Michel Durafour
Fonctions
Ministre d'État [ N 1] Ministre de la Fonction publique et des Réformes administratives
12 mai 1988 – 15 mai 1991 (3 ans et 3 jours )
Président
François Mitterrand
Premier ministre
Michel Rocard
Gouvernement
Rocard I et II
Prédécesseur
Hervé de Charette (Fonction publique, ministre délégué ) Camille Cabana (Réforme administrative, ministre délégué )
Successeur
Jean-Pierre Soisson
Ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'Économie, des Finances et du Budget
27 août 1976 – 30 mars 1977 (7 mois et 3 jours )
Président
Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre
Raymond Barre
Gouvernement
Barre I
Prédécesseur
Jean-Pierre Fourcade (ministre)
Successeur
Robert Boulin
Ministre du Travail
28 mai 1974 – 25 août 1976 (2 ans, 2 mois et 28 jours )
Président
Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre
Jacques Chirac
Gouvernement
Chirac I
Prédécesseur
Georges Gorse
Successeur
Christian Beullac
Sénateur français
25 septembre 1983 – 12 juin 1988 (4 ans, 8 mois et 18 jours )
Élection
25 septembre 1983
Circonscription
Loire
Groupe politique
Gauche démocratique
26 septembre 1965 – 3 avril 1967 (1 an, 6 mois et 8 jours )
Élection
26 septembre 1965
Circonscription
Loire
Groupe politique
Gauche démocratique
Député français
3 avril 1978 – 22 mai 1981 (3 ans, 1 mois et 19 jours )
Élection
19 mars 1978
Circonscription
1re de la Loire
Législature
VIe (Cinquième République )
Groupe politique
UDF
Prédécesseur
Pierre-Roger Gaussin
Successeur
Paul Chomat
3 avril 1967 – 28 juin 1974 (6 ans, 10 mois et 24 jours )
Élection
12 mars 1967
Réélection
30 juin 1968 11 mars 1973
Circonscription
1re de la Loire
Législature
IIIe , IVe et Ve (Cinquième République )
Groupe politique
PDM (1967-1973) RDS (1973-1974)
Prédécesseur
Bernard Muller
Successeur
Pierre-Roger Gaussin
Président du conseil régional de Rhône-Alpes
29 septembre 1980 – 7 septembre 1981 (11 mois et 9 jours )
Prédécesseur
Paul Ribeyre
Successeur
Charles Béraudier
Maire de Saint-Étienne
10 décembre 1964 [ N 2] – 24 mars 1977 (12 ans, 3 mois et 14 jours )
Élection
21 décembre 1964
Réélection
mars 1965 et mars 1971
Prédécesseur
Alexandre de Fraissinette
Successeur
Joseph Sanguedolce
Biographie
Nom de naissance
Michel André François Jean Durafour [ 1]
Date de naissance
11 avril 1920
Lieu de naissance
Saint-Étienne (Loire )
Date de décès
27 juillet 2017 (à 97 ans)
Lieu de décès
Saint-Étienne (Loire )
Nationalité
française
Parti politique
UDSR (1945-1948) PRRRS (1948-1956) CR (1956-1977) UDF -RAD (1978-1992) MDR (dès 1992)
Père
Antoine Durafour
Diplômé de
Faculté de droit de Paris École libre des sciences politiques
Profession
Journaliste Universitaire Écrivain
Religion
Catholicisme
Maires de Saint-Étienne
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Michel Durafour , né le 11 avril 1920 à Saint-Étienne (Loire ) et mort le 27 juillet 2017 dans la même ville[ 2] , [ 3] , est un homme politique et écrivain français .
D'abord membre du Parti républicain, radical et radical-socialiste puis du Parti radical valoisien , il est membre des gouvernements de Jacques Chirac puis de Raymond Barre , entre 1974 et 1977. Il se rapproche en 1988 de la gauche en entrant au gouvernement de Michel Rocard et devenant ainsi une personnalité symbolique de l'ouverture .
Il est maire de Saint-Étienne de 1964 à 1977, sénateur de la Loire de 1965 à 1967, puis député de la 1re circonscription de la Loire de 1967 à 1981, de nouveau sénateur de la Loire de 1983 à 1988 et brièvement président du conseil régional de Rhône-Alpes de 1980 à 1981.
