Lames bien distinctes, souvent épaisses et espacées, souvent décurrentes, plutôt épaisses, amincies sur l'arête, au toucher un peu gras, dit « cireux ». Chapeau et stipe de couleurs assez vives (notamment le genre Hygrocybe) et texture plutôt aqueuse (d'où le nom « hygrophore » (porteur d'eau), les revêtements étant généralement visqueux. Réactions chimiques négatives, sauf quelque jaunissement > brunissement aux bases fortes.
De récentes études phylogéniques modifient le classement linnéen[2],[3],[4].
↑Lotsy, J.P. (1907) Vorträge über botanische Stammesgeschichte.
↑(en) David S. Hibbett, Elizabeth M. Pine, Ewald Langer, Gitta Langer et Michael J. Donoghue, « Evolution of gilled mushrooms and puffballs inferred from ribosomal DNA sequences », Harvard University, Cambridge, MA, vol. 94, no 22, , p. 567-580 (lire en ligne)
↑(en) J.M. Moncalvo, F. M. Lutzoni, S.A. Rehner, J. Johnson et R. Vilgalys, « Phylogenetic relationships of agaric fungi based on nuclear large subunit ribosomal DNA sequences », Systematic Biology, vol. 49, no 2, , p. 278–305 (lire en ligne)
↑(en) J.M. Moncalvo, R. Vilgalys, S.A. Redhead, J.E. Johnson, T.Y. James, M. Aime, V. Hofstetter, S.J. Verduin, E. Larsson, T.J. Baroni, R. Thorn, S. Jacobsson, H. Clémençon et O. Miller, « One hundred and seventeen clades of euagarics », Molecular Phylogenetics and Evolution, vol. 23, no 3, , p. 357-400