Martincourt (Meurthe-et-Moselle)

Martincourt
Martincourt (Meurthe-et-Moselle)
Vue d'ensemble du village de Martincourt.
Blason de Martincourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes du Bassin de Pont-à-Mousson
Maire
Mandat
Patrice Poirel
2020-2026
Code postal 54380
Code commune 54355
Démographie
Gentilé Les Loups[1]
Population
municipale
91 hab. (2021 en évolution de −4,21 % par rapport à 2015)
Densité 8,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 51″ nord, 5° 56′ 50″ est
Altitude Min. 209 m
Max. 325 m
Superficie 10,66 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Martincourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Martincourt

Martincourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Village situé dans une vallée, au pied d'une côte élevée, près de l'Esche, à 6 km de Domèvre-en-Haye à 24 km de Toul et 29 de Nancy.

Fig. 1 - Martincourt (ban communal).

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1070 hectares comportait en 2011, 50,5 % de zones agricoles, 41 % de forêts et 8 % de prairies. Le territoire communal est arrosé par le ruisseau d'Esche sur presque 6 km[2]. Martincourt se situe en petite Suisse Lorraine qui désigne un périmètre qui englobe cinq village : Griscourt, Gézoncourt, Martincourt Rogéville et Villers-en-Haye.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Carte
Rose des vents Lironville Mamey Jezainville Rose des vents
Noviant-aux-Prés N Gézoncourt
O    Martincourt    E
S
Manonville Domèvre-en-Haye ; Rogéville Villers-en-Haye

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau d'Esche[3],[Carte 1].

L'Esch, d'une longueur de 46 km, prend sa source dans la commune de Geville et se jette dans la Moselle à Blénod-lès-Pont-à-Mousson, après avoir traversé 19 communes[4]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Esch sont données par la station hydrologique située sur la commune de Jezainville. Le débit moyen mensuel est de 1,38 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 34,9 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 37,3 m3/s, atteint le même jour[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Martincourt[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Rupt de Mad, Esch, Trey ». Ce document de planification concerne les bassins versants du Rupt de Mad, de l’Esch et du Trey. Le périmètre a été arrêté le 2 juin 2014, la commission locale de l'eau (CLE) a été créée le , puis modifiée le 0. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Parc naturel régional de Lorraine[6].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 848 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 16 km à vol d'oiseau[9], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 3],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Martincourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,5 %), forêts (36,9 %), prairies (8,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Au cours de son histoire, le village a vu sa dénomination fluctuer[19] : Alodium de Martincurt. XIIe siècle cartulaire de Rengéval. Martincort. 1304. Trésor des Chartes. Domaine de Pont-à-Mousson. Mairtincourt. 1315. Ibid. Fiefs de Nancy. Mertincourt-desous-Pierefort. 1344. Ibid. Pierrefort. Martinicuria. 1402. Registrum[20]. Mertincourt. 1421. Domaine de l'Avant-Garde. Martincourt, Martinicurtis. 1710. Pouillé du diocèse de Toul[21]. Le nom de Martincourt est formé sur le prénom Marti(n) et le substantif cortem : le domaine de Martin, d'où l'usage de la forme latinisée Martini Curia ou Curtis[22].

Ecarts et lieux-dits

[modifier | modifier le code]

La Gloriette, Nanzéville et Gomoulin sont indiqués dès 1544 comme dépendances du château de Pierrefort. H. Lepage cite un autre nom d'écart : Lajue[19], ainsi que les hameaux Saint-Jean et de Pierrefort.

Le répertoire archéologique du comte Beaupré signale la découverte d’artefacts sans en préciser une datation, ce qui indique toutefois une occupation ancienne du territoire communal :

« Au Champ la biche, au Bateau poirier et au Fourneau fontaine[23], débris de constructions avec tuiles à rebord et meules »[24] Au XXe siècle, d'autres artefacts datés de l'époque romaine sont signalés associés aux sites du château de Pierrefort et au hameau Saint-Jean[25].

Martincourt, le château, carte postale ancienne.

Une bonne partie de l'Histoire du bourg est liée au château de Pierrefort[26] à partir de 1306,

Château fondé en 1306 par Pierre de Bar.- Pris par les Bourguignons au XVe. - Donjon rasé par le duc de Lorraine en 1474.- Démantelé au XVIIe.

toutefois H. Lepage cite une preuve de l'existence du bourg vers les années 1150 aux termes d'un acte historique :

« Une charte d'Henri de Lorraine, évêque de Toul (1127-1168), rapporte un échange fait entre l'abbé de Rangéval et celui de Saint-Mansuy, du bien de Varinchanois contre certains champs situés dans l'alleu de Martincourt (in alodio de Martincurt), lesquels avaient été donnés à l'abbaye de Saint-Mansuy par Lambert de Toul »[27]