Michel Durafour est également écrivain sous son patronyme et sous les pseudonymes de Pierre Jardin, Cécil Viborg et Rémi Sibel[ 4] .
Michel Durafour est le fils d'Antoine Durafour (1876-1932), avocat, homme politique et d'Olga Gaillard (1899-1992), d'origine suisse . Il est le filleul laïc d'Aristide Briand (1862-1932), homme politique et prix Nobel de la paix en 1926[ 5] .
Michel Durafour est élève au lycée Claude-Fauriel de Saint-Étienne[ 6] puis diplômé de la faculté de droit de Paris [ 7] et de l'École libre des sciences politiques [ 8] . En 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale , il s'engage dans l'armée et effectue son service militaire à Poitiers .
Michel Durafour est démobilisé en 1940 après la défaite et en 1941, il achève ses études à l'École libre des sciences politiques (section Diplomatie, promotion 1941 ) alors installée à Lyon .
Michel Durafour est marié à Maryse Forissier, sa quatrième épouse depuis 1973[ 9] , [ 10] . Il est père de deux enfants : Estelle Durafour (épouse Metton) et Jean-Michel Durafour, philosophe et théoricien des images et du cinéma[ 7] .
En septembre 1944 , il entre comme chargé de mission au cabinet du ministre de l'Information . Il exerce cette responsabilité jusqu'en janvier 1946 , successivement auprès de Pierre-Henri Teitgen , Jacques Soustelle et André Malraux . Michel Durafour est ensuite journaliste dans différents organes de presse .
Il rejoint tout d'abord l'Union démocratique et socialiste de la Résistance (UDSR) avant d'en être exclu en 1948 par Eugène Claudius-Petit . Il devient alors membre du Parti radical-socialiste .
Adjoint au maire de Saint-Étienne de 1947 à 1964 puis maire de cette ville de 1964 à 1977, il prend ainsi la suite de son père, Antoine Durafour. À cette date, les électeurs lui reprochant un manque de présence locale[ 11] , il est battu aux élections municipales de 1977 par le communiste Joseph Sanguedolce . Très attaché au développement de la culture à l'échelle locale, alors adjoint à la mairie de Saint-Étienne, il décide de créer systématiquement un adjoint délégué à la culture. Cette initiative pionnière dans les années 1960 sera suivie ensuite par d'autres villes.
Sénateur de la Loire (Centre républicain ) de 1965 à 1967, il est député de ce département de 1967 à 1974.
Président du groupe des réformateurs démocrates sociaux de l'Assemblée nationale de 1973 à 1974, il remplit les fonctions de ministre du Travail de 1974 à 1976 puis de ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'Économie, des Finances et du Budget de 1976 à 1977. Il laisse alors son siège de député à son suppléant, Pierre-Roger Gaussin . Le 29 avril 1976 , il signe avec le premier ministre Jacques Chirac, le décret autorisant le regroupement familial ouvrant ainsi la voie à l'immigration de masse.
Lors des élections législatives de 1978 , il est réélu député de la Loire sous l'étiquette de l'UDF et préside la commission de la production et des échanges de l'Assemblée nationale en 1978. Il est battu en 1981 par le candidat communiste Paul Chomat .
De 1980 à 1981, il préside le conseil régional de Rhône-Alpes et poursuit une carrière universitaire en tant que professeur associé de gestion à l'université Paris-Dauphine , professeur d’université à l'université Jean-Moulin-Lyon-III et conférencier à l'université Panthéon-Sorbonne [ 7] .
Sénateur de la Loire de 1983 à 1988, il est inscrit au groupe de la Gauche démocratique .
Ministre d'État puis ministre de la Fonction publique et des Réformes administratives de 1989 à 1991, il constitue, aux côtés d'autres personnalités d'ouverture, le Mouvement des réformateurs . Après une longue négociation avec les fédérations de fonctionnaires, il conclut avec cinq d'entre elles (FEN , CFDT , FGAF , CFTC et CGC ) un accord sur la réforme de la grille de la fonction publique le 9 février 1990 . Il est conseiller d'État en service extraordinaire de 1992 à 1996.
