de Giliaco (XIVe siècle)[13],[14].

Le toponyme Gilly est formé du nom de propriétaire d'un domaine gallo-romain, Gillius, associé au suffixe -acum (domaine)[13],[14].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Zèlyé selon la graphie de Conflans[15].

Gilly-sur-Isère se situe à proximité de l'antique voie romaine Milan-Vienne et de la station du « portorium » Ad Publicanos (Albertville). Dès le XIXe siècle, plusieurs vestiges gallo-romains (villas, sanctuaire dédié à Mercure…) ont ainsi été mis au jour[16].

Situé en partie sur le lit de la rivière, le territoire a connu onze crues majeures au cours de la période allant de 1770 à 1859[14]. Les crues de 1817 puis 1859 ont été particulièrement importantes puisque c'est à leur suite qu'a abouti le projet d'endiguement de la rivière[14].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1965 juin 1995 Pierre Poupelloz[17],[18]   Maire honoraire
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 29 mai 2020)
Pierre Loubet PS Fonctionnaire
Conseiller général du canton d'Albertville-Sud (2011 → 2015)
Vice-président (2008 → 2014) puis conseiller communautaire (2014 → 2016) de la Co.RAL
8e vice-président de la CA Arlysère (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026

Communes homonymes

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Démographie

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Ses habitants sont appelés les Gillerains[14],[19].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 3 076 habitants[Note 5], en évolution de +3,46 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
548617716760753768764775748
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
756732711707684660641632636
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
6566506526877198158341 0081 349
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
1 8292 3202 4572 7542 8412 8783 0293 076-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Industries et Commerces

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Zone de Terre Neuve

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photo : l'incinérateur
L'incinérateur de Gilly-sur-Isère.

Une usine d'incinération des déchets ménagers a été mise en service en 1984 à Gilly-sur-Isère, fermée en 2001 puis démolie en 2008. Elle a été exploitée par les collectivités locales de la région d'Albertville réunies dans le syndicat intercommunal chargé du traitement des déchets (Simigeda). L'usine a suscité une vive polémique en raison de son non-respect des normes de rejets de polluants (en particulier dioxines[23]) qui ont en outre été rendues beaucoup plus exigeantes au niveau européen depuis 2005. Toutefois aucun lien entre une éventuelle surmortalité qui aurait été liée à cet historique ancien d'émissions polluantes n'a pu être mis en évidence. Les procédures engagées par diverses associations et instruites par la juge Hélène Gerhards[24], notamment Greenpeace, ont ainsi abouti à un non-lieu. Enfin l'Institut national de veille sanitaire a effectué une étude approfondie de ce cas emblématique des pollutions qu'ont pu générer d'anciens incinérateurs aujourd'hui fermés[25]. Néanmoins, un rapport de 2008, du même organisme, intitulé « Étude d'incidence des cancers à proximité des usines d’incinération d'ordures ménagères » conclut (pour d'autres sites) à une incidence de certains types de cancers dépassant de 7 à 23 %[26] la valeur de référence[27].

Zone Artisanale et Commerciale Du Grand Pré

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Villa gallo-romaine

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Découverte en 1970, les vestiges de la villa gallo-romaine[28] font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 26 novembre 1984[29]. Des fouilles ont été réalisées sur l'emplacement, de 1975 à 1990.

Certaines découvertes sont exposées[réf. souhaitée] au musée d'Albertville (situé à Conflans).

En 1210, la paroisse de Gilly est desservie par des chanoines réguliers de Saint-Augustin sous l’autorité d’un prieur. Le prieuré bien que supprimé de fait en 1263 est connu jusqu’à la révolution. Le chœur de l’église date de la période gothique. Au XVIIe siècle, la fenêtre du chevet est murée pour placer un retable (cette fenêtre a été rouverte en 1960). Les nefs sont construites en 1672. Le toit du clocher est reconstruit dans les années 1980[30].

Aujourd'hui, l'église de Gilly fait partie de la paroisse Saint-Bernard-lès-Tamié, regroupant 4 communautés locales : Gilly-sur-Isère, Mercury-Gemilly, Pallud et Plancherine[31].

Château de Gilly

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Le château de Gilly[32] fut construit en 1630 et a appartenu à la famille de Gilly. Au XVe siècle, on compte dans cette famille des évêques de Verceil, et surtout Bertrand de Gilly qui est écuyer du duc de Savoie, Philibert le Beau.

Pont de Gilly

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Pont de Gilly sur l'Isère.

Le pont de Gilly[33] a été réalisé en 1990 afin d'améliorer les voies d'accès routier et autoroutier pour les XVIe jeux olympiques d'hiver qui se sont déroulés à Albertville en 1992.

Cet ouvrage est un pont à haubans dont les câbles ont temporairement et pour l'occasion revêtu les couleurs du logo de la région Rhône-Alpes de l'époque.

Le tablier du pont au-dessus de l'Isère a été construit parallèlement à l'Isère et mis à sa place définitive par rotation autour d'un des pieds du pylône par l'entreprise Razel suivant une méthode mise au point par Michel Placidi. La travée au-dessus de l'Isère a une portée de 102 mètres et la travée arrière a 60 mètres de portée. Deux travées d'accès, perpendiculaires au tablier principal, sont réalisées après sa rotation et sa mise en place définitive.

  • Maison forte Sondaz olim maison forte de la famille de Gilly ; bâti au XVe siècle, elle est restaurée en 1673.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Gilly-sur-Isère Blason
D’or à trois fasces de gueules, à la bande d’argent chargée de trois canettes d’azur becquées et membrées de gueules, brochant sur le tout[34].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Albertville comprend une ville-centre et 16 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Gilly sur Isère » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Gilly sur Isère » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  6. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  7. « Unité urbaine 2020 d'Albertville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  8. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Gilly-sur-Isère ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Albertville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  13. a et b Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 210..
  14. a b c d et e Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 72, Présentation.
  15. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  16. Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 72-73, « Gilly gallo-romain ».
  17. Avis de décès de Monsieur Pierre Poupelloz, sur libramemoria.com
  18. « Pierre Poupelloz laisse de grandes choses derrière lui », Le Dauphiné,‎ (lire en ligne).
  19. « Gilly-sur-Isère », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Les rejets de dioxine étaient de « 13 000 fois la norme » (Claire Séverac (2010), Complot mondial contre la santé, p. 261 (OCLC 690746664)).
  24. Martine Valo, « LA JUGE ET L'AFFAIRE DES DIOXINES », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. Rapport [PDF] publié sur http://www.invs.sante.fr, 2006.
  26. Par exemple : Seins, 6% ; foie et myélomes multiples, 16% ; STM, 22% ;
  27. Rapport [PDF] publié sur http://www.invs.sante.fr, 2008. « la cohérence de nos résultats avec ceux issus de travaux épidémiologiques conduits en population générale […] complète un faisceau d’arguments solide en faveur du rôle causal des expositions environnementales aux émissions atmosphériques d’incinérateurs d’ordures ménagères sur l’incidence de certains cancers. » (p. 125.
  28. « Histoire de la Commune », sur Mairie de Gilly (consulté le ).
  29. Notice no PA00118258, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. [1]
  31. « Doyenné d'Albertville », sur L'Eglise catholique de Savoie (consulté le ).
  32. Michèle Brocard (ill. Edmond Brocard), Les châteaux de Savoie : Collection Sites et Villages, Éd. Cabédita, , 328 p. (ISBN 2-88295-142-6 et 9-782-8829-5142-7).
  33. « Pont de Gilly », sur Base de Données internationale du patrimoine du génie civil (consulté le ).
  34. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).