Monchy-Humières

Monchy-Humières
Monchy-Humières
Façade du château d'Humières
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Arnaud Luisin
2020-2026
Code postal 60113
Code commune 60408
Démographie
Gentilé Monchy-Humiérois, Monchy-Humiéroises
Population
municipale
780 hab. (2021 en évolution de +7,29 % par rapport à 2015)
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 14″ nord, 2° 45′ 10″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 111 m
Superficie 7,8 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Monchy-Humières
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Monchy-Humières

Monchy-Humières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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Description

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Monchy-Humière est un bourg rural picard de la vallée de l'Aronde situé à 8 km au nord-ouest de Compiègne, 47 km à l'est de Beauvais et à 73 km au nord-est de Paris.

Il est desservi par le tracé initial de l'ancienne route nationale 35 et le territoire communal est traversé à l'ouest par l'autoroute A1 dont la sortie la plus proche est à Ressons-sur-Matz, et par la LGV Nord.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Monchy-Humières
Gournay-sur-Aronde Antheuil-Portes
Montmartin Monchy-Humières Braisnes
Remey Baugy

Hydrographie

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La commune se trouve à la confluence de la Payelle et de l'Aronde. Celle-ci est un affluent de l'Oise en rive droite, donc un sous-affluent de la Seine.

Une zone de marais de 8 ha utilisée comme tourbière dans les années 1950 puis en peupleraie jusqu'en 2011 entoure le cours d'eau. En 2019, une expérimentation est organisée pour la faire entretenir par des buffles d'Asie[1]. Le Conservatoire d’espaces naturels, associé à la reconversion du site, a mené un inventaire des espèces végétales et animales et fait abattre partie des peupliers pour favoriser la biodiversité. Le marais abrite en particulier le pigamon jaune, apprécié notamment par le périzome du pigamon, un papillon assez rare qui ne se trouve que sur des espaces répartis entre les Hauts-de-France, les Alpes et les Pyrénées. Le marais accueille également le vertigo des moulins, un escargot qui se nourrit d’algues, de champignons et de bactéries, ainsi que la libellule déprimée, sensible aux pollutions de l’eau et le bruant jaune[2]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Monchy-Humières[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 673 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Monchy-Humières est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (79 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73 %), forêts (9,8 %), zones urbanisées (7,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par les lignes 663, 6303 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Le nom de la localité est attesté sous les formes et viam de Monchi (1159) ; ad Monci (1190) ; Monchiacum super Harundam (1238) ; prope Monchiacum petrosum (1241) ; Monchy l’abbaye (1242) ; Monchiacum petrosum super Arundam (1253) ; Munciacum super Harundem (vers 1260) ; Monchiacus petrosus (XIIIe) ; la ville de Monci le perreus (1292) ; Munciacum petrosum (1310) ; Moncy (1311) ; Moncy le perreux (1373) ; Monchy sur aronde (XIVe) ; eccl. de Monchiaco petroso (XVe) ; Monchy Humieres (vers 1500) ; Monchi le perreux (1510) ; Monchy le perreulx (1514) ; Moncy le Pereux (1515) ; Monchy le perreux (1550) ; Monchi le pierreux (1570) ; Monssy le perreux (1581) ; Monci (vers 1590) ; Moussi le pereux (1595) ; Monchi sur Aronde (XVIe) ; Monchy le Pereux (1667) ; l’abbaye de Monchy le perreux (1683) ; Mouchy (XVIIe) ; Monci le perreux (XVIIIe) ; Monchy-Humières (1840)[15].

Le nom de Monchy dériverait d'un nom de domaine gallo-romain, Monciacum ou Montiacum[16].

Toutefois, la légende locale renvoie le nom du lieu à Monchiacum Petrosum en 1253[15], “le domaine des moines de Pierre” qui deviendra Monchi le perreux en 1510[15], ce suffixe étant remplacé lorsque le maréchal d’Humières, devenu propriétaire des lieux, y ajoute son nom[17].
Le nom d'Humières désigne un endroit planté d'ormes[18].