En 1988, il lance un appel public à « exterminer le Front national » [ 12] , Jean-Marie Le Pen lui réplique le 2 septembre 1988 en déclarant « M. Durafour et Dumoulin, obscur ministre de l'ouverture, dans laquelle il a d'ailleurs immédiatement disparu, a déclaré : "Nous devons nous allier, aux élections municipales, y compris avec le Parti communiste, car le PC, lui, perd des forces tandis que l'extrême droite ne cesse d'en gagner." M. Durafour-crématoire, merci de cet aveu ! » . Poursuivi pour « injure publique envers un ministre » , le président du Front national est condamné en première instance à 10 000 ₣ d'amende, le 3 juin 1991 [ 13] , puis relaxé par la cour d'appel de Versailles le 3 juillet 1991 [ 14] . L'arrêt est cassé le 20 octobre de la même année[ 15] ; Le Pen est de nouveau condamné à 10 000 ₣ d'amende par la cour d'appel de Paris , le 3 juin 1993 [ 16] , [ 12] , condamnation définitive, la Cour de cassation ayant rejeté son pourvoi, le 7 décembre de la même année. Cette affaire conduit également à l'exclusion du FN de François Bachelot , Pascal Arrighi et Yann Piat après qu'ils ont « exprimé leur désaccord avec ce « calembour » » [ 17] .
Lors de l'élection présidentielle de 2007 , il reprend des activités politiques en prenant la tête du comité de soutien de Ségolène Royal dans la Loire.
Michel Durafour et sa femme étaient des amis proches de Simone Veil [ 18] .
Dans les années 1950, il publie quelques romans . Il a été par la suite auteur de nombreux romans policiers et romans d'espionnage dans un style humoristique qui rappelle celui de Charles Exbrayat , notamment sous le pseudonyme de Pierre Jardin. En 1963, il remporte le prix du roman d'aventures pour Agnès et les vilains Messieurs . Sous son nom, il a également signé à partir des années 1980 des thrillers et des romans policiers historiques .
Il meurt le 27 juillet 2017 à l'âge de 97 ans, entouré par sa femme et ses enfants[ 19] , il était hospitalisé depuis six mois[ 2] , [ 20] , [ 21] , [ 22] , [ 23] , [ 24] .
Les obsèques de Michel Durafour ont été célébrées par Mgr Sylvain Bataille le 1er août 2017 en la cathédrale Saint-Charles-Borromée de Saint-Étienne en présence notamment de Gaël Perdriau , Maurice Vincent , Régis Juanico , Jean-Michel Mis et Roland Romeyer [ 25] , [ 26] , [ 27] , [ 28] .
Il est inhumé au cimetière du Crêt-de-Roc à Saint-Étienne[ 28] .
Une minute d'applaudissements a lieu en son hommage au stade Geoffroy-Guichard lors du match ASSE -OGC Nice du 5 août 2017 [ 29] , [ 30] .
En février 2019 , le conseil municipal de Saint-Étienne décide que le campus de Tréfilerie sera renommé à son nom[ 31] .
26 septembre 1965 - 3 avril 1967 : Sénateur de la Loire
25 septembre 1983 - 12 juin 1988 : Sénateur de la Loire
1949 - 24 avril 1955 : Conseiller général du canton de Saint-Étienne-Nord-Est
1er octobre 1967 - 30 septembre 1973 : Conseiller général du canton de Saint-Étienne-Nord-Est
1er octobre 1973 - 25 mars 1979 : Conseiller général du canton de Saint-Étienne-Nord-Est
Les Finances communales , Saint-Étienne, Centre départemental de documentation pédagogique, 1968.
Saint-Étienne, métropole d'équilibre, un gigantesque atelier au centre de la France , Saint-Étienne, Centre départemental de documentation pédagogique, 1970.
Japy et le Chien-Fou , Paris , Dumas, 1948.
Bettina , Paris, Éditions du Carrousel, 1950.
Jus de citron , Paris, Éditions Segep, 1951.
Notre rêve qui êtes aux cieux , Paris, Éditions du Carrousel, 1952.
Avec Yves Denaux, Des fourmis sur la terre , Givors , A. Martel, 1952.
Le Juif du ciel , Paris, Éditions Le Jour se Lève, 1955.
Les Moutons du ciel , Paris, Fayard , 1973.
Ma baïonnette de Mirabeau , Paris, Jean-Claude Lattès , 1987.
Avec Jacqueline Dauxois , La Métisse , Paris, Albin Michel , 1996.
Marais salaces , Paris, Salvy, coll. « Noire », 2001.
