Hagetmau

Hagetmau
Hagetmau
Hagetmau, le centre-ville.
Blason de Hagetmau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes Chalosse Tursan
Maire
Mandat
Pascale Requenna
2020-2026
Code postal 40700
Code commune 40119
Démographie
Population
municipale
4 620 hab. (2021 en évolution de +0,09 % par rapport à 2015)
Densité 163 hab./km2
Population
agglomération
5 315 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 22″ nord, 0° 35′ 33″ ouest
Altitude Min. 72 m
Max. 142 m
Superficie 28,37 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hagetmau
(ville-centre)
Aire d'attraction Hagetmau
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Chalosse Tursan
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Hagetmau
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Hagetmau
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Hagetmau
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Hagetmau
Liens
Site web http://www.hagetmau.fr

Hagetmau (prononcé [aʒɛtmo] ; Haget, en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

La ville se trouve sur la voie de Vézelay du chemin de Compostelle[1].

Géographie

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Localisation

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Commune située au cœur de la Chalosse dans le département des Landes.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Lacrabe, Doazit, Horsarrieu, Labastide-Chalosse, Momuy, Monségur, Sainte-Colombe, Saint-Cricq-Chalosse, Samadet, Serres-Gaston et Serreslous-et-Arribans.

Communes limitrophes de Hagetmau[2]
Doazit Horsarrieu Sainte-Colombe,
Serres-Gaston
Serreslous-et-Arribans,
Saint-Cricq-Chalosse
Hagetmau Samadet
Momuy Labastide-Chalosse Monségur,
Lacrabe

Hydrographie

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La commune de Hagetmau est arrosée par le Louts, affluent de l'Adour.

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et basque[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 105 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Urgons à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 009,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Hagetmau est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hagetmau[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hagetmau, dont elle est la commune-centre[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), zones urbanisées (13,8 %), forêts (12,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), prairies (2,3 %), eaux continentales[Note 4] (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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La gare de Hagetmau était le terminus de la ligne de Saint-Sever à Hagetmau, ouverte en 1910 et qui a fonctionné jusqu'en 1938 pour les voyageurs[16], et jusqu'en 2009 ou 2010[17] pour le transport de marchandises.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Hagetmau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Louts. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1991, 1999, 2009, 2018 et 2020[20],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Hagetmau.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 29,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Pour les 2 128 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 425 sont en aléa moyen ou fort, soit 20 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. La cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite de dommages causés à ce titre, en 1999[18].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses affectant la commune provient de sa traversée par une ou par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes, ainsi que de la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures serait susceptible d’affecter gravement les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Le nom est couramment compris comme étant formé des mots gascons haget (forêt de hêtres) et mau (mauvais) : « mauvaise hêtraie »[24],[25].

Mais d'autres hypothèses attribuent à mau une racine proto-basque ou (proto-)indo-européenne mal, ou mau ou mel (« montagne, proéminence »)[26]. En effet, la racine « mal » est fréquente dans les noms occitans et provençaux ; elle signale les caractéristiques des lieux — tels Malacan (plateau élevé), Malbosc (village en contrebas d'un bois). Malpas et Malpasset ne sont pas des cols infranchissables : plus élevés que les autres, ils n'ont pas le sens de « mauvais. »

Hagetmau possédait une tradition de production de chaises et de fauteuils. Plusieurs usines y sont implantées. En 1994, l'industrie du siège y comptait 2 000 emplois directs, 3 500 au total[27].

Cette ville est présentée dans le roman Un sac de billes de Joseph Joffo. Les frères Joffo devaient y traverser la ligne de démarcation pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'azur au château d’or, ouvert, ajouré et maçonné de sable flanqué de deux tourelles essorées de gueules, sommé d'un arbre de sinople ; à la bordure en filet d’or[28],[29].
Commentaires : Devise : « labore crescit » (croître par le travail).

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1995 Alain Dutoya PRG Conseiller général du canton de Hagetmau (1961-2004)
mars 1995 2020 Serge Lansaman UMP-LR Agent d'assurances
Président de Hagetmau Communes Unies (???-2016)
2020 En cours Pascale Requenna Modem Conseillère régionale, présidente de la communauté de communes
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué quatre fleurs à la commune[31].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33]. En 2021, la commune comptait 4 620 habitants[Note 5], en évolution de +0,09 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2842 3322 5162 6603 0533 0763 0813 1003 118
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1043 0293 0983 0493 1663 1273 1693 1423 089
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 1233 2153 1492 8462 8822 8972 8692 8703 008
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 3763 7554 3184 5144 4494 4034 4804 5834 535
2015 2020 2021 - - - - - -
4 6164 6314 620------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Sainte-Marie-Madeleine de Hagetmau.
  • Les arènes de Hagetmau accueillent des courses landaises
  • Complexe d'équipements sportifs (nommé la Cité-Verte), notamment une piscine olympique (centre aquatique Henri-Capdevielle).
  • Les lacs d'Halco, à quelques kilomètres au sud-ouest de la bourgade, offre de jolies promenades et constitue un lieu de pêche très prisé où sont organisés de nombreux concours de pêche.
  • À quelques kilomètres, le lac d'Agès, plus sauvage et plus grand (environ 67 ha au total) est aussi très poissonneux. Certains pêcheurs passent plusieurs jours à pêcher la carpe. Depuis plusieurs années un parcours nocturne de pêche à la carpe est aménagé le long d'une partie du lac. Le lac d'Agès communique avec le plan d'eau de la Grabe, créé en 1998.