La seigneurie de Pierrefort comprenait en 1594, seize hameaux ou villages[23] : dont Mamey et Martincourt en 1619 sous le dernier seigneur, marquis d'Heudicourt[28].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Village ayant participé au théâtre des opérations de la Première Guerre mondiale

« En , après de sérieux préparatifs, un parc à matériel et un poste météorologique sont installés entre Martincourt et Manonville en vue d'une opération envisagée pour le  »[29]

  • Village incendié par les troupes allemandes en retraite en 1944.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 2001 Guy Delaire DVD  
mars 2001 mars 2008 Emmanuel Aresi    
mars 2008 En cours
(au 3 juillet 2020)
Patrice Poirel[30],[31]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Employé de commerce

Par arrêté préfectoral de la préfecture de la région Grand-Est en date du 9 décembre 2022, la commune de Martincourt a intégré l'arrondissement de Nancy au 1er janvier 2023[32].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 91 habitants[Note 5], en évolution de −4,21 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
255262303293295320315288296
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
291279256239212208203205188
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1981651351271271308211587
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
927787857678759193
2019 2021 - - - - - - -
9491-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et faiblement viticole, au XIXe siècle :

« Surf. territ. : 592 hecto en terres lab., 49 en prés, 4 en vignes, 360 en bois. L'hectare semé en blé peut rapporter 8 hectol., en orge et avoine 9, en seigle 6, planté en vignes 15. Chevaux, bœufs, moutons et porcs. »[28],[27]

Secteur primaire ou Agriculture

[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[37]), la commune de Martincourt était majoritairement orientée[Note 6] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant production de céréales et d'oléagineux ) sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 774 hectares (surface cultivable communale) en baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 270 à 230 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 5 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 9 unités de travail[Note 8].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Château de Pierrefort.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pierre de Bar (1265-1348) seigneur de Pierrefort jusqu'en 1348, fils de Thiébaut II, comte de Bar et de Jeanne de Toucy.

Héraldique, logotype et devise

[modifier | modifier le code]
Blason de Martincourt Blason
D'or au lion naissant de gueules.
Détails
Ces armoiries sont celles de la maison de Bar-Pierrefort, à l'origine de la construction du château qui domine le village.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
  • Geindre, Lucien. Le château de Pierrefort. Le pays lorrain, avril-.
  • Geindre, Lucien. Monuments lorrains en péril : le château de Pierrefort (XIVe siècle). Le pays lorrain, janvier-, no 1, p. 68-69 : ill., plan.
  • Geindre, Lucien. Un monument historique en péril : l'ancien château de Pierrefort à Martincourt (Meurthe-et-Moselle). Lotharingia : Mélanges d'archéologie, d'art et d'histoire offerts au chanoine Jacques Choux, 1997, t. VII, p. 77-92 : ill., plans.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 639 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/09/1969 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  7. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  8. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. « Réseau hydrographique de Martincourt » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Enquête sur le nom des habitants. Bassin mussipontain : dis-moi où tu habites, je te dirai qui tu es ! », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Martincourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  4. Sandre, « l'Esch »
  5. « Station hydrométrique L'Esch à Jezainville », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  6. « SAGE Rupt de Mad, Esch, Trey », sur gesteau.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Martincourt et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Martincourt ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : rédigé sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, (lire en ligne), p. 58,75,100,109,118.
  20. Registrum Beneficiorum Diœcesis Tullensis, anno 1402. Réédité dans le Recueil de documents sur l'histoire de Lorraine, tome VIII, par Henri Lepage. Nancy, chez Wiener, aîné, fils. 1863.
  21. Œuvre de François Benoist, capucin de la Province de Lorraine.
  22. Grosse, E., Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press, (ISBN 1-278-24895-1 et 978-1-278-24895-0, OCLC 936241814, lire en ligne).
  23. a et b Fourneau fontaine serait au nord du bourg, vers la commune de Mamey (http://visualiseur.bnf.fr/CadresFenetre?O=NUMM-33691&I=284&M=tdm)
  24. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 98.
  25. Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 978-2-87754-091-9, OCLC 890475393, lire en ligne).
  26. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte et Musée lorrain (Nancy) Auteur du Lucien GEINDRE, Le château de Pierrefort, « Le Pays lorrain : revue régionale bimensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, (consulté le ).
  27. a et b Le Département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 356.
  28. a et b Grosse, E., Dictionnaire statistique du departement de la Meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press, (ISBN 1-278-24895-1 et 978-1-278-24895-0, OCLC 936241814, lire en ligne).
  29. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte et Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Le Pays lorrain : revue régionale bimensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul », sur Gallica, (consulté le ) : « P 197 - Régis MAUCOLOT La guerre des gaz dans le Saillant de Saint-Mihiel ».
  30. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  31. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  32. Arrêté préfectoral n° 2022/810 du 9 décembre 2022 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Meurthe-et-Moselle, p. 178.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  38. « Château de Pierrefort », notice no PA00106091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.