Avec Christian Soleil, Ciel cocasse , Éditions Édilivre -Aparis, 2010.
Christian Soleil (sur une idée de Michel Durafour), L'Interview de Néron , Éditions Édilivre-Aparis, 2013.
Pascaline mène l'enquête , Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers » no 3, 1960.
Dites-le… avec des pastèques , Paris, Librairie des Champs-Élysées , coll. « Espionnage », 2e série no 2, 1961 ; réédition, Paris, Librairie des Champs-Élysées, Le Club des Masques no 195, 1973.
Pascaline contre Pascal , Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 7, 1961.
Bagarres et Franfreluches , Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Espionnage », 2e série no 14, 1962.
Agnès et les Vilains Messieurs , Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Espionnage/Charles Exbrayat », no 3, 1963.
Une chinoise dans la mêlée , Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Service secret », 2e série, no 3, 1964.
Excusez-moi, Dorothy… , Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Espionnage/Charles Exbrayat », 1964.
Un cadavre dans le coffre-fort , Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 2, 1960.
La Mort au 421 , Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 6, 1961.
Lieux de pêche , Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 1, 1960.
Un pendu dans le vent , Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 5, 1961.
Il neige sur la mer , Paris, Les Cahiers de la Table ronde, 1945.
↑ À partir du 22 février 1989
↑ Assure l'intérim jusqu'au 21 décembre 1964 .
↑ « État Civil - déclarations du 12 avril 1920 » (consulté le 11 mai 2023 ) .
↑ a et b Le Monde avec l'AFP , « Michel Durafour, ancien ministre et maire de Saint-Étienne, est mort » , sur Le Monde , 27 juillet 2017.
↑ Assemblée Nationale , « Michel Durafour - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le 29 juillet 2017 )
↑ Source BnF
↑ « Gilbert-Antoine Peycelon : l'éminence grise », sur forez-info.com (consulté le 24 avril 2023 ) .
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↑ Jean-Baptiste Garat, « L'ancien ministre centriste Michel Durafour est décédé », Le Figaro , 27 juillet 2017 (ISSN 0182-5852 , lire en ligne , consulté le 28 juillet 2017 )
↑ « Mort de Michel Durafour: l'ancien ministre de Michel Rocard est décédé à l'âge de 97 ans », sur Le HuffPost , 27 juillet 2017 (consulté le 28 juillet 2017 )
↑ « L’ancien ministre et maire de Saint-Étienne Michel Durafour est décédé », Le Progrès , 27 juillet 2017 (lire en ligne , consulté le 28 juillet 2017 )
↑ « Michel Durafour est mort », Zoomdici , 27 juillet 2017 (lire en ligne , consulté le 28 juillet 2017 )
↑ Philippe Bette, « St Etienne rend un dernier hommage à Michel Durafour, son ancien maire - France 3 Auvergne-Rhône-Alpes », France 3 Auvergne-Rhône-Alpes , 1er août 2017 (lire en ligne , consulté le 2 août 2017 )
↑ Marie Dufour, « Retour sur les obsèques de Michel Durafour ce mardi matin | ACTIV Radio », sur Activ Radio (consulté le 2 août 2017 )
↑ « 500 personnes aux obsèques de Michel Durafour », Le Progrès , 1er août 2017 (lire en ligne , consulté le 2 août 2017 )
↑ a et b « Les Stéphanois rendent un dernier hommage à l'ancien maire Michel Durafour », France Bleu Saint-Étienne Loire , 1er août 2017 (lire en ligne , consulté le 2 août 2017 )
↑ « Football - Ligue 1 Saint-Étienne/Nice en direct - Orange Sport », sur sports.orange.fr (consulté le 11 août 2017 )
↑ « Revivez ASSE 1 - OGC Nice 0 : Le renouveau stéphanois », sur www.leprogres.fr (consulté le 12 janvier 2019 )
↑ « Saint-Étienne: Simone Veil, Michel Durafour ou Arnaud Beltrame auront leur plaque de rue », Le Progrès , 26 février 2019 (consulté le 2 avril 2019 )
Christian Soleil, Michel Durafour : Le feu sous la cendre , tome 1, Actes graphiques, 1997.
Christian Soleil, Michel Durafour : Le Vent du large , tome 2, Actes graphiques, 1998.
