Mandres-aux-Quatre-Tours

Mandres-aux-Quatre-Tours
Mandres-aux-Quatre-Tours
Église Saint-Martin.
Blason de Mandres-aux-Quatre-Tours
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Mad et Moselle
Maire
Mandat
Denis Fourrière
2020-2026
Code postal 54470
Code commune 54343
Démographie
Population
municipale
194 hab. (2021 en évolution de +8,38 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 27″ nord, 5° 48′ 00″ est
Altitude Min. 236 m
Max. 288 m
Superficie 10,24 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Mandres-aux-Quatre-Tours
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Mandres-aux-Quatre-Tours

Mandres-aux-Quatre-Tours est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Géographie

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Fig. 1 - Mandres (ban communal).

L'altitude moyenne de Mandres est de 250 mètres environ. Le ban communal, d’une superficie de 1 037 hectares, comporte en 2011, d'après les données Corine land Cover, près de 45 % de forêts, 50 % de prairies, terres arables et cultures, puis 3.5 % de zones anthropisées (zones industrielles et urbaines)[1]

Le territoire est arrosé par les cours d'eau naturels que sont : le Ruisseau de "l'étang de" Be(l)rupt" (1,745 km), le Ruisseau du Grand Etang (0,2 km), le Ruisseau du Pré St-Martin (1,315 km) et le Ruisseau le Neuf Etang (0,513 km)[2].

Le village est situé au nord de la forêt de la Reine et forme un territoire allongé dans l'axe nord-sud qui fait frontière cantonale et départementale. (Fig. 1).

Communes limitrophes de Mandres-aux-Quatre-Tours
Beaumont Seicheprey Bernécourt
Rambucourt Mandres-aux-Quatre-Tours Hamonville
Royaumeix Géville

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Berupt, le ruisseau du Grand Étang, le ruisseau du Pre St-Martin et le ruisseau le Neuf Étang[3],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Mandres-aux-Quatre-Tours[Note 1].

Trois plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le Grand étang, d'une superficie totale de 22,6 ha (2,2 ha sur la commune), le Petit étang ou étang du Waché (0,7 ha) et Neuf étang, d'une superficie totale de 42,4 ha (12,3 ha sur la commune)[Carte 1],[4].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Rupt de Mad, Esch, Trey ». Ce document de planification concerne les bassins versants du Rupt de Mad, de l’Esch et du Trey. Le périmètre a été arrêté le 2 juin 2014, la commission locale de l'eau (CLE) a été créée le , puis modifiée le 0. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Parc naturel régional de Lorraine[5].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 856 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 10 km à vol d'oiseau[8], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Mandres-aux-Quatre-Tours est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,9 %), terres arables (36,3 %), prairies (14,2 %), zones urbanisées (2,9 %), eaux continentales[Note 3] (1,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Les différentes graphies du nom de la commune recensées par le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe sont les suivantes : Mandræ (1033), Balduinus et domus (le château) de Mandles (XIIe siècle), N. doyen de la crestientei de Mandres (1270), La fort Maison de Mandres-en-Weiwre (1339), Mondriæ (1402)[18].

Les sources historiques précisent qu'au lieu-dit A la Côte, canton situé à environ 400 mètres, à l'est du village, on rencontrait des ruines de constructions qu'on croit être celles d'un couvent détruit depuis longtemps[19].

Mandre : signifie chalet, cellule, bergerie etc. du verbe latin manere, rester, lieu ou l'on réside[20].

Antiquité et préhistoire

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Au sujet de la présence gallo-romaine, Beaupré rapporte les indications de Liénard, dans son ouvrage sur l'archéologie de la Meuse[21] :

« Au dire de Liénard (Archéologie de la Meuse), on aurait trouvé à Mandres pas mal de monnaies romaines, surtout de monnaies du Bas-Empire. »[22]

Moyen Âge et Renaissance

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Le château, mentionné à partir du XIIe siècle, appartint successivement du XIIIe siècle au XVIe siècle aux comtes d'Apremont, aux ducs de Bar et aux comtes de Blâmont. Il fut détruit sur ordre de Richelieu.

