Son altitude moyenne est de : 153 m et sa superficie est de 1 358 ha. En 1883, la commune comptait 227 ha de bois qui dépendaient alors de l'ancien château et étaient la propriété du baron Le Feuvre, d'Albert.
Le sol de la commune est de formation tertiaire. Il est constitué du limon des plateaux, terre argilo-siliceuse. Les pentes laissent affleurer la craie blanche à silex, terre calcaire siliceuse peu profonde. Dans les vallées, des dépôts meubles donnent une terre argileuse et siliceuse[1].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mailly était, au XIXe siècle, la commune la plus importante et la mieux bâtie de l'ancien canton d'Acheux[8].
Au , Mailly-Maillet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (84,6 %), forêts (8,5 %), zones urbanisées (4 %), prairies (2,8 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
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On trouve plusieurs formes pour désigner Mailly-Maillet dans les textes anciens: Malleium en 1007, Malli en 1188, Mailliacum en 1258, Mailly-Maillet en 1315, Mailly-au-bois en 14[15], Mailly-le-Franc[1].
L'emplacement du village, sur l'une des ramifications de l'ancienne voie gauloise dite « de Barbarie », paraît lui attribuer une origine antérieure à la conquête romaine[16].
L'implantation humaine depuis au moins les Gallo-romains a par contre été attestée par la découverte, près de l'ancienne voie romaine menant d'Amiens à Arras (et passant à l'extrémité du village) et en particulier en 1838, d'assez nombreux objets : urnes de terre noire, lacrymatoires en verre blanc, médailles en or de Maximien, et plusieurs anneaux ornés de pierres gravées : l'une de ces pierres représentait un esclave donnant à manger à un aigle déployé. Les restes d'un « siège curule » en ivoire auraient même alors été identifiés parmi des débris d'armes et d'autres objets[17].
Ses premières habitations furent bâties au bas de la côte, vers le nord, autour de l'ancien cimetière. Elles furent transportées plus tard sous les murs du château fort élevé par les seigneurs sur le haut de la colline. C'est à l'agglomération de ces chaumières que le bourg actuel de Mailly dut sa formation première[16].
Au mois de , Enguerran de Croi, et Jean le Monnier (Monetarius), chanoinede Picquigny, vendirent à Yole, comtesse de Saint-Pol et dame d'Encre, plusieurs granges situées à Mailly (apud Mailliacum) et Sanlis, pour l'œuvre de deux clercs, auxquels on assigna moitié des dîmes des dits lieux. La vente fut faîte à la charge de payer à Gaultier, doyen et clerc d'Encre, 22 livres parisis.
Le hameau de Beaussart, dont la dénomination rappelle l'existence d'un bois défriché, Sart, Sartum, est d'une origine très ancienne :
Guillaume de Beaussart donna une charte en 1230 – Gilles de Mailly fit don au chapitre d'Amiens, en , de toute la dîme du terroir de Beaussart « de bella sarto », qu'il avait achetée de Robert de Forceville, seigneur de Beaussart, du consentement de sa femme Béatrice et de leurs sept enfants. Jean de Susane, chevalier, et l'évêque d'AmiensGeoffroy, confirmèrent cette donation.
Gilon de Mailly est mentionné dans les actes du Parlement de Paris à plusieurs reprises[18].
Jean IIIe du nom, baron de Mailly, prend le titre de seigneur de Beaussart en 1450. Cette seigneurie resta dans la famille de Mailly[16].
Mailly possédait autrefois une maladrerie (hôpital de lépreux au Moyen Âge) ; elle se trouvait à mi-côte entre le cimetière et le nouveau village, près de l'emplacement nommé les Templiers. Il est probable que cet établissement dut sa fondation aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui comptaient dans leur ordre plusieurs membres de la famille de Mailly.
Cette maladrerie fut remplacée, dans les temps modernes, par un hôpital qui ajouta aux revenus déjà existants la dotation de 200 livres de rentes, que lui fit, en s'y retirant vers 1746, Madeleine-Bernardine Kadot de Sébeville (1726-1762), veuve du sieur Artus-Louis-Timoléon de Gouffierde Thoix, petite-nièce de Jacques Kadot, et belle-sœur du marquis Louis-Victor de Mailly (qui avait épousé vers 1740/1743 sa sœur Françoise-Antoinette Kadot)[19]. Des sœurs grises du couvent Saint-Lazare à Paris y furent appelées le pour soigner les malades indigents et donner l'instruction gratuite aux jeunes filles pauvres de la paroisse. Cet hôpital, dont l'utilité était marquée dans une localité aussi importante que celle de Mailly, n'a pas été conservé, il sert aujourd'hui de mairie après avoir longtemps abrité l'école communale[16].
