Le Puy-Notre-Dame

Le Puy-Notre-Dame
Le Puy-Notre-Dame
Blason de Le Puy-Notre-Dame
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire
Maire
Mandat
Isabelle Isabellon
2020-2026
Code postal 49260
Code commune 49253
Démographie
Gentilé Ponot, Ponote
Population
municipale
1 121 hab. (2021 en évolution de −6,66 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 30″ nord, 0° 14′ 01″ ouest
Altitude 103 m
Min. 32 m
Max. 106 m
Superficie 15,87 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Doué-en-Anjou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Doué-en-Anjou
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site du Puy-Notre-Dame

Le Puy-Notre-Dame est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie

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Localisation

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Commune située au sud du département dans le Saumurois, à la limite des Deux-Sèvres dont elle est séparée par un ruisseau au sud et à l'est par le Thouet, Montreuil-Bellay se trouve à six kilomètres, Doué-la-Fontaine et Thouars à douze kilomètres, la ville de Saumur à vingt-trois kilomètres.

Une forte majorité de la population se situe dans le bourg, environ un millier, le reste se répartissant dans les villages attenant de Sanziers, Chavannes et Cix.

La superficie de la commune est de 1 604 hectares dont 540 de vignes, le reste étant en cultures céréalières.

De nombreuses galeries souterraines créées par l’extraction du tuffeau et du falun utilisés comme matériau de construction, s’étendent dans le sous-sol du Puy-Notre-Dame et même au-delà (de Saumur à Doué-la-Fontaine).

Certaines de ces galeries ont servi d’habitations appelées troglodytes et d’autres, grâce à une température constante, servent encore à la conservation des vins et à la culture du champignon de Paris et autres espèces.

La commune est classée parmi lesvillages de charme du département de Maine-et-Loire.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 658 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-Bellay-Inra », sur la commune de Montreuil-Bellay à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Le Puy-Notre-Dame est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Doué-en-Anjou, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,6 %), cultures permanentes (27,7 %), zones agricoles hétérogènes (26,5 %), prairies (6,9 %), zones urbanisées (6,2 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie et héraldique

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Le nom Puy vient du latin podium pouvant se traduire par éminence ou petite butte.

Héraldique

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Blason de Le Puy-Notre-Dame Blason
D'or, à une Notre-Dame de carnation vêtue d'azur et de gueules, tenant dans ses bras l'enfant Jésus de la carnation.
Détails
Façade de l'église.
Façade de l'église.

Préhistoire et Antiquité

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Présence protohistorique[12].

Au XIe siècle, une église romane dédiée à Marie avait été érigée sur une colline d’un peu plus de 100 m de hauteur, la « Colline de Marie » (ecclesia beatae Mariae de Podio).

Vers 1100, Guillaume IX, duc d'Aquitaine, au retour d’une croisade en Palestine y déposa un reliquaire de la Sainte Ceinture de la Vierge. Cette relique, (bande de tissu de soie et de lin, longue d’1,50 m) fit l’objet d’une grande dévotion et attira de nombreux pèlerins (coquille Saint-Jacques sculptée sur la façade d'une maison) et hauts dignitaires.

Saint Louis, Charles VII[13] et Louis XI viennent successivement faire leurs dévotions. Anne de Bretagne l’utilisera pour le dauphin Charles. Anne d’Autriche la fera venir peu avant la naissance de Louis XIV (copie d’une lettre datée du détenue à l’église)[14]. Charles Louvet, maire de la ville de Saumur, écrivit[15] à Napoléon III afin de proposer à l’impératrice Eugénie les bienfaits de la Sainte Ceinture pour la future naissance du prince Louis-Eugène.

En effet, on disait que cette relique possédait la vertu de favoriser la naissance d’enfant mâle, d’adoucir les souffrances des femmes enceintes et de faciliter les accouchements. À la fin du XIIe siècle, la petite-fille de Guillaume IX, Aliénor d’Aquitaine, en hommage à la Sainte Vierge, fit commencer la construction de l'église Notre-Dame sur l'emplacement de la précédente.

Se pose alors une interrogation sur le pèlerinage effectué le par Isabelle Romée, mère de sainte Jeanne d'Arc, au "Puy" : s'agit-il du Puy-en-Velay ou du Puy-Notre-Dame, sachant qu'ensuite elle rencontre sa fille le à Chinon ? Le de cette année était jour de Jubilé au Puy-en-Velay, mais "Passer par la cité mariale vellave représente un sérieux détour de pénitence, au Sud, compte tenu des moyens de transport de l'époque et des périls encourus" (professeur Roger Briand)[16].

Collégiale Notre-Dame

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Cet édifice, commencé vers 1154 et achevé vers 1250, s'inspire du plan de la cathédrale de Poitiers ; il offre un mélange de style gothique poitevin et angevin Plantagenêt : trois nefs à six travées, transept et abside à chevet rectangulaire. Il a été complété au XVe siècle par un haut clocher avec flèche de pierre et clochetons, puis restauré au XIXe siècle par Charles Joly Leterme, (architecte connu pour ses nombreuses réalisations) et complété d’une salle désignée comme l’oratoire de Louis XI et d’une salle capitulaire (sacristie actuelle).

Ville close durant la guerre de Cent Ans et saccagée au XVIe siècle pendant les guerres de religion où fut détruite une grande partie de l'enceinte fortifiée, le Puy-Notre-Dame présente encore quelques vestiges de cette enceinte médiévale. Montreuil-Bellay reste la dernière ville close d'Anjou.

En 1478, Louis XI y créa un chapitre, qui donnera le nom de collégiale à l'église. Afin que des enfants de chœur soient formés, Louis XI créa également une psalette (maîtrise de l’église) avec un maître à leur tête. Le roi ordonna en , par lettres patentes, la fondation d'un corps et collége de gens de l'église séculiers[17].