A l'époque mérovingienne, le site est défriché et mis en valeur par les moines de l’abbaye Saint-Pierre de Corbie, qui y disposaient d'un vaste domaine[17].

Une motte féodale est implantée au sommet de la colline au XIIe siècle par la famille de Roye pour surveiller le passage de l’Aronde[17].

Mathieu de Roye, de retour de croisade pose en 1238 les fondements d’un couvent de religieuses cisterciennes au lieu-dit l’Hermitage. Celui-ci subsiste jusqu’au XVIIe siècle[17].

Lors de la guerre de Cent Ans, Guillaume de Flavy fait bâtir une forteresse en bordure de la rivière[17].

Louis III de Crevant transforme ce château en une vaste demeure de style renaissance, qu'aménage somptueusement le maréchal d’Humières au milieu du XVIIe siècle, qui fait dessiner un vaste parc selon les plans de Le Notre et creuser des pièces d’eau dans l’esprit de celles de Versailles[17]. On estime que le château de Mouchy était une merveille du Grand Siècle[19]. Louis XIV néanmoins sa terre de Monchy-Humières en duché par lettres du mois d', qui portent que le duché passerait au mari de Julie de Crevant, sa troisième fille.

En 1666 il existait un camp militaire à Sourche[20].

Le château est saisi le 27 Messidor an VII comme bien national et vendu. L’aile orientale et les salles d’honneur sont démolies. Seule subsiste de l’ancienne forteresse une tour à poivrière, intégrée dans l’aile restante, face au village[17]

Première Guerre mondiale

Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de Monchi, la commune fait partie depuis 1801 du canton de Ressons-sur-Matz[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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Monchy-Humières est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 mars 2008 Bernard Maman   Entrepreneur immobilier
mars 2008 juillet 2020 Jean-Pierre Vrancken
(né le 3 février 1948)
  Artisan-commerçant-chef d'entreprise
juillet 2020[23] En cours
(au 2 décembre 2020)
Arnaud Luisin
(né le 29 septembre 1974)
  Ouvrier qualifié de type industriel

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 780 habitants[Note 3], en évolution de +7,29 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
740762777704731696710734740
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
694702732742713665705708715
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
703655628546589559526510581
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
588506505516601592626675749
2021 - - - - - - - -
780--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 384 hommes pour 392 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
2,4 
75-89 ans
5,7 
16,1 
60-74 ans
13,7 
19,6 
45-59 ans
21,1 
27,8 
30-44 ans
22,6 
14,3 
15-29 ans
15,9 
19,3 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Golf du château d’Humières[29], de 18 trous situé à la sortie du village en se dirigeant vers Rémy, implanté dans la forêt et les marais du parc d’une propriété datant du XVIIe siècle, sur une surface de 56 hectares, créé en 1987, à l’initiative d’une Japonaise, Masako Ohya[30],[31].
  • L'église Saint-Martin, édifiée au XIIe siècle et remaniée aux XVIe et XIXe siècle. Une chapelle latérale contenait le mausolée du maréchal d’Humières[17].
  • Le lavoir, situé à la sortie du village en direction de Baugy, le lavoir de Monchy-Humières borde la « rue du Château ». Il est construit sur une berge de l'Aronde (Aronde signifie « hirondelle » en ancien français), et surplombé d'un petit pont de pierre et de brique. L'ouvrage daterait au plus tard des années 1850.
D'après d'anciennes cartes postales, il devait y avoir présence de « bassins » à l'intérieur du lavoir. Ces bacs devaient être remplis d'eau venant de la rivière. En effet à l'époque l'eau de la rivière était plus haute notamment à cause d'écluses présentes en aval pour le fonctionnement des féculeries. De l'autre côté de la rivière, la berge descendait en pente douce et servait ainsi d'abreuvoir.
Il a été restauré en 2007 par un groupe du « Chantier Jeunes » qui l'ont remis en état pendant deux semaines et redécouvert un de ses anciens bacs.
  • Promenade aménagée dans le marais, où est organisée une promenade longue de 1,5 km. Son origine est à la depuis la passerelle en bois située sur la route entre le bourg de Monchy-Humières et Gournay-sur-Aronde, à proximité du golf[2].