Il ne restait de cet édifice à la fin du XIXe siècle, d'après le mémoire de la société d'archéologie lorraine[19], que la double enceinte et quelques pans de murs, épais de 2 à 5 mètres, conservés dans les habitations modernes, et les fossés, quoique en partie comblés, qui permettaient de constater que le château s'élevait sur un plan rectangulaire ou carré, d'environ 80 mètres de côté. II était flanqué de quatre grosses tours aux angles et au milieu, une grande cour avec trois corps de logis à trois étages. Au second, chambres, salles, chapelles. Entre les deux enceintes, il y avait une basse-cour, une grande écurie, un pressoir et auditoire. En dehors de la seconde enceinte, dont les fossés se continuaient sans interruption, on trouvait la basse-cour du Bayle, celle dite de Toul et au milieu un vivier et un colombier sur quatre piliers.

Epoque Moderne

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Le village détruit pendant la Grande guerre.
  • Mandres-aux-Quatre-Tours a été repris aux forces allemandes au début du mois de , après un combat à la baïonnette, par le 15e Régiment d'Infanterie parti d'Albi le . Ce régiment faisait partie du 16e Corps d'Armée sous le commandement du général Taverna. Il avait participé le à la bataille de Sarrebourg et le à celle de Rozelieures. Ce régiment, associé aux forces anglaises, devait subir de lourdes pertes lors de la bataille du saillant d'Ypres au début du mois de .

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965 juin 1995 Gilbert Fourrière    
juin 1995 mars 2001 Denis Fourrière    
mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Achard    
mars 2008 Avril 2014 Nicole Gilles    
mars 2014 En cours
(au 27 mai 2020)
Denis Fourrière[23],[24]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Ancien cadre

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 194 habitants[Note 4], en évolution de +8,38 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
390447437415435429432417442
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
442447417407397387349333333
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
325301252245226227234225206
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
210187171162170178179180187
2021 - - - - - - - -
194--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

E. Grosse indique dans son ouvrage, vers 1836 :

« Territ. : 791 hect. dont 375 en. forêts, 352 en terres arables et 64 en prés. »[29]

Le village a donc eu une tradition agricole.

Secteur primaire ou Agriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[30]), la commune de Mandres-aux-Quatre-Tours était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 819 hectares (supérieure à la surface cultivable communale) en légère augmentation depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 616 à 345 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 9 (18 en 1988) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 12 unités de travail[Note 7]. (21 auparavant).

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Ruines du château fort fin XIIe : site fossoyé.
  • Vestiges de l'ancien château XVIIIe de la famille de Bourgogne.
  • Ancienne maison prévôtale.
  • Fontaine monumentale.
  • Église Saint-Martin XVIIIe, restaurée XIXe inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du pour son portail intérieur roman, ancien portail de la chapelle castrale[31]..

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de Mandres-aux-Quatre-Tours Blason
D'azur à deux bars adossés d'or, accompagnés de quatre croisettes au pied fiché de même, cantonnés de quatre tours d'argent maçonnées de sable.
Détails
Les armes de Bar indiquent que Mandres dépendait de ce duché. Quant aux quatre tours, leur représentation dans le blason en fait des armes parlantes. Mandres était le chef-lieu d'une prévôté qui fut supprimée en 1751.

Bibliographie

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Article connexe

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Mandres-aux-Quatre-Tours » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Ma fiche Commune », sur Siges.
  2. « Ruisseau de berupt [A7100550] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Mandres-aux-Quatre-Tours », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  4. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « SAGE Rupt de Mad, Esch, Trey », sur gesteau.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Mandres-aux-Quatre-Tours et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune de Mandres-aux-Quatre-Tours ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : rédigé sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, Paris, Imprimerie Impériale, (OCLC 978158777, lire en ligne).
  19. a et b Société d'archéologie lorraine Auteur du texte et Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ).
  20. « Dictionnaire de l' ancience lanque française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle », Notes and Queries, vol. s6-II, no 28,‎ , p. 39–39 (ISSN 1471-6941 et 0029-3970, DOI 10.1093/nq/s6-ii.28.39b, lire en ligne, consulté le ).
  21. Félix Liénard, Archéologie de la Meuse. Description des voies anciennes et des monuments aux époques celtique et gallo-romaine, C. Laurent, (lire en ligne).
  22. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 96.
  23. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. E. Grosse (abbé), Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe : contenant une introduction historique, etc., Creusat, .
  30. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  31. « Église Saint-Martin », notice no A00106089, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.