Montier-en-l'Isle

Montier-en-l'Isle
Montier-en-l'Isle
Vue aérienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Bar-sur-Aube
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube
Maire
Mandat
Christophe Noblot
2020-2026
Code postal 10200
Code commune 10250
Démographie
Population
municipale
220 hab. (2021 en évolution de −7,56 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 42″ nord, 4° 39′ 49″ est
Superficie 10,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bar-sur-Aube
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bar-sur-Aube
Législatives Première circonscription
Localisation
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Montier-en-l'Isle
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Montier-en-l'Isle

Montier-en-l'Isle (appelée familièrement Montier ou Mothé) est une commune française située dans le département de l'Aube, en région Grand Est.

Géographie

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Communes limitrophes de Montier-en-l'Isle
Arsonval Lévigny
Montier-en-l'Isle Arrentières
Jaucourt Ailleville

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aube, un bras de l'Aube, l'Aube et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].

L'Aube, d'une longueur de 249 km, prend sa source dans la commune d'Auberive et se jette dans la Seine à Marcilly-sur-Seine, après avoir traversé 82 communes[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Montier-en-l'Isle[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 868 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,7 °C, atteinte le [Note 2],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Montier-en-l'Isle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-sur-Aube, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 43 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,5 %), terres arables (18,7 %), cultures permanentes (9,3 %), prairies (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le village est mentionné à partir du XIIe siècle sous le nom de Molindini de Insula. La notion d'île vient d'un ruisseau qui entourait un monastère avant de se jeter dans l'Aube. Ce monastère, dont il ne subsiste plus de traces aujourd'hui, avait été fondé sous les rois mérovingiens au VIIIe siècle. Le village apparaît également dans les archives ecclésiastiques[15],[16] sous différents noms successifs :

  • Insula subtus Barrum (1076-1089 et 1125-1152, prieuré de Montier-la-Celle)[Note 4]
  • Molendini de Insula (1084, abbaye de Molème)[Note 5]
  • Insula subtus Barrum super Albam (1086, cartulaire de Molesme)[Note 6]
  • Insula sub Barro (1101, abbaye de Molème)[Note 4]
  • Sancta Maria apud Insulam (1117, fonds Montièramey)[Note 7]
  • Monasterium in Insulâ propè Barrum super Albam (1232, fonds Notre Dame aux Nonnains)[Note 8]
  • Mothet (1232, fonds Clairvaux)
  • Monasteriam ad Insulam (1278, abbaye de Montiéramey)
  • Monstier en l'Isle (1369, fonds Saint-Maclou)[Note 9]
  • Moustier en Lile (1400, chapitre de Saint-Maclou)
  • Isles-sur-Aube (1615, terrier du duché de Beaufort)
  • Moté en Isle (1625, abbaye de Montiéramey)[17]
  • De Motensi in Insula (1665, Jacques Vignier, Chronicon Lingonensis, p. 94)
  • L'Ille-dessouz-Bar[18]
  • L'Isle-dessouz-Bar[18]

À partir du XVIIIe siècle, la commune fut appelée Mothé par défaut de prononciation. Les cartes de Cassini présentent ainsi jusque dans l'édition de 1815[19] la double appellation du village Monstier en Lisle et Mothé. L'Atlas de Trudaine présente en revanche l'évolution du nom sous sa forme contemporaine Montier en l'Isle dès son édition de 1780[20].

Depuis , les habitants et habitantes de Montier-en-l'Isle s'appellent les Montier-en-l'Illois et Montier-en-l'Illoise. Ce nom a été choisi par vote des habitants parmi les propositions de noms donnés par les villageois.

Extrait de l'Atlas de Trudaine où apparait le village de Montier-en-l'Isle.

Le comte Simon aurait fondé le prieuré de Montier-en-l'Isle entre 1075 et 1082, avec l'accord de Reynard, 52e évêque de Langres[21].

