Jarrier

Jarrier
Jarrier
La chapelle Saint-Roch du hameau de la Varcinière, en novembre 2015.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Saint-Jean-de-Maurienne
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Maurienne Arvan
Maire
Mandat
Marc Picton
2020-2026
Code postal 73300
Code commune 73138
Démographie
Population
municipale
499 hab. (2021 en évolution de +0,4 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 52″ nord, 6° 19′ 03″ est
Altitude Min. 760 m
Max. 2 173 m
Superficie 17,79 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Saint-Jean-de-Maurienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Jean-de-Maurienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Jean-de-Maurienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.jarrier.fr/

Jarrier est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Superficie : 1 779 ha.

Le terrain de la commune est essentiellement constitué de plaques schisteuses inclinées plus ou moins dans la pente, ce qui cause des glissements lents mais continus de terrain. Jusque dans les années 1960 les paysans remontaient chaque année la terre fertile de leurs champs à dos d'hommes ou de mulets, dans des paniers d'osier. Cette particularité géologique explique aussi la technique de construction des maisons d'habitation traditionnelles : la charpente était construite d'abord posée sur 6 ou 8 colonnes de bois (conifères de la forêt du Sapey toute proche) puis l'on construisait en pierre de tuf les murs du rez-de-chaussée en laissant apparentes les colonnes qui étaient ainsi ajustables par des pierres plates glissées dessous. Le grand volume sous la toiture servait de grange à foin, le rez-de-chaussée abritait les hommes et les bêtes. Les denrées précieuses comme les costumes traditionnels, avec coiffe en dentelle et robe à queue de canard pour les femmes et veste de laine écrue pour les hommes, le grain, les jambons, le pain étaient remisés dans des « greniers » indépendants, sur courts pilotis de pierres plates, tout en madriers bien ajustés, étanches aux insectes et aux souris, loin des risques d'incendie.[réf. nécessaire]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 156 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Jean de Maurienne », sur la commune de Saint-Jean-de-Maurienne à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 910,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Jarrier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Jean-de-Maurienne[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,4 %), forêts (25,2 %), prairies (16,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,3 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

La paroisse est mentionnée dès les XIe et XIIe siècles. On trouve ainsi les formes In villa Garriaci, Garriacum, In Garriaco[13],[14]. Au siècle suivant, l'église est mentionnée sous la forme Ecclesia de Jarriaco (1184)[13],[14]. Le toponyme se trouve sous la forme Jariaci (1417), Jarrier (1575), Jarriès (1697)[13],[14].

Le nom de la commune semble provenir d'un nom de domaine d'origine gallo-romaine Garriacum, ayant appartenu à un certain de Garrius ou Garius[13],[14].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Zharyé, selon la graphie de Conflans[15].

Les premières mentions du village remonte aux XIe et XIIe siècles, où il est mentionné dans le Cartulaire de Maurienne[13].

La bulle pontificale de Lucius III, de l'année 1184, confirme la juridiction épiscopale de Maurienne sur dix-sept paroisses dont Jarrier (Ecclesia de Jarriaco)[13],[16].

Peu avant le hameau de Notre Dame, la chapelle Rose, dite encore chapelle de la Varde ou encore chapelle Saint-Roch, posée sur son éperon rocheux, sur fond d'Aiguilles d'Arves enneigées. C'est le plus vieux édifice construit de Jarrier.

Révolution française

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La Révolution française touche également Jarrier. Le , du bois est réquisitionné, ainsi que du blé et des cloches, par les autorités révolutionnaires. La commune ayant fait preuve de mauvaise volonté, elle est contrainte de nourrir un caporal et 5 fusilliers.

Le , une nouvelle réquisition de mulets et de bœufs a lieu ; s'ensuit l'occupation de la commune par des militaires, avec obligation de livrer les cloches et de faire l'inventaire des biens meubles et immeubles du clergé, des confréries et des chapelles[17].

Première Guerre mondiale

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Lors de la « Grande guerre », Modèle:Nobr- sont partis au front, 30 y ont trouvé la mort. Un monument aux morts est érigé en 1920 et placé sur le mur extérieur de l'église à droite de la porte jusqu'à ce qu'il soit déplacé en 1991.