Plusieurs membres de la famille de Mailly, tels que Gilles, 1548, Thibaut, 1575, René III..., s'intitulèrent seigneurs de Colincamps et de Beaussart.
la Maison de Mailly[20],[21], illustre famille féodale qui semble installée en Picardie, Flandre et Hainaut depuis le XIe siècle, se partage au XVIIe siècle entre deux grandes branches : la branche aînée des marquis de Mailly, issue de René III (v. 1610-1695 ; fils aîné de René II de Mailly, 1580-1642), qui par une alliance avec la branche cadette jouit conjointement du titre de comte de Rubempré ; et ladite branche cadette, venue de Louis Ier Charles de Mailly (v. 1618-1708 ; fils puîné de René II) et de sa femme Jeanne de Monchyla Bécasse[22], marquise de Nesle et de Montcavrel, comtesse de Rubempré (cf. les articles Nesle et Rubempré), titulaire des droits héréditaires sur la principauté d'Orange. Au XVIIIe siècle, Marie-Louise-Françoise-Victoire de Mailly (1721-1763), héritière de la baronnie de Mailly-le-Franc et de Rubempré, petite-fille du marquis René V de Mailly (lui-même petit-fils du marquis René III et gendre de Louis-Charles de Mailly), convola en 1743 avec Charles-Alexandre-Antoine-Joseph de France de Noyelle, comte d'Hézecques et seigneur de Radinghem en Artois ; leur petit-fils François-Félix de France de Mailly d'Hézecques (1774-1835 ; fils de Charles-Isabel-Désiré-Guilain de France de Mailly d'Hézecques (1746-1822), dernier seigneur héréditaire des terres qu'on vient de citer) est l'auteur des Souvenirs d'un page à la cour de Louis XVI.
Mailly eut beaucoup à souffrir lors du siège de Corbie en 1636 ; les Espagnols s'en emparèrent et livrèrent presque toutes les maisons au pillage. L'année suivante, un incendie détruisit une grande partie du bourg.
En 1683, un nouvel incendie, plus terrible que le premier, réduisit en cendres l'église, le château et la commune presque tout entière, laquelle, par son importance, avait mérité le titre de ville.
Le bourg de Mailly-Maillet comprenait dans son territoire deux hameaux : Beaussart et Colicamps et plusieurs autres dépendances, Belval, Haut et Bas Héringuiére, dont les dîmes sont mentionnées comme faisant partie du revenu du titulaire curé, Pierre Petit, en 1730.
Lors de la Terreur, il fut signalé comme un foyer d'émigration, et une lettre de dénonciation, écrite à André Dumont, le 15 nivôse de l'an II, lui apprenait que la tranquillité de Mailly était en danger ; que le maire, le premier officier municipal et le juge de paix se voyaient menacés par la vengeance de l'aristocratie qui voulait les immoler, et que le foyer du mal était à Doullens :
« Comme le citoyen de France, disait on, reçoit, à chaque instant, des visites de ses affiliés, et que ceux-ci reviennent à Mailly servir les mauvais principes qu'il leur débite, je crois qu'il serait bon que tu donnasses l'ordre de lui interdire toute communication à l'extérieur de la citadelle. »
Des scellés furent apposés au château et grâce au courage d'un membre de la société populaire de Doullens, le comte d'Hézecques, baron de Mailly, sire de Radinghem et comte de Rubempré, déjà détenu à la citadelle de cette ville, échappa à la mort[16].
Le village, qui était desservi auparavant par le bureau de poste d'Acheux, est doté en de sa propre poste[23].
Mailly eut beaucoup à souffrir de l'invasion allemande durant la guerre franco-prussienne de 1870. Après la bataille de l'Hallue, les Français battant en retraite vers le nord, passèrent à Mailly où ils séjournèrent le . Le lendemain, les Prussiens, au nombre d'environ 12 000, traversèrent la commune. Du 5 au , Mailly eut à loger de nombreux détachements de cavalerie ennemie. Le 14 une escarmouche eut lieu entre les éclaireurs français et les cuirassiers blancs, qui emmenèrent prisonniers quatre dragons.