Personnalités liées à la commune

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Anne-Louise de Crevant d'Humières.
  • Dreu de Roye était en 1321 seigneur de Monchy[17].
  • Louis de Crevant, duc d’Humières (1628-1694), maréchal de France, qui développa considérablement le château ainsi que le parc, qui aurait été dessiné par Le Nôtre.
  • Élisabeth de Crevant d'Humières, sœur du précédent, première abbesse (1671-1684) du monastère cistercien restauré de Monchy-Humières.[réf. nécessaire]
  • Anne-Louise de Crevant d'Humières (1658-1710), sœur de la précédente, seconde abbesse (1684-1710) du monastère restauré.[réf. nécessaire]
  • Michel Félibien (1665-1719), moine bénédictin, auteur de La Vie de Madame d'Humières abbesse et réformatrice de l'abbaye de Monchy de l'ordre de Cisteaux, décédée le , J. Estienne, Paris, 1711.
  • Philibert Jean-Baptiste Curial, général de la Révolution et de l'Empire, propriétaire du château, est enterré dans la chapelle de la commune[32]
  • Stendhal, épris de la comtesse Curial, propriétaire du château au début XIXe siècle, séjourne à plusieurs reprises au château[17].
  • Madame Masako Ohya, plus connue sous son surnom « la milliardaire rose », propriétaire du château de Monchy-Humières de 1980 à la fin des années 1990 et créatrice du golf[31].

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Élie Julien, « Monchy-Humières : des buffles d’Asie pour entretenir la zone humide : Les deux bovins ont été installés dans l’ancienne peupleraie. Pendant deux mois, ils vont permettre de lutter contre la prolifération d’une plante envahissante », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b « Une promenade tracée dans le marais de Monchy-Humières : Le Conservatoire d’espaces naturels met en valeur une zone humide, autrefois dévolue à la production de peupliers. Un parcours pédagogique a été inauguré », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Monchy-Humières et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Monchy-Humières ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Monchy-Humières », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. a b et c Émile Lambert, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 353.
  16. Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille, Librairie Académique Perrin, , 1044 p. (ISBN 2-262-01350-0), p. 702..
  17. a b c d e f g h i et j « Monchy-Humières », Les 48 communes, sur cc-pays-sources.fr (consulté le ).
  18. Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille, Librairie Académique Perrin, , 1044 p. (ISBN 2-262-01350-0), p. 524..
  19. « Restitution 3D des jardins du château de Mouchy ».
  20. Les camps de Compiègne
  21. Journal officiel du 24 février 1919, p. 2475.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Monchy-Humières (60408) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  29. Site du golf du château.
  30. Frédéric Ameele, « Le golf de Monchy-Humières remonte la pente : Après avoir été placé en liquidation judiciaire, le parcours 18 trous retrouve un nouvel élan », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. a et b Lucien Djani et Raphaëlle Fouan, « Le Golf de Monchy-Humières veut séduire au-delà des golfeurs : La direction du Golf du château mise sur le parcours 18 trous, mais aussi le bar et le restaurant », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le golf a été créé en 1987, à l’initiative d’une Japonaise, Masako Ohya, séduite par les lieux et passionnée par ce sport. Disparue en 1999, elle était surnommée la milliardaire rose, ayant une prédilection pour cette couleur. Elle avait toujours sur elle les cendres de son mari dans un sac Chanel. Le dessin initial du parcours a été confié à l’architecte Patrice Simon. Rouvert en 2004, avec un dessin réorganisé par Marius Melotti, le club a retrouvé une seconde jeunesse... ».
  32. « Monchy-Humières : Ils reconstituent l'époque de Napoléon », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).