Naissance | |
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Enfant |
Amélie Cornélie Brémond (d) |
Élève |
Albert Besnard |
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Distinction |
Jean François Brémond[1], né le mercredi à Paris[2] et mort dans la même ville le lundi [3], est un peintre d'histoire français.
Jean François Brémond est le fils de Jean-Baptiste Brémond et de Thérèse Roussillon.
Élève d'Ingres et d'Auguste Couder, il expose régulièrement au Salon de Paris de 1831 à 1867, où on lui décerne une médaille de 2e classe en 1833.
De son mariage avec Anne Tascheret (1802-1842) naît sa fille Amélie Cornélie Brémond (1831-1856), également artiste peintre.
Il est un des maîtres d'Albert Besnard.
De la relation qu'il entretient avec Louise Pauline Vaillant, séparée de son mari, naît en 1858 le peintre et graveur Jean-Louis Brémond, demi-frère d'Albert Besnard.
Jean-François Brémond reçoit le grade de chevalier de la Légion d'honneur en 1855.[réf. souhaitée]
Son décès est déclaré à la mairie par l'architecte Victor Baltard.
À côté de ses portraits peints avec aisance et élégance dans une palette sobre, il exécute des sujets historiques ou religieux et réalise des compositions murales pour des églises, notamment celle de Saint-Jacques-Saint-Christophe de la Villette[4]. Il participe également à la décoration de l'église Saint-Lambert de Vaugirard et à celle de Saint-Laurent.