Les Allemands revinrent à Mailly après la bataille de Saint-Quentin, et séjournèrent du au . La troupe de l'occupation était de la 28e d'infanterie, le 8e régiment de pontonniers et de hussards, formant un total de 3 000 hommes ; craignant d'être surpris, ils établirent des avant-postes à la sortie du bourg, et élevèrent des barricades interceptant toute espèce de communication. L'Armistice ayant été déclaré, les Prussiens partirent brusquement dans la direction d'Amiens, emmenant en otage le maire, M. Desjardin, qui fut enfermé à la citadelle pendant douze jours.
Les pertes occasionnées à Mailly par l'occupation prussienne tant par suite de réquisition que comme contributions de guerre, s'élevèrent à la somme de 85 000 francs de l'époque. La commune a été admise dans la répartition des indemnités accordées par l'État pour une somme de 48 000 francs.
Le hameau de Beaussart comptait à la fin du XIXe siècle 248 habitants. Il fut longtemps privé de chapelle pour les services religieux de ses habitants. « Grâce à la munificence et au zèle de leur compatriote, l'abbé Gosselin, ils possèdent aujourd'hui une magnifique église. Leur généreux bienfaiteur avait à peine terminé une aussi difficile entreprise qu'il mourut le , victime de son généreux dévouement. Il était vicaire à Péronne[16] ».
Mailly-Maillet, était située à l'arrière immédiat du front pendant la Première Guerre mondiale. La ligne de chemin de fer desservant Mailly-Maillet était aux mains des Alliés. Pendant la Bataille de la Somme, la ligne servit au transport de munitions et à l'évacuation des blessés. En , le tronçon Acheux-en-Amiénsois-Albert fut désaffecté. Après la bataille de la Somme, en 1917, la section Acheux-en-Amiénsois-Aveluy fut rouverte. Au cours de l'offensive de printemps de , le trafic fut interrompu, à partir du , sur le tronçon Albert-Acheux-en-Amiénois.
Les cimetières militaires britanniques de Mailly wood et de l'extension du cimetière communal sont officiellement créés le [24]
À la fin de la guerre, le village avait subi d'importantes dégradations[25].
Quatre hommes originaires de la commune furent arrêtés par les Allemands en juillet- pour faits de résistance, détenus à la prison d'Amiens puis au camp de Royallieu à Compiègne et de là furent déportés au camp de Buchenwald, en Allemagne. Tous moururent en déportation[28].
Mailly a notamment depuis 1852 un corps de sapeurs-pompiers. Nous n'avons que peu d'éléments sur les sinistres dans la commune, d'autant que plusieurs pages ont été détruites sur le registre du corps. Néanmoins nous sommes certains que nos anciens ont eu dur à faire, surtout durant la Première Guerre mondiale, la commune se trouvant sur les champs de bataille de la Somme.
En 1983, le corps a reçu un nouveau drapeau en remplacement de celui datant de 1852 (toujours visible à la mairie). L'amicale a effectué l'achat d'un fourgon en 1982. L'ancien entrepôt qui se trouvait au presbytère a été remplacé en 1984 par un local flambant neuf.
En 1993, la commune acquiert un fourgon pompe-tonne qui est entièrement reconditionné par les sapeurs pompiers.
Mailly-Maillet est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, créée fin 2001 sous le nom de Communauté de communes de la région d'Albert - Acheux en Amiénois et Bray-sur-Somme.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2021, la commune comptait 647 habitants[Note 3], en évolution de +5,55 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La mairie de Mailly-Maillet est installée dans un bâtiment en brique et pierre qui était autrefois l'hôpital de la commune, édifié jadis en remplacement d'une maladrerie[43].
Chapelle Madame[49], située en bordure de l'ancien enclos du couvent des Cordeliers fondé au XVe siècle, non loin de l'église[50],[51]. Le marquis de Mailly la fit élever en 1753 en mémoire d'Antoinette Cadot de Sebeville, sa jeune épouse décédée, par les architectes Franque et Christophle[52]. Classé MH (1973). Une majestueuse allée, bordée par un alignement de tilleul; y conduit depuis le parc situé devant l'église.
