Meiffren Conte complète sa formation de peintre à Rome où il est fortement influencé par Francesco Fieravino, dit le Maltais (vers 1650-1680). Il travaille à Paris et à Aix-en-Provence, puis revient s’installer à Marseille.
↑Le bureau royal de documentation artistique de la Haye donne une liste de patronymes utilisés pour cet artiste : Ephrem Conte, Mainfrain Conte, Ephrem Lecomte, Ephrem Leconte, Meifren-Conte, Monsù Conti.
↑Jean-Roger Soubiran, André Alauzen, André Bourde, Marie-Claude Homet, Marie-Christine Gloton, Pierre Lesage et al. (préf. François Trucy, Pierre Perruchio et Édouard Pommier), La peinture en Provence dans les collections du musée de Toulon du XVIIe au début du XXe siècle, Toulon, Musée de Toulon, , 360 p., 32 × 23,5 cm (ISBN2-905076-09-7), p. 63
↑Le flambeau faisait partie d'une série de douze sur le thème des travaux d'Hercule, série réalisée d'après des dessins de Charles Le Brun pour le grand appartement du roi à Versailles.
Claude-Gérard Marcus, « Un maître de la nature morte redécouvert : Meiffren Comte, Peintre d'Orfèvrerie », Art et Curiosité, .
Michel Faré, Le Grand Siècle de la nature morte en France, Le XVIIe Siècle, Fribourg, 1974.
André Alauzen et Laurent Noet, Dictionnaire des peintres et sculpteurs de Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille, Jeanne Laffitte, (1re éd. 1986), 473 p. (ISBN978-2-86276-441-2), p. 131.