Malalai Bahaduri est sous-lieutenant à l'Unité nationale d'interception afghane, instructrice principale[1]. Elle y travaille en tant qu'opératrice en télécommunications, mais décide de rejoindre les services de police en 2002, à la fin du régime des talibans[2]. Elle est alors menacée de mort et agressée physiquement par un oncle qui s'oppose à son choix[2].
Elle est la première femme membre de l'Unité nationale d'interception afghane[3].
Elle participe alors à des opérations de lutte contre la drogue dans les 34 provinces d'Afghanistan[3],[4].