Giuseppe Sermonti a découvert avec Guido Pontecorvo le procède sexuel du Penicilium chrysogenus[2],[3]. Il était membre de la Société italienne de génétique, de la Société italienne de biologie moléculaire et directeur de l'Institut d'histologie et d'embryologie (1974). Giuseppe Sermonti a été vice-président du 14e Congrès international de génétique (Moscou1979)[4]. Il est éditeur en chef de Rivista di Biologia-Biology Forum, la plus ancienne revue italienne de biologie.
Giuseppe Sermonti est le co-auteur d'ouvrages critique envers le darwinisme avec le paléontologue Roberto Fondi[6]. Il pense que : « contrairement à ce que l’on croit, la génétique ne s’accorde absolument pas avec la théorie darwinienne. Ainsi les mutations qui se produisent sur la fameuse double hélice d’ADN, qui constitue la base de nos gènes, ne sont jamais constructives. Les mutations peuvent être avantageuses, mais elles ne peuvent pas être positives parce qu’elles sont toujours la perte de quelque chose, la perte d’une fonction »[7].
↑(en) Pontecorvo G., Sermonti G., « Para-sexual recombination in Penicillium chrysogenum », J Gen Microbiol, août 1954 ; 11(1) : p. 94-104., PMID13192307
↑(en) Pontecorvo G., Sermonti G., « Recombination without sexual reproduction in Penicillium chrysogenum », Nature, juillet 1953 18 ; 172(4368) : p. 126-127., PMID13072606.