Membre du Parti communiste d'Espagne, elle fait don de l'essentiel de ses récompenses aux syndicats, au parti ou à des associations sociales. Elle participe activement après la mort du dictateur Franco en 1975 aux mobilisations contre l’OTAN et soutient les luttes syndicales et sociales[1].
(es) Luis García Gil, Marisol Pepa Flores. Corazón rebelde, Editorial Milenio, (ISBN978-84-9743-816-2)
(es) Aurora G. Morcillo, The Seduction of Modern Spain. The Female Body and the Francoist Body Politic, Rosemont Publishing, (ISBN978-0-8387-5753-6)
(en) Katherine O. Stafford, « The Myth of Marisol in Twenty-First-Century Spanish Cultural Production », Journal of Gender and Sexuality Studies / Revista de Estudios de Género y Sexualidades, vol. 44, no 2, , p. 63–75 (ISSN2637-9961, DOI10.14321/jgendsexustud.44.2.0063, lire en ligne, consulté le ).
↑Katherine O. Stafford, « The Myth of Marisol in Twenty-First-Century Spanish Cultural Production », Journal of Gender and Sexuality Studies / Revista de Estudios de Género y Sexualidades, vol. 44, no 2, , p. 63–75 (ISSN2637-9961, DOI10.14321/jgendsexustud.44.2.0063, lire en ligne, consulté le ).