Détail d'une stalle et miséricorde, La Régalade de moine.
Détail d'une stalle et miséricorde La Régalade de moine.

Dans le chœur de la collégiale, on peut admirer des stalles magnifiquement sculptées en chêne massif du XVIe siècle servant de siège rabattable aux membres du clergé. La miséricorde était un appui discret quand le clergé était debout durant les offices.

On peut également admirer une huile de Jean Boucher[18] peinte en 1621 représentant l’Assomption de la Vierge avec la transcription : JOANNES BOUCHER BITURT INVENIT ET FECIT 1620 OU 1621[19].

Époque contemporaine

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En 1793, Le Puy-Notre-Dame porte le nom de Puy-la-Montagne (nom révolutionnaire)[20].

Vers 1880, le vignoble du Puy-Notre-Dame est dévasté par le phylloxéra réduisant à néant les espérances des vignerons. Les replantations s'effectuent au début du XXe siècle grâce à des plants plus résistants venus des États-Unis.

Quelques vignerons du Puy-Notre-Dame, Vaudelnay, Brossay et Saint-Macaire-du-Bois se sont regroupés en association et ont pris comme emblème la Régalade de Moine, motif stylisé d'un détail d'une stalle de la collégiale.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 1989 mars 2008 Dominique Monnier    
mars 2008 mars 2014 Jean-Luc Claeys    
mars 2014 mai 2020 Patrice Mouchard[21]    
mai 2020 En cours Isabelle Isabellon[22] sans étiquette artiste[23]

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 121 habitants[Note 2], en évolution de −6,66 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7001 6161 6401 5911 6231 5911 5561 5061 530
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4811 5281 5511 5061 5351 5301 5881 5401 386
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4671 5391 5071 3121 3381 2751 2641 2681 388
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 5421 6391 5001 4721 3221 2361 3021 2421 193
2021 - - - - - - - -
1 121--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 570 hommes pour 618 femmes, soit un taux de 52,02 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
2,1 
9,1 
75-89 ans
12,1 
17,1 
60-74 ans
18,4 
20,6 
45-59 ans
18,5 
18,0 
30-44 ans
16,1 
16,1 
15-29 ans
14,6 
18,5 
0-14 ans
18,2 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Sur 131 établissements présents sur la commune à fin 2010, 40 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 39 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[30].

Culture locale et patrimoine

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Le village vu du coteau.
Le village vu du coteau.

Lieux et monuments

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  • Chapelle du cimetière XVe siècle[31].
  • Ancienne chapelle du couvent des cordelières (grange).
  • Château Le Lys à Sanziers (pressoir)[32].
  • Église Notre-Dame[33].
  • Vestiges de l'enceinte[34].
  • Fuie souterraine (petit colombier) à la Hupponnière.
  • Maisons XVIe siècle, anciens relais de pèlerins.
  • Moulins[35] : Les rives du Thouet sont jalonnées d'anciens moulins et celui du Puy-Notre-Dame, le Moulin de Couchéx, est un ancien moulin à eau à chaussée, qui transformait le blé en farine. Il est détruit au XVIIIe siècle et reconstruit au XIXe siècle en pierre de tufeau et pierre de taille ; sa toiture est en ardoise, matériau utilisé pour la plupart des constructions de la région. Avec son pignon en pointe, ce bâtiment à trois étages ressemble à une étrave de bateau. Ce moulin cesse son activité dans le courant du XXe siècle. La roue à aubes n'existe plus et son mécanisme est dissimulé sous de fausses poutres.
  • Souterrains-refuges sous le bourg et à Sanziers.

Personnalités liées à la commune

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  • Pierre Quétineau (1756-1794), général des armées de la République, guillotiné à Paris le 27 ventôse an II, y est né.

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : N-R, t. 3, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 40869771, lire en ligne), p. 345-349.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Le Puy-Notre-Dame et Montreuil-Bellay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Mont-Bellay-Inra », sur la commune de Montreuil-Bellay - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Mont-Bellay-Inra », sur la commune de Montreuil-Bellay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Doué-en-Anjou », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Célestin Port 1989, p. 346.
  13. Louis Archon, Histoire De La Chapelle Des Rois De France, , 793 p. (lire en ligne), p. 356.
  14. Louis Archon, Histoire De La Chapelle Des Rois De France, , 793 p. (lire en ligne), p. 779.
  15. Site de la commune du Puy-Notre-Dame
  16. Livre "La Haute-Loire insolite", page 134, du professeur Roger Briand, juillet 2016.
  17. Lettres patentes de Louis XI, Thouars, janvier 1482 (1481 avant Pâques)
  18. Encyclopédie Bourges, Jean Boucher
  19. Ministère de la Culture - Base Palissy
  20. Célestin Port 1989, p. 345.
  21. « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le=19 avril 2014.
  22. « Le Puy-Notre-Dame. Première : une femme dans le fauteuil de maire », sur ouestfrance.fr, Ouest France, (consulté le ).
  23. « Le Puy-Notre-Dame. Isabelle Isabellon, maire multitâches », sur angers.maville.com, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Puy-Notre-Dame (49253) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  30. Insee, Statistiques locales du territoire de Le Puy-Notre-Dame (49), consultées le 8 mai 2013.
  31. « Chapelle funéraire Saint-Sauveur », notice no IA00054029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Manoir Notre-Dame dit Château du Lys », notice no IA00054090, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Église », notice no PA00109241, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Fortification d'agglomération », notice no IA00054026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Moulins à Le Puy-Notre-Dame (49) », notice no IA00054023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.