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Université Victoria de Wellington Nuffield College Onslow College (en) |
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Distinctions | Liste détaillée Bourse Rhodes () Membre de la Société royale de Nouvelle-Zélande () Prime Minister's Award for Literary Achievement (Non-Fiction) () Fellow of the New Zealand Academy of the Humanities (d) Officier de l'ordre du Mérite de Nouvelle-Zélande |
James Belich, né en 1956 à Wellington, est un historien néo-zélandais. Il est l'auteur notamment de Making Peoples (1996) et de Paradise Reforged (2001), qui, ensemble, constituent l'un des principaux ouvrages contemporains sur l'histoire de la Nouvelle-Zélande[1].
Il obtint une maîtrise d'histoire à l'Université Victoria de Wellington, puis un doctorat à l'Université d'Oxford, au Royaume-Uni. Il enseigna l'histoire à l'Université Victoria, puis à l'Université d'Auckland, où il enseigne actuellement. Ses centres de recherche sont « les réponses des populations autochtones à l’expansion européenne, les modèles de colonisation européenne, et l’histoire ethnique, culturelle et sociale de la Nouvelle-Zélande »[2].
Son livre The Victorian Interpretation of Racial Conflict[3] fut adapté en série télévisée[4].
Il fut décoré du New Zealand Order of Merit en 2006 pour services rendus à la recherche historique.
Son père, du même nom, fut le maire travailliste de Wellington de 1986 à 1992.
Les deux autres principaux historiens néo-zélandais ayant produit des ouvrages sur l'histoire de la Nouvelle-Zélande sont Keith Sinclair (1922-1993) et Michael King (1945-2004).