Vers 1380, le couvent de l'Ordre de Saint-Benoît situé sur l'île formée par l'Aube aurait été brûlé et ne fut pas rebâti, ont seulement été reconstruit les bâtiments ruraux et le prieuré. Depuis la construction primitive la rivière s'est éloignée du monastère et du village et ne les entoure plus de ses eaux[22].

En 1465, la seigneurie appartenait, par quarts, aux frères Artus et Jean de Moustier, à Philibert d'Ivory, à Pierre d'Ivory et à Gillequin d'Aigremont[23]. Le fief de Vantoux, aussi appelé La Court d'Esclance, représentait un quart de la seigneurie, sa maison seigneuriale étant sise dans la grande rue de Monstier-en-l'Isle ; le fief de Champfleury représentant un autre quart.

En 1503, Edmond de Gennes[24] et Pierre de Foribaulx[25] possèdent chacun une partie de la seigneurie de Montier-en-l'Isle. La portion de seigneurie de Pierre de Foribaulx est par la suite tenue par Jean de Balidas, Jean de Gand et Innocent de Yardin. À la mort d'Edmond de Gennes le sa portion de seigneurie est répartie entre ses enfants, Marie, Charlotte et François mais en 1539 Marie et Charlotte cèdent à François de Gennes ce qui leur appartient, communément appelé la Cour d'Esclance[23].

Un résumé des possessions de l'abbaye de Montiéramey daté de 1625 mentionne le prieuré de Montier-en-l'Isle comme étant l'une de ses nombreuses dépendances[17].

En 1789, le village dépendait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection de Bar-sur-Aube et du bailliage de Chaumont.

La paroisse est incorporée en 1801 au diocèse de Troyes après la suppression par le pape Pie VII de l'ancien diocèse de Langres dont elle faisait jusqu'alors partie[15].

Les archives communales antérieures à 1814 ont disparu à la suite d'un incendie en 1814. Cet incendie pourrait être lié à la présence de troupes russes dans les bois d'Arsonval et Montier le [26] après les affrontements entre les troupes napoléoniennes et russes lors des évènements de la Campagne des Six-Jours.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
?? 1829 De Lorne[27] ?    
1829 1846 Pierre Simonnot[27]    
1846 1870 Charles Isidore Simonnot[27]    
1870 1892 Nicolas Georget[27],[28]    
1893 1908 Jean-Baptiste Petit Armand[28]    
1908 1912 Théophile Collot[28]    
1912 1914 Siméon Tournemeullé[28]    
1914 après 1915 Eugène Bourguoin[28]    
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Bruno Mœurs    
2008 en cours Martine Tournemeulle DVD Chef d'entreprise

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 220 habitants[Note 10], en évolution de −7,56 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
369443449381405402428459452
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
426465448404384363394345314
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
281278269243236240229216188
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
181204180165206235209208202
2014 2019 2021 - - - - - -
236224220------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 115 hommes pour 115 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
6,3 
75-89 ans
10,7 
22,3 
60-74 ans
15,2 
24,1 
45-59 ans
24,1 
17,9 
30-44 ans
17,9 
10,7 
15-29 ans
9,8 
18,8 
0-14 ans
22,3 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
7,4 
75-89 ans
10,2 
17,4 
60-74 ans
18,4 
19,4 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,3 
18,3 
15-29 ans
15,9 
19 
0-14 ans
17,1 

Le Champagne : dix exploitations viticoles.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église de Montier-en-l'Isle est classée au répertoire des monuments historiques pour ses pierres tombales datant du XVIe siècle et du XVIIe siècle. Ces dalles funéraires classée au titre d'objet sont celles de N. de Gennes datant de 1537, de son épouse N. de Sainte Brice datant de 1543 et de Edmond de Gennes datant de 1612. Il y a également une quatrième dalle funéraire plus récente qui n'est pas classée, il s'agit de celle d'Étienne Alexandre de Mosseron datant de 1769.
Église.
Détail de l'église.
  • Restes de l'ancien château éparpillés dans plusieurs maisons.
  • Ancien lavoir.

