À Paris, Pierre Gilieth a tué un homme. Il s'engage dans la légion espagnole où un policier français, Fernando Lucas, tenté par la prime, le retrouve. Pierre Gilieth soupçonne rapidement Fernando Lucas et l'épie. Mais lorsque les hommes de la 3e Bandera tomberont sous les balles ennemies, l'indicateur a mérité la poignée de main que Pierre lui donne avant de mourir.
La Bandera a totalisé, selon les estimations, plus de trois millions d'entrées entre 1935 et 1942[5]. Selon le CNC, le long-métrage a totalisé 122 219 entrées à Paris entre 1945 et 1950 et 931 639 entrées en France entre 1952 et 2021[5].
Jésus Castro-Blanco est un acteur, assistant réalisateur et directeur de production espagnol, qui a tourné trois films en France dans les années 1930[pertinence contestée].
Le film est dédié au général Franco, car Julien Duvivier désirait le remercier pour son aide ainsi que toutes ses autorisations lors du tournage. Le réalisateur avait par ailleurs été frappé par la parfaite connaissance du général en matière de littérature française. Cela se passait juste avant la guerre d'Espagne[6][réf. à confirmer].
Il est d'ailleurs à noter que le drapeau que l’on voit à plusieurs reprises, trois bandes tricolores horizontales (malgré le noir et blanc, on distingue bien les trois nuances : rouge, jaune et violet), est celui de la république espagnole. Ce même drapeau que ce même général allait trahir l’année suivante[7][réf. à confirmer].