Pèlerinages

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Le village est une étape de l'un des chemins français vers Saint-Jacques de Compostelle, celui venant de Vezelay[36],[37].

Personnalités liées à la commune

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  • Henri II de Navarre, (1503-1555), y est mort lors d'un pèlerinage à Saint Girons, saint patron de la ville.
  • Diane d'Andoins, (1554-1620), surnommée la belle Corisande, est née au château de Hagetmau.
  • Bernard d'Audijos, (1638-1677), en 1664, cet ancien soldat du roi se révolte contre la gabelle imposée par Jean-Baptiste Colbert et par son intendant Pellot. Avec ses "Invisibles" - des paysans locaux exaspérés par l'impôt sur le sel -, il assaille les convois royaux avant de se replier dans les forêts des environs de Hagetmau, offrant ainsi le premier exemple de "guérilla"[réf. nécessaire] telle qu'on la connaît aujourd'hui.
  • Pascal Duprat, (1815-1885), homme politique y est né et est mort en mer à bord du navire "Niger". Républicain convaincu, plusieurs fois député, il s'oppose à Napoléon III qui l'exile. Ministre plénipotentiaire de la Troisième République.
  • Jean-Gilles de Panetier (1836-1898), ingénieur en industrie, contribue à l'élaboration des premiers plans de l'aménagement du lac d'Agès.[réf. souhaitée]
  • Fernand Lubet-Barbon, (1857-1948), professeur de médecine est né à Hagetmau. Il met au point plusieurs traitements pour les affections de l'oreille et des voies respiratoires notamment.
  • Ernest Daraignez, (1864-1940), homme politique est né à Hagetmau, ancien maire de Mont-de-Marsan, conseiller général et sénateur des Landes.
  • Henri Lefebvre, (1901-1991), philosophe, sociologue de la vie quotidienne, est né à Hagetmau.
  • Jacques Clavé, (1943-2023), joueur de rugby à XV, est né et mort à Hagetmau.
  • Jean Gilliot, (1890-1972), un militaire et homme politique français né à Hagetmau.

Hagetmau est élue ville la plus sportive de France de 2012 par le journal sportif L'Équipe, en catégorie moins de 20 000 habitants[38].

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Hagetmau, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Chemins de Saint Jacques dans les Landes.
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Hagetmau et Urgons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Urgons » (commune d'Urgons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Urgons » (commune d'Urgons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Hagetmau », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Hagetmau ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hagetmau », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Voies ferrées des Landes (V.F.L.), consulté le .
  17. Ligne Saint Sever - Hagetmau sur blog YPF-dico), consulté le .
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Hagetmau », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. DAUZAT (Albert) et ROSTAING (Charles), Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, librairie Guénégaud, Paris, 1978 ; p.281.
  25. NÈGRE (Ernest), Toponymie générale de la France, volume II, Librairie DROZ S.A., Genève, 1991 ; p. 1240.
  26. cf Boisson Claude Pierre. Notes méthodologiques sur les racines pré-indo-européennes en toponymie. In: Nouvelle revue d'onomastique, n°15-16, 1990. pp. 25-38, extrait: "Données illustrant le possible caractère nostratique de certaines bases 1. MONTAGNE (Opyt, vol. 2, n. 286, p. 51 ; Blazek 1988b). PN **mALA, PIE *mel-«montagne, éminence » : albanais mal «montagne », vieil irlandais meli «colline arrondie, bosse », letton mala «bord, rive » | PD *mal-«montagne » : tamoul malai «colline, montagne », télougou mala, brahoui mash (cf. Malabar, peut-être aussi Malaisie ) | Ouralien : nenets mal «pic, bout » / Coréen mallo «chaîne, pic ». Cf. Neroznak 1978. 2. COLLINE (Materialy p. 371 ; Blazek c.p.), PN **mäKV, PA *m/äg/V ; proto-toungouse "mägdi «rive escarpée » | PU *mäke «colline », youkaghir maka «pierre »."
  27. « Le siège de la chaise », Sud Ouest, .
  28. Armorial de France
  29. Site de la mairie
  30. Annuaire des villes jumelées sur www.afccre.org
  31. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. https://www.landes-chalosse.com/se-divertir/fan-de-culture-et-patrimoine/chemin-saint-jacques-de-compostelle-voie-de-vezelay-a-hagetmau-759889
  37. https://camino-europe.eu/fr/eu/fr/jakobswege-fr/f-via-lemovicensis-a/
  38. Vincent Dewitte, « Landes : Hagetmau élue ville la plus sportive de France », sur sudouest.fr, Sud Ouest, (consulté le ).

Articles connexes

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Bibliographie

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  • [Capdeville et al. 1997] Jean-Pierre Capdeville, Marie-Christine Gineste (Préhistoire, archéologie), Alain Turq (Préhistoire, archéologie) et Philippe Vergain (Préhistoire, archéologie), Notice explicative de la carte de géologie au 1/50000e « Hagetmau » no 978, Orléans, BRGM, , 70 p. (lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr).

Liens externes

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