Personnalités liées à la commune

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Les deux familles, seigneurs du lieu et reposant en l'église sont les Mosseron d'Amboise et les Gennes qui portaient antérieurement le nom de la Cour d'Esclance.

  • Edmond de Gennes.
  • Emeline de Villehardouin, abbesse de Montier-en-l'Ile en 1232[35].
  • Jacques de Villemor, prieur de Montier-en-l'Ile vers 1517[36].

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. a et b Île sous Bar-sur-Aube
  5. Moulin de l'île
  6. Île sur l'Aube sous Bar-sur-Aube
  7. Sainte Marie sur l'île
  8. Monastère sur l'île près de Bar-sur-Aube sur l'Aube
  9. Monstier : vieux mot signifiant monastère
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Montier-en-l'Isle » sur Géoportail (consulté le 18 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Montier-en-l'Isle », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « l'Aube »
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Montier-en-l'Isle et Ailleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bar-sur-Aube », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Abbé Charles Lalore, Les anciens pouillés : des paroisses incorporées au diocèse de Troyes en 1801, Troyes, Imprimerie et lithographie E. Caffé, , 80 p. (lire en ligne), p. 48
  16. Théophile Boutiot, Dictionnaire topographique de la France : Dictionnaire topographique du département de l'Aube, Paris, Imprimerie nationale, , 230 p. (lire en ligne), p. 103
  17. a et b Charles Lalore, Collection des principaux cartulaires du diocèse de Troyes : Tome 7, Paris, E. Thorin, 1875-1890 (lire en ligne)
  18. a et b Le Moyen âge : bulletin mensuel d'histoire et de philologie, Paris, (lire en ligne)
  19. César-François Cassini de Thury, Carte générale de la France : n°81 Troyes nouvelle édition, (lire en ligne)
  20. Daniel-Charles Trudaine, Atlas de Trudaine pour la généralité de Châlons : Chemin de Vitry-le-François à Bar-sur-Aube, Paris, Ponts et Chaussées, , 10 p. (lire en ligne), p. 10
  21. Louis Chevalier, Histoire de Bar-sur-Aube, Bar-sur-Aube, (lire en ligne)
  22. Société académique de l'Aube, Annuaire Administratif et Statistique : du Département de l'Aube pour 1837, Troyes, Imprimerie de Bouquot, (lire en ligne)
  23. a et b Alphonse Roserot, Inventaire sommaire AD Aube : série E - Titres féodaux et papiers des familles ayant eu des liens avec l'Aube, Troyes, J. Brunard, (lire en ligne), p. 220
  24. Société académique de l'Aube, Mémoires de la Société d'agriculture, sciences et arts du département de l'Aube, , 492 p. (lire en ligne), p. 145
  25. Société académique de l'Aube, Mémoires de la Société d'agriculture, sciences et arts du département de l'Aube, , 492 p. (lire en ligne), p. 142
  26. Berger-Levrault et Cie, Revue d'artillerie : octobre 1888, Nancy, Berger-Levrault et Cie, , 592 p. (lire en ligne), p. 378
  27. a b c et d État civil des communes de l'Aube : Montier-en-l'Isle 1826 1860, Montier-en-l'Isle, 1826 1860
  28. a b c d et e État civil des communes de l'Aube : Montier-en-l'Isle 1890-1915, Montier-en-l'Isle, 1890 à 1915
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montier-en-l'Isle (10250) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
  35. Ernest Petit, Société Académique de l'Aube - Généalogies Féodales : Les Sires de Villehardouin, Troyes, Imprimerie & Lithographie J.-L. Paton, , 71 p. (lire en ligne), p. 19
  36. Alphonse Roserot, Inventaire sommaire AD Aube : série E - Titres féodaux et papiers des familles ayant eu des liens avec l'Aube, Troyes, J. Brunard, (lire en ligne), p. 221