Chapelle Notre-Dame du Mont-Carmel Rue Lepage, un premier édifice a été construit avant la Révolution. Reconstruite après la Grande Guerre, la chapelle montre une Vierge à l'enfant au-dessus de l'entrée[53].
Chapelle du cimetière Construite à l'emplacement et avec les matériaux de l'ancienne église de Mailly, Beaussart et Colincamps. C'est la sépulture d'anciens curés locaux. Une restauration a eu lieu en 1972[53].
Monument aux morts réalisé par la marbrerie Dessein d'Albert en 1922[54] C'est un monument unique dans le département de la Somme, avec sa statue « la France foulant aux pieds l'aigle germanique[55]», riche en symboles :
victoire ailée ;
aigle vaincue ;
coq gaulois ;
avec, gravée sur le socle, cette devise : On ne passe pas.
Cimetières militaires du Commonwealth, entretenus par la CWG :
Le Mailly Wood Cemetery abrite les sépultures de 702 soldats du Commonwealth, dont 60 de soldats qui n'ont pu être identifiés. Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield, et, situé en périphérie du village, son accès en voiture n'est pas recommandé par temps de pluie (risque d'enlisement)[57].
Écuries du XVIIIe siècle de l'ancien château de Mailly-Maillet, aujourd'hui détruit, partiellement réaménagées en brasserie par Lavisse à la limite des XIXe et XXe siècles, actuellement désaffecté, 3, 5 rue Eugène-Dupré[58].
Jardin du Beaumaillet, aire de jeux pour les enfants inaugurée en à l'arrière de la mairie[59].
L'église.
Cimetière militaire britannique de Mailly Wood.
Tombe d'un sergent du Lancashire fusiliers au Mailly Wood cimetery
Détail du monument aux morts
Le monument aux morts
Église Saint-Léger de Beaussart, bâtie dans le style néo-gothique en 1860.
La commune de Mailly-Maillet a repris les armes des Mailly, seigneurs du lieu, en changeant les émaux. Les armes de la famille de Mailly étaient d'or à trois maillets de sinople.
Citation à l'ordre de l'armée du 28 octobre 1920 : « Courageuse cité, située dans la zone de combat pendant la guerre et dont les habitants ont supporté sans faiblesse de fréquents bombardements qui l'ont détruite. S'est signalé pendant ces dures épreuves par une belle ténacité et une confiance inébranlable dans le succès de nos armes. »
Citation à l'ordre du régiment du 11 novembre 1948 : « Courageuse commune, en partie détruite pendant la guerre 1939-1945, n'en a pas moins continué la lutte clandestine »[62].
Paul Decagny, L'arrondissement de Péronne, ou recherches sur les villes, bourgs, villages et hameaux qui le composent, Péronne, Imprimerie et librairie de J. Quentin, , 607 p. (lire en ligne), p. 209-2015; sur Google Livres.
Adolphe de Cardevacque, Le canton d'Acheux, Impr. Lorisse, Autremencourt, Le Livre d'histoire, 2003` (1re éd. 1883), 390 p. (ISBN2-84373-348-0, BNF39089943), p. 280-297.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Notice géographique et historique sur la commune de Mailly-Maillet rédigée par Mademoiselle Tempez, institutrice, 1899, Amiens, Archives départementales de la Somme
↑Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 4 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
↑« Changements dans la circonscription des bureaux de poste », Bulletin mensuel de l'Administration des postes, no 21, , p. 73 (lire en ligne, consulté le ) lire en ligne sur Gallica.
↑« Cimetières pour les Alliés », Travaux des conseils d'hygiène publique et de salubrité du Département de la Somme, 1917-1918-1919-1920, -317 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
↑« Les pompiers de Mailly-Maillet misent sur la jeunesse : Le centre de secours se définit comme une famille et met en avant l'engagement des plus jeunes », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Odette et André-Charles Gros, Le compagnon Jean Veyren "Vivarais" Artiste serrurier au XVIIIe siècle en Picardie, Villeneuve de Berg, Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, Société des Enfants et Amis de Villeneuve de Berg, , 112 p., p. 68-69.
↑ a et bAndré Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 174-175 (ASINB000WR15W8).
↑Vincent Hery, « Un jardin extraordinaire inauguré à Mailly-Maillet : Le Beaumaillet vient d'être inauguré. Le lieu doit permettre de créer un lien entre les générations », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).