Christian Soleil, La Trace de l'aigle dans les cieux : les quatre vérités de Michel Durafour , Éditions Édilivre, 2010.
Sous la présidence de François Mitterrand
Éducation nationale , Jeunesse et Sports
Michel Rocard Premier ministre
Économie, Finances et Budget
Équipement et Logement puis Équipement , Logement , Transports et Mer (2)
Ville (7)
Michel Delebarre , ministre d'État (7)
Affaires étrangères
Justice , garde des sceaux
Défense
Intérieur
Industrie et Aménagement du territoire
Affaires européennes puis min. supprimé (6)
Édith Cresson (dém ) (6) puis ministre délégué (6)
Transports et Mer puis fusionné avec le min. de l'Équipement et du Logement (2)
Fonction publique et Réformes administratives
Michel Durafour , puis ministre d'État (2)
Travail , Emploi et Formation professionnelle
Coopération et Développement
Jacques Pelletier
Culture et Communication , Grands travaux et Bicentenaire
Départements et Territoires d'outre-mer
Louis Le Pensec
Agriculture et Forêt
Henri Nallet puis Louis Mermaz (6)
Postes, Télécommunications et Espace
Paul Quilès
Relations avec le Parlement
Jean Poperen
Solidarité, Santé et Protection sociale puis Affaires sociales et Solidarité (6)
Recherche et Technologie
Hubert Curien
Commerce extérieur puis Commerce extérieur et Tourisme (4) puis Commerce extérieur (5)
Jean-Marie Rausch
Droits des femmes
Secrétaire d'État chargé des Droits des femmes : Michèle André
Anciens Combattants et Victimes de guerre
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et des Victimes de guerre : André Méric
Prévention des risques technologiques et naturels majeurs puis supprimé (3)
Secrétaire d'État chargé de la Prévention des risques technologiques et naturels majeurs, puis supprimé (3) : Gérard Renon
Ministre et secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Ordonnancement par ordre de préséance
(dém) Démission
(1) Remaniement du 8 juillet 1988
(2) Remaniement du 22 février 1989
(3) Remaniement du 29 mars 1989
(4) Remaniement du 5 juillet 1990
(5) Remaniement du 17 juillet 1990
(6) Remaniement du 2 octobre 1990
(7) Remaniement du 21 décembre 1990
(8) Remaniement du 29 janvier 1991
(← ROCARD I ) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CRESSON → )
IIIe République(1906-1940)
Seconde Guerre mondiale (1940-1944)
GPRF et IVe République(1944-1958)
Ve République(depuis 1959)
Paul Bacon t
Gilbert Grandval t
Jean-Marcel Jeanneney a
Maurice Schumann a
Joseph Fontanet t,e
Edgar Faure a
Georges Gorse t,e
Michel Durafour t
Christian Beullac t
Robert Boulin t
Jean Mattéoli t
Nicole Questiaux s et Jean Auroux t
Pierre Bérégovoy a,s
Michel Delebarre t,e et Georgina Dufoix a,s
Philippe Séguin a,e
Michel Delebarre a,e
Jean-Pierre Soisson t,e et Claude Évin s puis a
Martine Aubry t,e et Jean-Louis Bianco s,a puis René Teulade a
Michel Giraud t,e et Simone Veil a
Jacques Barrot t
Martine Aubry e,s
Élisabeth Guigou e,s
François Fillon a,t,s
Jean-Louis Borloo e,t
Xavier Bertrand t,s
Brice Hortefeux t,s
Xavier Darcos t,s
Éric Woerth t,s
Xavier Bertrand t,e et Roselyne Bachelot s
Marisol Touraine a et Michel Sapin t,e , François Rebsamen t,e puis Myriam El Khomri t,e
Muriel Pénicaud t puis Élisabeth Borne t,e et Agnès Buzyn s puis Olivier Véran s
Olivier Dussopt t,e et Damien Abad s , Jean-Christophe Combe s puis Aurore Bergé s
Catherine Vautrin t,e s
Astrid Panosyan-Bouvet t,e
t Ministre du Travail ; a Ministre des Affaires sociales ; e Ministre de l'Emploi ; s Ministre de la (des) Solidarité(s) Articles connexes : Ministère du Travail ; Ministère des Affaires sociales
1930-1939
1946-1960
1961-1975
1976-2000
depuis 2001