Seconde Guerre mondiale

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Le , quatre jeunes Jarriens engagés dans la Résistance (René Viallet, Émile Viallet, Michel Julliard, Maurice Gaden) sont fusillés au tunnel de Charvin, aujourd'hui dénommé sur proposition des élus de Jarrier le « tunnel des 4 Jarriens ».

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Maurice Léard    
mars 2008 En cours
(au décembre 2019)
Marc Picton SE  

Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Jarrienches et Jarriens[18].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

En 2021, la commune comptait 499 habitants[Note 4], en évolution de +0,4 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
922822822824935956943956966
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
904925927928937941933822769
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
696686570586525517460438358
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
423436450462464479503499-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Jarrier possède des sentiers de randonnées. De nombreux chemins arpentent la commune, et mènent au Grand Châtelard (2 143 m), au col de Cressua (2 065 m) ou encore à la forêt communale.

La proximité de la commune avec le domaine skiable Les Sybelles participe également à son activité touristique lors de la période hivernale.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La chapelle de Notre-Dame des Chambeaux en décembre 2015.

Église Saint-Pierre-et-Saint-Clément, dans un style baroque[23]. Logo monument historique Classé MH (1990)[24].

La commune de Jarrier possède un riche patrimoine avec notamment un grand nombre de chapelles appartenant au style baroque.

Parmi elles, se trouvent les chapelles de :

  • Saint-Roch (ou Saint-Sébastien), située au hameau de la Varcinière ;
  • Notre-Dame-des-Grâces, située au hameau de Chéloup[25] ;
  • Notre-Dame des Chambeaux, située au hameau des Chambeaux ;
  • Saint-Bernard, située au hameau des Hérouils ;
  • Saint-Antoine, située au hameau de la Toulaz.

Une balade très prisée des promeneurs reliant un bon nombre de ces dernières existe sous le nom du Circuit des Chapelles.

Personnalités liées à la commune

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Fondée en 1875, la lyre grégorienne de Jarrier est une véritable institution de la commune, et est considérée comme « la plus vieille dame » du village de Jarrier. La musique interprétée est une musique de fanfare.

Les musiciens de la lyre grégorienne, qui sont une quarantaine, se distinguent par un costume traditionnel, qu’ils portent lors des sorties estivales. Ce costume est celui que portaient leurs aïeux. Il se compose d’une veste de drap écru, tissé de façon artisanale, d’une ceinture de tissu rouge et d’un chapeau de feutre noir. Le côté folklorique de la lyre grégorienne contribue à sa réputation et permet de perpétuer les traditions jarriennes.

Appellations d'origine contrôlée

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La commune se trouve sur le territoire d'appellation d'origine contrôlée pour le beaufort[26].

Bibliographie

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  • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 269-274. ([PDF] lire en ligne)
  • Daniel Dequier et Jean-Henri Viallet (ill. Roland Gaden), « Un Village en Maurienne : Jarrier : son histoire, ses traditions », dans Mémoires et documents de la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, coll. « L'histoire en Savoie » (no spécial), (ISSN 0046-7510)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Jean-de-Maurienne comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Jarrier et Saint-Jean-de-Maurienne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Jean de Maurienne », sur la commune de Saint-Jean-de-Maurienne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Jean de Maurienne », sur la commune de Saint-Jean-de-Maurienne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Saint-Jean-de-Maurienne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Jarrier ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c d e et f Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 287.
  14. a b c et d Henry Suter, « Jarrier », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  15. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 23.
  16. Alexis Billiet, Chartes du diocèse de Maurienne, vol. 1, Chambéry, imp. de Puthod fils, , 446 p. (lire en ligne), p. 32-34.
  17. « Quelques dates importantes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur site de la commune - jarrier.fr (consulté le ).
  18. « Jarrier », Accueil > Ressources > Communes, sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Dominique Peyre, En Maurienne : sur les chemins du Baroque, vol. 3, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Patrimoines », , 190 p. (ISBN 978-2-84206-169-2, lire en ligne), p. 57-64.
  24. « Église Saint-Pierre-et-Saint-Clément de Jarrier », notice no PA00118325, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Dominique Peyre, En Maurienne : sur les chemins du Baroque, vol. 3, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Patrimoines », , 190 p. (ISBN 978-2-84206-169-2, lire en ligne), p. 65-72.
  26. La zone 'Beaufort', sur le site observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr.